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Alright folks, this is not a drill: PUP is back, and they’re coming in hot. Like, really hot. With Who Will Look After The Dogs?, the Canadian punks are dropping their fifth album straight in our faces, and spoiler alert: it absolutely rips. No frills, no filter, just raw, messy, honest-as-hell energy. The chaotic spirit that made PUP who they are? Yeah, it’s back, and louder than ever. And guess what? They FINALLY had fun making this record — and damn, you can feel it.

Recorded in L.A. with John Congleton (dude’s worked with everyone from St. Vincent to Swans, so, not some random guy off Craigslist), this album feels like early PUP crashing headfirst into 2025 PUP: still furious, but sharper, more vulnerable, and unapologetically human. Frontman Stefan Babcock, the king of existential sarcasm, delivers 12 tracks that bleed internal chaos and half-healed wounds. It’s messy, it’s heavy, it’s occasionally hilarious, but it’s always real.

FR
Okay les gars, c’est pas un exercice : PUP est de retour, et c’est du lourd. Genre vraiment. Avec Who Will Look After The Dogs?, les Canadiens balancent leur cinquième album en pleine face et spoiler alert : il défonce. Fini les fioritures, ici on est dans du brut, du sale, du sincère, le tout saupoudré de cette énergie bordélique qui a fait leur marque. Et devinez quoi ? Ils ont ENFIN pris du plaisir à l’enregistrer, et bordel, ça s’entend !

Enregistré à L.A. avec John Congleton (le gars a bossé avec tout le monde de St. Vincent à Swans, donc pas un touriste), cet album, c’est un peu comme si le PUP des débuts avait rencontré la version 2025 du groupe : toujours enragée, mais plus affûtée, plus touchante, plus foutrement humaine. Stefan Babcock, le frontman roi du sarcasme existentiel, nous sort 12 morceaux qui sentent bon le chaos intérieur et les cicatrices mal refermées. C’est vulnérable, c’est trash, c’est drôle parfois, mais toujours sincère.

EN
The lyrics? It’s full-on self-therapy on wheels.
Babcock tears himself apart with deadpan one-liners and gut-punch choruses. He digs into love, friendship, and mostly, his own messy brain, and it all lands. Shoutout to the album title: Who Will Look After The Dogs? It’s tragic, it’s ridiculous, it’s kind of perfect. Because when your world’s crashing down, it’s always some dumb little thought like that that smacks you in the face.

Sonically, it’s beautifully unhinged.
Exploding song structures, riffs that hit like sucker punches, shout-along gang vocals, and drums pounding like a heart in full panic mode. It’s chaos, yeah, but the kind built with love.

My Top Track:

“Hallways”
This one hits hard. Written in the middle of Babcock’s personal meltdown, it’s soaked in raw clarity and razor-sharp self-deprecation. It feels like a diary entry screamed into a mic, with riffs that fry your brain and a chorus that latches onto your soul. You feel this one, like yelling into a moldy hallway at 3am, totally wrecked and weirdly alive.

FR
Les textes ? Une auto-thérapie en roue libre. Le gars se démonte lui-même à coup de punchlines désabusées et de refrains qui tabassent. Il parle d’amour, de ses potes, de lui-même (surtout quand ça va pas) et ça tape juste. Mention spéciale au titre de l’album : Who Will Look After The Dogs? , c’est tragique, c’est absurde, c’est parfait. Parce que quand tout part en vrille, il reste toujours cette question con qui nous percute.

Musicalement, c’est du grand n’importe quoi maîtrisé : des structures qui explosent, des riffs qui s’enchaînent comme des uppercuts, des chœurs braillards, et cette batterie qui martèle comme un cœur sous acide. Bref, c’est le chaos organisé, mais avec amour.

Mon coup de cœur :

“Hallways”
C’est LE morceau qui fout direct les poils. Écrit en plein effondrement perso de Babcock, ça transpire le mal-être lucide et le sarcasme à fleur de peau. Y a un truc hyper intime, genre journal intime crié au micro, mais avec des riffs qui te vrillent le crâne. Le refrain te colle aux tripes et t’as envie de gueuler avec lui dans un couloir moisi à 3h du mat’

EN
Honestly, picking just three favorites is rough, the whole album’s an emotional rollercoaster. But those three tracks? They hit extra hard.

And hey, if you’ve never seen PUP live, heads up: they’re hitting Paris on May 25th at La Bellevilloise. Miss it and, well… that’s on you. Sure, you can still blast the album on repeat while crying in your room, but come on, grab a ticket. It’s gonna be chaos in the best possible way.

FR
Bref, difficile de faire un top 3 parce que tout l’album est un rollercoaster d’émotions, mais ces trois-là claquent particulièrement fort.

Et si vous les avez jamais vus en live, sachez qu’ils passent en mai à Paris (le 25 à la Bellevilloise) et si vous ratez ça… ben tant pis pour vous. Vous pourrez toujours écouter l’album en boucle en pleurant dans votre chambre. Mais franchement, prenez vos places.

EN
The verdict?
PUP are back, louder, funnier, and more brutally honest than ever. Who Will Look After The Dogs? is a punk-rock pressure valve: it hits hard, but weirdly comforts you too. Like that slap in the face from your best friend who yells, “Get your shit together, dude.” It’s an album to scream in the street, play in the dark, or lose your voice to at a show. In short? A future classic.

You blasting it on release day,or waiting ’til it’s too late?

FR
En résumé ?
PUP revient plus fort, plus drôle, plus vrai que jamais. Who Will Look After The Dogs? est un exutoire punk qui cogne dur mais qui réconforte aussi, comme une claque de votre pote qui vous dit « allez, relève-toi, connard ». Un album à gueuler dans la rue, à écouter dans le noir ou à hurler en concert. Bref, un futur classique.

Tu vas l’écouter à sa sortie ou tu vas attendre qu’il soit trop tard ?