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Lucie Sue is back with Battlestation, her highly anticipated second album. The French rocker and her band aren’t just playing music, they’re wielding it like a weapon to blow your mind. The record, born from the chemistry between Lucie, Mitch (guitar), Laura (bass), and Enzo (drums), is a full-blown manifesto of energy. Battlestation is a battle cry for anyone who stands their ground unapologetically and doesn’t wipe their feet before walking in. You simply can’t resist being swept away by its tidal wave of power.

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Lucie Sue est de retour avec Battlestation, son deuxième album très attendu. La rockeuse française et son groupe ne se contentent pas de jouer de la musique : ils l’utilisent comme une arme pour nous péter la gueule. Le disque, né de l’alchimie entre Lucie, Mitch (guitare), Laura (basse) et Enzo (batterie), est un véritable manifeste d’énergie. Battlestation est un cri de ralliement pour celles et ceux qui s’affirment sans s’excuser et ne s’essuient pas les pieds avant d’entrer. Il est impossible de ne pas être emporté par son flot de puissance.

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The album kicks off at full throttle with the title track, “Battlestation,” a dark march that instantly sets a mood of pure determination. From the very first notes, you’re pulled straight into the band’s world. The tension builds gradually, creating a palpable sense of anticipation. Mitch’s guitar work is razor-sharp, each note cut with surgical precision. Meanwhile, Laura’s deep bass lines provide a steady, pounding pulse that gives the track its weight, gravity, and, most importantly, intensity. Enzo’s drumming is crisp and powerful, driving the song forward like a battle tank. His precise, hard-hitting strikes push the track onward, creating an unstoppable momentum. Together, these elements craft an introduction that’s both menacing and majestic, priming the listener for the chaos and beauty that will unfold across the rest of the album.

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L’album démarre sur les chapeaux de roue avec le morceau éponyme, « Battlestation », une marche sombre qui installe immédiatement une ambiance pleine de détermination. Dès les premières notes, on est transporté dans l’univers du groupe. La tension monte progressivement, créant une attente palpable. Le jeu de guitare de Mitch est d’une précision remarquable, chaque note semble ciselée avec une exactitude chirurgicale. En parallèle, les lignes de basse profondes de Laura apportent une pulsation constante et lourde qui donne au morceau toute sa gravité et son poids et surtout son intensité. Quant à la batterie d’Enzo, elle est à la fois nette et puissante, insufflant un rythme de char d’assaut à l’ensemble. Ses frappes précises et percutantes propulsent ce morceau en avant, créant une véritable dynamique. Ensemble, ces éléments forgent une introduction à la fois menaçante et majestueuse, préparant l’auditeur au chaos et à la beauté qui se dévoileront dans le reste de l’album.

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The album doesn’t lose any of its intensity with “Hush”, a short, punchy track that radiates controlled urgency. In under three minutes, the band manages to ignite a full-blown explosion of tension. Lucie’s vocals are particularly striking, swinging from sly whispers to powerful roars. This vocal duality highlights the band’s raw emotional range and expressive power. You get the sense the group is holding its breath, keeping the tempo under extreme pressure before letting it inevitably erupt in unbridled energy.

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L’album ne perd rien de son intensité avec le morceau « Hush », une piste courte et percutante qui dégage une impression d’urgence maîtrisée. En moins de trois minutes, le groupe parvient à créer une véritable explosion de tension. Le chant de Lucie est particulièrement remarquable, alternant entre un murmure sournois et un rugissement puissant. Cette dualité vocale met en évidence la palette d’émotions brutes et la puissance expressive du groupe. On a l’impression que la formation retient son souffle, maintenant le tempo sous haute pression avant de le laisser inévitablement exploser avec une énergie débridée.

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“Ride the Wired Wild Tiger” is without a doubt one of the album’s high points. The track stands as an instant rock anthem, elevated by a guest appearance from Satchel of Steel Panther. It’s a full-throttle sonic chase, driven by blazing guitar riffs, galloping bass, and a relentless rhythm section that leaves no room to catch your breath. Satchel’s devastating solo meshes perfectly with Lucie’s powerhouse vocals, creating a peak moment that hits like a lightning strike. This is a wild, untamed track, tailor-made to set the biggest festival stages on fire.

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« Ride the Wired Wild Tiger » est sans conteste l’un des sommets de l’album. Ce morceau s’impose comme un hymne rock instantané, sublimé par la participation de Satchel de Steel Panther. La chanson est une véritable course-poursuite sonore, portée par des riffs de guitare endiablés, une basse galopante et une rythmique qui ne laisse aucun répit. Le solo dévastateur de Satchel s’y fond à la perfection avec la voix puissante de Lucie, créant un moment d’apogée. C’est un morceau sauvage, taillé sur mesure pour embraser les plus grandes scènes de festivals.

