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From the very first notes, The Cult by Parallyx pulls you into a world that’s both intense and refreshingly original. What hit me right away was the band’s ability to blend metal influences with modern sounds and a touch of Eastern flair, adding a genuine freshness to the mix. Honestly, it’s refreshing to hear something that breaks the mold yet remains catchy.

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The Cult de Parallyx est un album qui, dès les premières notes, te plonge dans un univers à la fois puissant et original. Ce qui m’a frappé tout de suite, c’est cette capacité du groupe à mélanger des influences métal avec des sonorités plus modernes et des touches orientales qui apportent une vraie fraîcheur à l’ensemble. Honnêtement, ça fait du bien d’entendre quelque chose qui sort des sentiers battus, tout en restant accrocheur.

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The album kicks off strong with “The Call”, where sharp, melodic guitar hooks immediately set the vibe. The riff hits hard, but it’s this fusion of power and melody that keeps you hooked. This opener gets you ready for what’s next, you already know you’re in for an intense ride.

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L’album démarre fort avec « The Call », où la guitare mélodique et tranchante te plonge directement dans l’ambiance. Le riff est puissant, mais c’est cette capacité à mélanger force et mélodie qui te donne envie de rester accroché. Ce premier morceau te met dans de bonnes dispositions pour la suite, et tu sais déjà que tu vas embarquer pour un voyage intense.

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With “Doomsday”, Parallyx turns up the heat even more. The opening scream is brutal and right on point, and Lina Benabdesslem nails it, switching between singing and screaming, adding a whole new level of intensity. The lyrics, “I walk around With a crown and no one to bow”, It gives the image of someone with all the power, but with no one around to admire them, kind of like being at the top, but alone, so it feels a bit hollow. And that amplifies the sense of chaos; you can feel that urgency in every riff. The track is intense, the kind that leaves you worn out, in a good way. The contrast between the gritty vocals and the clearer moments creates a dynamic that never lets up.

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Avec « Doomsday », Parallyx enfonce encore le clou. Le scream dès le début est brutal et efficace, et Lina Benabdesslem fait un excellent boulot en alternant entre des passages chantés et des screams qui viennent ajouter une vraie intensité. Les paroles, “I walk around With a crown and no one to bow“, ça donne l’image de quelqu’un qui a tout le pouvoir, mais sans personne autour pour l’admirer, un peu comme être au sommet, mais seul, donc ça sonne un peu creux. Et ça renforce ce sentiment de chaos, et tu sens cette urgence à travers chaque riff. Le morceau est intense, et c’est le genre de titre qui te laisse sur les rotules, mais dans le bon sens. L’alternance entre le chant saturé et les moments plus clairs crée une dynamique qui ne faiblit pas.

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“Matriochka” is hands down my favorite track on the album. It brings a hyper-modern vibe with a rap flow that’s unexpected at first but blends perfectly. “Did you really think that it would be so easy to leave? ” This phrase stands out particularly because it captures the idea of an impossible escape, with a touch of threatening defiance that makes the atmosphere even darker and more captivating. There’s real depth here, and the combination of this powerful message with an electro-infused, choppy beat is so well executed. This is where Parallyx showcases their modern edge, fearlessly breaking genre rules to offer something unique.

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« Matriochka » est sans aucun doute mon titre préféré de l’album. Ce morceau apporte une touche ultra moderne, avec un flow rappé qui surprend au début, mais qui s’intègre parfaitement au reste. «  Did you really think tant it would be so easy to leave » Cette phrase ressort particulièrement, car elle capture l’idée d’une fuite impossible, avec une touche de défi menaçante qui rend l’atmosphère encore plus sombre et captivante. Il y a une vraie profondeur dans ce morceau, et la combinaison entre ce texte puissant et la musique, plus électro et saccadée, est hyper réussie. C’est là que Parallyx montre toute sa modernité, en n’hésitant pas à casser les codes et à proposer quelque chose d’unique.

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When “Pandemonium” hits, the album reaches a new level of intensity. This track is heavier, more aggressive, and really ramps up the tension. What’s cool is the contrast between the super-heavy verses and a more airy chorus. You can feel the band’s mastery in balancing raw power with subtle moments. It’s a song that shakes you but gives you just enough space to breathe.

