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We were buzzing with anticipation and excitement on June 20th as we finally got to hear the energetic Yungblud’s new album, Idols. The cover is a striking black-and-white photo of the artist shirtless against a white background, remarkably simple yet powerful. Its monochrome vibe immediately brings to mind the aesthetic of the first single, Hello Heaven, Hello. In fact, this gem kicks off the album. The track sets the tone and atmosphere for the record: a full-on rock ’n’ roll tribute packed with nods to legends like Queen, U2, Guns N’ Roses, Black Sabbath, Aerosmith, and more.

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C’est avec impatience et excitation que le 20 juin dernier nous découvrions -enfin- le nouvel album de l’énergique Yungblud nommé Idols. Une pochette en noir et blanc, une photographie de l’artiste torse nu sur fond blanc, une simplicité remarquable. Un côté monochrome qui rappelle dans un premier temps énormément l’esthétique du premier single sorti Hello Heaven, Hello. C’est d’ailleurs cette pépite qui sert d’ouverture pour cet album. La chanson pose les bases et l’ambiance de l’album : un hommage au rock n’roll truffé de références (Queen, U2, Guns n’Roses, Black Sabbath, Aerosmith, etc.). 

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After nearly ten minutes of diving headfirst into the album’s world, showcasing incredible mastery of sound and musicality, the second track hits: Idols Pt. 1 (the album’s title track). U2-style guitar riffs, Oasis-like rhythms, and Slash-worthy solos, close your eyes, and you can picture yourself as a kid riding in the car with your parents. It’s a nostalgic blast of pure musical joy.

Idols keeps rolling, and the third track is already here. What a third track it is, the second single released from the album: Lovesick Lullaby. The song brings a captivating lightness and an infectious burst of energy.

And then comes the album’s standout, heart-wrenching track: Zombie. Not to mention the jaw-dropping music video featuring Florence Pugh that left us completely floored.

Zombie was the third single, and its lyrics are loaded with raw, unfiltered emotion, a deep, sincere sadness. It’s a song we all needed in our lives. The chorus hits with an emotional punch that can bring tears to your eyes instantly. Yungblud’s weary voice, the driving guitars, and the pounding rhythm all underscore lyrics that could shatter even the most sensitive heart:

“So if you were to ask about the pain, I would lie. To fix my mind, I need time but it’s running out.”

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    C’est après une entrée dans l’univers de l’album de près de dix minutes d’une maîtrise incroyable du son, des musicalités qu’arrive le seconde titre : Idols Pt1. (éponyme de l’album). Des riffs de guitares très U2, rythme à la Oasis des guitares solo à la Slash (guitariste mythique des Guns n’Roses). Fermez les yeux, vous pouvez vous imaginer enfant dans la voiture avec vos parents. Un retour en arrière provoqué par le style musical qui fait plaisir.

    L’album Idols continue d’être diffusé. La troisième chanson arrive déjà. Et quel troisième titre… le deuxième single de l’album à être sorti : Lovesick Lullaby. Le titre apporte un vent de légèreté envoûtante et d’énergie entrainante. 

    Le titre phare et poignant de l’album arrive déjà : Zombie. Sans parler du clip avec l’incroyable Florence Pugh  qui nous as retourné. En effet, Zombie était le troisième single de l’album. Des paroles d’une émotion sans nom, d’une tristesse encrée, sincère. Un titre dont on avait tous besoin dans nos vies. Un refrain qui arrive avec une puissance émotionnelle qui peut instantanément vous donner les larmes aux yeux. Une voix éreintée, des guitares et un rythme qui viennent soutenir des paroles à briser un cœur sensible : ” So if you were to ask about the pain, I would lie. To fix my mind, I need time but it’s running out” (“Alors si tu allais me parler de la douleur, je vais mentir. Pour aller mieux j’ai besoin de temps mais je n’en ai plus”). 

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Like the rest of the album, The Greatest Parade hits with an infectious rhythm that calls to mind the Foo Fighters. Yungblud repetitively belts out, “We’re in the greatest parade,” echoing and reimagining My Chemical Romance’s iconic anthem The Black Parade with near-screams layered into an unforgettable chorus.

Next up is Change, which carries a vibe reminiscent of The Verve and their legendary Bitter Sweet Symphony, but in a slightly more symphonic, mellow version with more acoustic guitars. The guitar solo on this track is reminiscent of Slash’s work on November Rain and the legendary riffs of Aerosmith.