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After the intensity of the opening tracks, the mood shifts dramatically with “Bela”, a darker, more atmospheric piece. The arrangement puts Lucie’s voice front and center, giving her the space to stretch out and fully unfold. This restraint isn’t a sign of weakness; on the contrary, it showcases the band’s versatility, proving they can generate as much tension in a whisper as they can in a scream. It’s a masterclass in control and subtlety.

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Après l’intensité des premiers morceaux, l’ambiance change radicalement avec « Bela », une piste plus sombre et atmosphérique. Cet arrangement met la voix de Lucie en lumière, lui donnant l’espace nécessaire pour s’étirer et se déployer pleinement. Cette retenue n’est pas un signe de faiblesse ; au contraire, elle révèle la polyvalence du groupe, prouvant sa capacité à créer une tension aussi puissante dans un murmure que dans un cri. C’est une démonstration de leur maîtrise et de leur subtilité.

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The middle of the album hits hard, stringing together tracks with relentless energy. “Bacha Boulou” surprises with its unexpected tempo changes, backed by a bold rhythm section that pushes every limit. Then comes “Burn Your Candles”, a simple yet perfectly executed track, propelled by Enzo’s drums, which inject a contagious sense of urgency. This frenzy pairs seamlessly with Lucie’s fiery vocals, creating pure adrenaline. The album continues with “The Famous Last Words”, a track that feels like a farewell to bitterness. Beneath its biting hard rock exterior, Mitch’s guitar melodies soften the aggression, providing a contrast that amplifies the song’s emotional impact.

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Le milieu de l’album frappe fort, enchaînant les morceaux avec une énergie implacable. « Bacha Boulou » surprend par ses changements de rythmes inattendus, soutenus par une section rythmique audacieuse qui repousse les limites. Puis, avec « Burn Your Candles », le groupe livre un morceau simple mais juste, porté par la batterie d’Enzo qui insuffle une urgence communicative. Cette frénésie s’harmonise parfaitement avec la fougue du chant de Lucie, créant un sentiment d’adrénaline pure. L’album se poursuit avec « The Famous Last Words », une piste qui sonne comme un adieu à l’amertume. Sous son enveloppe de hard rock mordant, les mélodies de guitare de Mitch viennent adoucir l’agressivité du morceau, offrant un contraste qui renforce son impact émotionnel.

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The track “I Will Shit Where You Sleep” goes far beyond simple provocation. It’s a challenge, a raw expression of the band’s punk rage. The song is controlled chaos, with the group locking into a primal, almost instinctive groove. The contrast is striking with the next track, “Boring”, a short, fast burst that, far from being dull, delivers pure adrenaline. Once again, it proves the band’s ability to go straight for the jugular, no compromises. The album keeps its energy at full throttle with “Knud”, a track driven by a bass line bursting with life. Every note feels alive, dragging the listener into a wild, headlong race. Then comes “Reckless”, perfectly embodying the spirit of Battlestation: bold, dynamic, and fearless. Lucie’s voice commands authority, each line ringing like a battle cry. Meanwhile, the music crackles like wildfire, instruments trading blows in a torrent of power and rage. This is a track that cements the band’s identity with raw force and unwavering conviction.

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Le titre « I Will Shit Where You Sleep » va bien au-delà de la simple provocation. C’est un défi, une expression de la hargne punk du groupe. Le morceau est un chaos sonore maîtrisé, où la formation s’enferme dans un groove primaire, presque instinctif. Le contraste est saisissant avec la piste suivante, « Boring », un morceau court et rapide qui, loin d’être ennuyeux, délivre une dose pure d’adrénaline. Il prouve une fois de plus la capacité du groupe à aller droit au but, sans compromis. L’album maintient son énergie à un niveau maximal avec « Knud », une piste propulsée par une ligne de basse débordante d’énergie. Chaque note semble animée d’une force propre, entraînant l’auditeur dans une course folle. Puis arrive « Reckless », qui incarne à la perfection l’esprit même de Battlestation : audacieux, dynamique et intrépide. La voix de Lucie est pleine d’autorité, chaque phrase sonnant comme un cri de guerre. Pendant ce temps, la musique crépite comme un incendie, les instruments se répondant dans un déferlement de puissance et de rage. C’est un morceau qui scelle l’identité du groupe avec une force brute et une conviction inébranlable.

