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Between misfits and soulmates

Talking about The Rasmus isn’t just talking about music, it’s personal. I love this band deeply, not just for what they create, but for who they are.

They’re bright souls, endlessly kind, and sincere to the core. The kind of people who can light up a whole venue just by walking on stage. And when they perform? They give it everything, their energy, their guts, their smiles, and you can feel that none of it is fake. It’s 100% real.

The last time I saw them was in October 2022, and honestly, that show still lives in my body. I remember it clearly: I teared up. Not from sadness, just overwhelmed. The music, the crowd, the connection… and that soft, glowing energy they all carry. Even the crew was visibly moved, watching them be so present, so caring, so respectful. We were all kind of looking at each other like, “They’re really like that, huh?” And yep, they really are.

So when they drop an album called Weirdo, you can bet I’m listening to it with my whole heart wide open.

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Entre marginaux et âmes sœurs

Parler de The Rasmus, c’est pas juste parler musique. C’est personnel. Ce groupe, je les aime profondément, pas juste pour ce qu’ils font, mais pour ce qu’ils sont.
Des artistes solaires, bienveillants, sincères jusqu’à l’os. Des gens qui arrivent à faire briller une salle entière juste par leur présence. Sur scène, ils donnent tout : leur énergie, leurs tripes, leurs sourires, et tu sens que rien n’est joué. C’est 100 % vrai.

La dernière fois que je les ai vus, c’était en octobre 2022, et ce concert, je l’ai encore dans la peau. Je me souviens très bien : j’ai versé une larme. Pas de tristesse, juste de trop-plein. L’émotion, le public, la musique, et cette espèce d’aura douce qu’ils dégagent tous… Même le staff technique avait les yeux brillants, ému de les voir si attentifs aux autres, si respectueux. On se regardait tous en mode : “Ils sont vraiment comme ça, hein ?” Oui,  je vous confirme, ils sont vraiment comme ça.

Alors forcément, quand ils sortent un album qui s’appelle Weirdo, je l’écoute avec le cœur grand ouvert.

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An album that proudly embraces being different

Weirdo is all about the ones who don’t fit the mold, and The Rasmus know that feeling inside out. Since day one, they’ve been carving their own path, never chasing trends, with their unique blend of rock, pop, gothic tones, and that signature Scandinavian poetry.

And this time, they’re pushing it even further. The production is slick and modern, you can really feel Desmond Child’s touch, lifting everything without ever overpowering it. The collabs are spot on too: Niko Vilhelm from Blind Channel brings grit to Break These Chains, and Lee Jennings adds depth to the title track Weirdo. There’s groove, boldness, and a clear drive to evolve, while still keeping that unmistakable Rasmus magic, the kind you recognize in two notes.

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Un disque qui assume la différence

Weirdo parle des gens à part, de ceux qui sortent du cadre, et ça, The Rasmus le connaissent bien. Depuis leurs débuts, ils tracent leur route, sans suivre les tendances, avec leur mélange unique de rock, de pop, de goth et de poésie scandinave.

Ici, ils vont encore plus loin. Les prods sont ultra modernes, on sent l’apport de Desmond Child (toujours là pour sublimer sans dénaturer), et les featurings sont bien choisis : Niko Vilhelm de Blind Channel sur Break These Chains, Lee Jennings sur le titre Weirdo. Y’a un vrai groove, une envie de se renouveler, tout en gardant ce petit truc Rasmus qu’on reconnaît entre mille.

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My personal top 3 (and a few bonus gems)

• Creatures of Chaos sets the mood right away, punchy riff, that dark-yet-glowing atmosphere, and a chorus that sticks with you long after.
• Break These Chains is pure unity in a song. The kind you just want to scream at the top of your lungs, arms up, surrounded by strangers who feel like family.
• Weirdo is the mission statement. An anthem for the sensitive, the misfits, the beautifully broken. And Lauri sings it with that voice only he has, soft, scratchy, powerful.

And then there are the other little gems:
Dead Ringer, super pop at heart, but deeply moving.
Love Is A Bitch, offbeat, funky, funny and sad all at once.
Rest In Pieces, darker in tone, but with a light that still shines through.
Even the closing ballad, I’m Coming For You, has that “stadium pop” vibe that might split opinions, but it hits me, because I know where it comes from.

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Mon trio coup de cœur (et plus si affinité)

• Creatures of Chaos plante le décor : riff accrocheur, ambiance sombre-lumineuse, et un refrain qui te reste en tête longtemps.
• Break These Chains est un vrai moment d’unité, à chanter à pleins poumons. Le genre de morceau que t’as envie de hurler en concert, bras levés avec tout le monde.
• Weirdo, c’est la déclaration d’intention. Un hymne pour tous les sensibles, les différents, les cassés-beaux. Et Lauri le chante avec cette voix qu’on n’entend que chez lui — douce, éraillée, puissante.

Et puis y’a les autres pépites :
Dead Ringer, très pop dans l’âme, mais ultra touchant.
Love Is A Bitch, décalé, funky, drôle et triste à la fois.
Rest In Pieces, plus sombre, mais avec cette lumière au fond.
Même la ballade finale, I’m Coming For You, a ce côté “pop de stade” qui peut diviser, mais qui moi me touche, parce que je sais d’où ça vient.

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An album that hits right in the heart

Weirdo isn’t just a good record, it’s a reminder: The Rasmus don’t fake it.
They’ve been doing this for over 30 years, and still, they play every song like it truly matters. This album blends power and softness, melancholy and hope, with thoughtful production, but without ever losing its soul.

And to me, that’s their greatest strength, they’ve stayed human. Intact. Generous. Whether you meet them backstage, in a dressing room, on stage, or in an interview, you feel it, they really see you. And their music? It sees you too.

Must-listen tracks: Creatures of Chaos, Weirdo, Break These Chains, Dead Ringer
Verdict: 4.5 milkshakes — warm, genuine, and so well deserved.

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Un album qui touche au cœur

Weirdo, c’est pas juste un bon disque, c’est un rappel : The Rasmus ne font pas semblant. Ils sont là depuis plus de 30 ans, et pourtant, ils jouent encore comme si chaque chanson était vitale.
Cet album, c’est un mélange de puissance et de douceur, de mélancolie et d’espoir, avec une vraie recherche sonore, mais sans jamais perdre l’âme.

Et pour moi, c’est ça la force du groupe : ils sont restés humains. Intacts. Généreux. Que tu les croises en backstage, dans une loge, sur scène ou en interview, tu sens qu’ils te regardent pour de vrai. Et leur musique, elle fait pareil : elle te voit.

À écouter absolument : Creatures of Chaos, Weirdo, Break These Chains, Dead Ringer
Verdict : 4,5 milkshakes solaires, sincères et mérités sur 5