Want to hear The Cure, The Smiths, Placebo, and a bit of U2 all in one song?

You don’t have to choose anymore. The result is Monday Murder: simple, effective, and utterly transporting, leading you smoothly into the next track. And what a next track it is… Ghosts. Opening with a poignant piano-and-vocal intro, violins swell to intensify the emotion.

The lyrics are breathtaking, once again showcasing incredible sincerity. It’s a clear nod to U2, with a chorus guitar reminiscent of Sunday Bloody Sunday, and looping riffs that give a wink to AC/DC’s Thunderstruck, complete with a live-style Freddie Mercury “eh” from Queen. The symphonic elements are surprising but perfectly placed, creating a fully realized and compelling track. Ever imagined hearing a guitar AND violin solo, or at least a duet, together? No? Yungblud just made it happen.

“Hey pretty girl, would like to spend the day with me? We could run the world.”

What a perfect opening for Fire. Everything that needs to be said about this song can be summed up in one word, three letters: yes.

Then, out of nowhere, a wild Yungblud cowboy emerges. War kicks off with country-style guitar riffs, one of the best choruses on the album in my opinion. There’s an Oasis-like touch in its acoustic country vibe. Bonus points if you listen to this track while watching Marina Abramović’s 2010 performance at MoMA in New York, War takes on a whole new emotional layer. Your heart will instantly tighten.

For context, the contemporary artist staged yet another audience-interactive work: she sat silently in a chair, waiting as strangers came to sit across from her, one by one, eyes locked, no words, no contact.

The raw intensity of the moment between two human beings. This performance ran eight hours a day for an entire month. On one particular day, a man sat across from her, not a stranger, but her former partner Ulay, whom she hadn’t seen in twenty-two years. A deeply moving, unforgettable moment. I highly recommend listening to War while watching this clip, it opens up a whole new emotional dimension.

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    Comme tous les autres titres de l’album : un rythme entraînant rappelant les Foo Fighters, c’est autour de The Greatest Parade. Yungblud nous chante de façon répétitive “We’re in the greatest parade” (“Nous sommes dans la meilleure parade”). Pour faire également écho et une version 2.0 du grand titre de My Chemical Romance, The Black Parade, Yungblud y glissera des presque scream avec un refrain entêtant.

    Change arrive avec un goût à la The Verve et leur iconique titre Bitter Sweat Symphony mais dans une version légèrement plus symphonique et calme avec plus de guitares acoustiques. Le solo de guitare de ce morceau rappellera énormément ceux de Slash sur November Rain des Guns n’Roses ou encore des légendaires Aerosmith. 

    Envie d’écouter The Cure, The Smiths, Placebo avec un peu de U2 ? Plus besoin de choisir. Le tout mélangé donne Monday Murder. Simple, efficace, profitez et laissez-vous transporter jusqu’à la prochaine chanson. Et quel prochain morceau … Ghosts. Un début piano/voix poignant avec une arrivée de violons venant renforcer l’intensité du morceau. Des paroles d’une beauté et encore une fois d’une sincérité incroyable. Une ode à U2 grâce aux guitares du refrain à la Sunday Bloody Sunday. Des riffs en boucle à la AC/DC, ici un énorme clin d’œil à Thunderstruck accompagnés de “eh” à la Freddie Mercury (Queen) en live. Un côté symphonique surprenant mais tellement bien placé et qui en fait un morceau complet et intéressant. Avez-vous déjà pensé à entendre un solo -ou du moins duo- de guitare ET de violons ? Non ? Yungblud l’a fait pour vous. 

    “Hey pretty girl, would like to spend the day with me ? We could run the world” (“Hey jolie fille, voudrais-tu passer la journée avec moi ? Nous pourrions régner sur le monde”) … quelle belle entrée en matière pour Fire. Tout ce que nous aurions à répondre et à dire sur cette chanson tient en un mot, trois lettres : oui.