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As the album nears its end, “10 Minutes” offers a final exploration of the band’s dynamic range. The track stretches out, taking its time to move from a quiet, intimate opening to an explosive crescendo. It’s a complex piece that showcases the group’s ability to build tension gradually, leading the listener into a final surge of energy before settling into calm. The album closes on a surprising note with “Counter Clockwise”, an emotionally charged acoustic track. After the sonic chaos that runs through the record, this gentle conclusion is both bold and effective. Lucie’s voice, raw and honest, floats over delicate guitar work. It’s a soft landing that leaves a lasting impression of vulnerability and authenticity, providing a final touch of beauty to this intense and unpredictable album.

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Alors que l’album touche à sa fin, « 10 Minutes » offre une dernière exploration des dynamiques du groupe. Le morceau s’étire, prenant son temps pour passer d’un début discret et intimiste à un crescendo explosif. C’est une pièce complexe qui montre la capacité de la formation à construire une tension progressive, menant l’auditeur vers un déchaînement d’énergie final avant le calme. L’album se conclut de manière surprenante avec « Counter Clockwise », une pièce acoustique chargée d’émotions. Après le chaos sonore qui a traversé l’ensemble de l’album, cette conclusion apaisée est un choix audacieux et efficace. La voix de Lucie, à la fois brute et honnête, flotte au-dessus d’un jeu de guitare délicat. C’est une fin tout en douceur qui laisse une impression de vulnérabilité et d’authenticité, offrant une dernière touche de beauté à cet album intense et imprévisible.

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What gives Battlestation its power is the unbreakable unity that binds Lucie Sue and her band. Each member contributes uniquely to the album’s sonic identity. Mitch’s guitar work is remarkably versatile, slicing through the air like a blade, scorching the listener with abrasive riffs, or soothing with delicate melodies. Laura’s bass acts as the group’s beating heart, anchoring the wildest passages with a steady, powerful pulse. Enzo’s drumming is a source of unstoppable energy, capable of subtle shifts in texture and lightning-fast surges that drive every track forward. At the center of it all is Lucie, a magnetic presence who commands attention with her voice and vision. Lucie Sue doesn’t just draw inspiration, she channels the raw spirit of ’90s alternative and metal, making it her own with bold style and creative instinct.

Her performances on Battlestation prove she can go toe-to-toe with the biggest names in the genre. Forget comparing them to all-female bands, they can easily school most all-male groups. Whether she’s screaming over distorted riffs, singing an acoustic ballad, or leading a stadium-worthy chorus, her voice is always full of conviction and authenticity. With its mix of rock anthems, raw punk moments, and moving ballads, Battlestation is an album that grows with every listen, latching onto your memory and standing the test of time.

Lucie Sue and her crew have created a fierce, authentic, and dynamic record, a shining testament to a band in complete command of its power.

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Ce qui fait la force de Battlestation, c’est l’unité indéfectible qui unit Lucie Sue et son groupe. Chaque membre contribue de manière unique à l’identité sonore de l’album. Le jeu de guitare de Mitch est d’une polyvalence remarquable, capable de trancher l’air comme une lame, de brûler l’auditeur avec des riffs abrasifs ou de l’apaiser avec des mélodies délicates. La basse de Laura agit comme le cœur battant du groupe, ancrant les passages les plus fous avec une pulsation constante et puissante. Quant à la batterie d’Enzo, elle est une source de dynamisme, capable de subtils changements de texture et d’accélérations fulgurantes qui donnent une énergie imparable aux morceaux. Au centre de tout cela se trouve Lucie, une présence magnétique qui domine l’ensemble par sa voix et sa vision. Lucie Sue ne se contente pas de s’inspirer ; elle canalise l’esprit brut de l’alternatif et du metal des années 90, s’appropriant ces influences pour les imprégner de son style audacieux et de son instinct créatif. Ses performances sur Battlestation prouvent qu’elle est capable de rivaliser avec les plus grands noms du genre. On ne les comparera pas à des groupes féminin, car en vrai ils sont capable de mettre à l’amende la plupart des groupes 100% mecs. Qu’elle hurle sur des riffs distordus, qu’elle chante sur une ballade acoustique ou qu’elle entonne un chœur de stade, sa voix est toujours pleine de conviction et d’authenticité. Avec son mélange d’hymnes rock, de moments punk bruts et de ballades émouvantes, Battlestation est un album qui évolue avec chaque écoute, qui s’accroche à votre mémoire et restera dans le temps. Lucie Sue et sa bande ont créé un album féroce, authentique et dynamique, une preuve éclatante de la puissance d’un groupe en pleine possession de ses moyens.