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Arrivé à « Pandemonium », l’album atteint une nouvelle intensité. Ce morceau est plus saturé, plus rageur, et il fait vraiment monter la tension. Ce qui est cool, c’est le contraste entre les couplets hyper lourds et le refrain plus aérien. Tu sens que le groupe maîtrise parfaitement cet équilibre entre puissance et moments plus subtils. C’est un morceau qui te secoue, mais qui sait aussi te laisser respirer au bon moment.

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One of the standout features of The Cult is the subtle incorporation of Eastern sounds, especially in “The Remedy”. This track opens with guitar lines that evoke Eastern melodies, instantly setting a transporting mood. It’s not just a decorative touch, it’s integral to the song’s structure, giving it real character. You can tell the band wanted to experiment while keeping the album cohesive. The mix between this exotic intro and the more contemporary metal core of the rest of the track is seamless. Lina’s vocals shine here, and the production is so clean that each element stands out perfectly.

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L’une des choses qui démarque vraiment The Cult des autres albums de metalcore, c’est l’intégration subtile de sonorités orientales, particulièrement dans « The Remedy ». Ce morceau commence avec des guitares qui évoquent des mélodies orientales, créant une ambiance qui t’embarque immédiatement. Ce n’est pas juste un ajout pour faire joli, ça fait partie intégrante de la structure du morceau et ça lui donne une vraie personnalité. Tu sens que le groupe a voulu expérimenter tout en restant cohérent avec le reste de l’album. Le mix entre cette intro plus exotique et le reste du morceau, plus metal et actuel, fonctionne à merveille. Lina fait un excellent boulot avec son chant, et la production est tellement propre que chaque élément ressort parfaitement.

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Parallyx makes a strong visual impression as well. The music video for “Walk Away” perfectly embodies this modernity, with an aesthetic marked by lights and colors that heighten the experience. It’s not just a basic visual accompaniment; it’s a true extension of Parallyx’s musical universe. The direction is polished, and you can feel that every detail is crafted to enhance the listening experience. The band knows how to use visuals to add even more depth to their music, and that’s truly one of their major strengths.

The footage consists exclusively of live concert shots, capturing the atmosphere before and after each performance.

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Parallyx impressionne aussi visuellement. Le clip de “Walk Away” incarne parfaitement cette modernité avec une esthétique marquée par des lumières et des couleurs qui intensifient l’expérience. Ce n’est pas simplement un support visuel classique, mais une véritable extension de l’univers musical du groupe. La réalisation est soignée, chaque détail est pensé pour enrichir l’écoute. Le groupe maîtrise l’art de renforcer l’impact de leur musique à travers les visuels, et c’est là une de leurs grandes forces.

Les images viennent exclusivement de concerts live, capturant l’atmosphère avant et après chaque performance.

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The album closes with “Vices of Men”, a track that surprises with its rap sections. Once again, Parallyx isn’t afraid to mix genres, adding a fresh, modern edge to their music. The track is punchy and wraps up the album on a distinctive and memorable note. It’s a bold choice but fits perfectly within the world they’ve built throughout The Cult.

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L’album se termine avec « Vices of Men », un morceau qui surprend avec ses passages rappés. Encore une fois, Parallyx n’hésite pas à mélanger les genres et à apporter une touche moderne à sa musique. Ce morceau est efficace, et clôture l’album sur une note originale et marquante. C’est un choix audacieux, mais qui fonctionne parfaitement dans l’univers qu’ils ont créé tout au long de The Cult.

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The Cult by Parallyx is an album that packs a punch, not only in its musical power but also in its originality. What I really loved was the band’s ability to mix modern elements like electro, rap, and Eastern sounds, all while staying grounded in solid metal. Each track brings something new, and together, they form a cohesive, addictive whole. From sharp riffs and Lina’s vocals to unexpected moments like “Matriochka” and “The Remedy”, this album is a refreshing breath of fresh air in the metalcore scene.

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The Cult de Parallyx est un album qui frappe fort, non seulement par sa puissance musicale, mais aussi par son originalité. Ce qui m’a vraiment plu, c’est cette capacité à mélanger des éléments modernes comme l’électro, le rap, et des touches orientales, tout en restant ancré dans une base métal solide. Chaque morceau apporte quelque chose de nouveau, et le tout forme un ensemble cohérent et addictif. Que ce soit les riffs tranchants, la voix de Lina, ou les petites surprises comme « Matriochka » et « The Remedy », cet album est un vrai vent de fraîcheur dans le paysage metalcore.