    Vous ne l’aviez pas vu venir, un Yungblud cowboy sauvage apparaît. Des riffs de guitares en début de morceau pour War dans un style country. Un des meilleurs refrains de l’album à mon goût. Une touche à la Oasis dans une ambiance country et acoustique. Et en bonus, si vous écoutez cette chanson pendant que vous regardez l’extrait de la performance artistique Marina Abramovió au MOMA de New York en 2010 War aura une toute autre saveur en bouche. Votre cœur finira instantanément par se serrer. Pour rappel, l’artiste contemporaine avait fait une énième œuvre en interaction avec un public libre et aléatoire. Ici, elle était assise sur une chaise à attendre que des inconnus viennent chacun leur tour s’assoir en face d’elle, sans un mot, sans contact, les yeux dans les yeux. La puissance d’un instant avec un autre être humain. Cette performance a duré huit heures par jours pendant un mois entier. Puis, pendant une journée de cette performance en particulier, un homme vient s’assoir en face d’elle. Ce n’est pas un inconnu, mais son ancien partenaire Ulay avec qui elle n’avait pas eu de contact depuis vingt-deux années. Un moment fort, poignant. Je vous conseille vivement d’écouter War en regardant cet extrait de performance. Une autre dimension sentimentale pourra s’ouvrir à vous.  

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Next comes a track that serves as a brief but effective transition into the album’s final song, Idols Part II. And here it is, the last track of Idols: Supermoon. It clearly echoes the legendary Starman by David Bowie and Elton John’s Rocket Man. Imagine a mashup of these two musical giants’ worlds, that’s exactly the vibe. It’s on this breathtaking note that Idols comes to a close.

Only after catching all the references scattered throughout Idols do you truly grasp the meaning behind the album’s title. You might even call it Yungblud’s album of maturity. In my view, it’s a rock ’n’ roll odyssey, a twelve-track, forty-seven-minute masterpiece. A complete work, a musical journey back in time that’s a treat for both the ears and the heart.

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    Arrive ensuite un son qui servira de courte transition efficace vers la dernière chanson, Idols Part II. La dernière chanson de Idols est là : Supermoon. Elle fait clairement écho à l’incroyable Starman de David Bowie et Rocket Man de Elton John. Un possible mashup de deux univers de géants musicaux que l’on aurait rêvé d’avoir. C’est donc sur cette beauté que s’achève Idols. 

    C’est après avoir remarqué toutes les références de Idols de Yungblud que le titre de cet album prend tout son sens. L’album de la maturité me diriez-vous sans doute. Une odyssée du rock n’roll à mon goût. Une masterpiece de douze titres soit quarante-sept minutes. Une œuvre complète, un retour en arrière musical qui fait du bien aux oreilles et au cœur.

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More good news: Yungblud is set to release an EP with the legendary Aerosmith. This move confirms the massive influence of classic rock on his musical evolution with Idols. It’s a huge project that’s set to shake up the rock scene. On top of that, on August 1st, Yungblud released a digital compilation titled YUNGBLUD: Beyond Idols. Here, you can find some of his best tracks, including The Funeral (featuring a cameo from the late, great Ozzy Osbourne), Mars, and Braindead!. The compilation also opens with a standout live cover of Changes (originally by Black Sabbath), recorded during Ozzy Osbourne’s Back to the Beginning concert, his final show, where all proceeds were donated to charities supporting hospitalized children and Parkinson’s patients, a cause close to Ozzy himself.

You can also catch Yungblud live in concert on October 8th at the Adidas Arena in Paris. I don’t know about you, but we’re dying with anticipation to experience this album on stage. Yungblud’s energy in front of a live audience can only elevate this gem further and strengthen his aura as a (future) international rockstar.

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Autre bonne nouvelle, Yungblud va sortir un EP avec les grands Aerosmith. Cela confirme l’énorme influence du rock “classique” dans son tournant musical avec Idols. Un projet énorme qui vient secouer la scène du monde rock. De plus,Yungblud a sorti en ligne le 1er aout une compilation nommée YUNGBLUD: Beyond Idols. Ici, vous pourrez retrouver ses meilleurs titres tels que The Funeral (où dans le clip le grand et regretté Ozzy Osbourne faisait une apparition), mars, ou encore braindead! Dans cet album compilation il y a également en ouverture sa marquante reprise de Changes (titre de Black Sabbath) capté en live lors du concert Back to the Beginning, le dernier et ultime de Ozzy Osbourne où tous les fonds ont été reversés à diverses associations afin d’aider les enfants hospitalisés et les malades atteints de la maladie de Parkinson, maladie que Ozzy avait lui-même. 

    Retrouvez également Yungblud en concert le 8 octobre à l’Adidas Arena de Paris. Je ne sais pas pour vous, mais nous mourrons d’impatience de découvrir cet album sur scène. L’énergie de Yungblud devant un public ne peux que embellir ce joyaux et surtout, renforcer son aura de (future) rockstar internationale.