EN
Chaos now has a date: on September 5th, 2025, ten56. drops their second album IO — and it’s gonna hit like a freight train.

FR
Le chaos a une date : le 5 septembre 2025, ten56. lâche son deuxième album IO – et ça va secouer.

EN
Even before I met the guys from ten56. on August 26th (interview coming soon 👀), their new album IO had already hit me like a ton of bricks. But after meeting them, every track hits different, you really start to feel the rage, the cracks, and the raw honesty behind all that organized chaos. And honestly, that makes the whole record hit even harder.

FR
Avant même de voir les gars de ten56. le 26 août dernier (ITW à venir 👀), j’avais déjà pris une grosse claque avec leur nouvel album IO. Mais après les avoir rencontrés, chaque morceau résonne différemment : tu comprends mieux la rage, les failles et la sincérité derrière ce chaos organisé. Et franchement, ça donne encore plus de poids à ce disque.

EN
From the very first track, “Doormat”, there’s no catching your breath, it grabs you by the throat with a sound as heavy as reinforced concrete. But IO isn’t just punch after punch. Between the trap vibes on “Pig”, the clean vocals on “Snapped Neck”, and the unsettling interludes like “LIFEISACHORE.MOV”, you can tell the band loves to blur the lines. The result? An unpredictable, violent, but never dull record.

Every track has its own identity: some are built for the pit (“I Know Where You Sleep,” “PTY FCK”), others leave you straight-up uncomfortable (“Earwig”), and some take you in totally unexpected directions, mixing in rap or raw vulnerability (“Friends,” “IO”). And somehow, it all fits together, proof that ten56. has complete control over their chaos.

FR
Dès “Doormat”, impossible de souffler : ça t’attrape par la gorge avec un son lourd comme du béton armé. Pourtant, IO n’est pas qu’une suite de mandales : entre les atmos trap de “Pig”, le chant clair sur “Snapped Neck”, ou les interludes déstabilisants comme “LIFEISACHORE.MOV”, tu sens que le groupe aime brouiller les pistes. Résultat : un album imprévisible, violent, mais jamais monotone.

Chaque titre a sa propre identité : certains taillés pour la fosse (“I Know Where You Sleep”, “PTY FCK”), d’autres qui te mettent mal à l’aise (“Earwig”), et d’autres encore qui t’embarquent carrément ailleurs avec du rap ou une vulnérabilité inattendue (“Friends”, “IO”). Le tout s’imbrique parfaitement, preuve que ten56. maîtrise son chaos.

EN
What hits the hardest is that you just can’t compare ten56. to anyone else. They’ve carved out their own lane, a filthy mix of crushing deathcore, industrial vibes, and gritty hip-hop undertones. It’s their thing, and it works.

With IO, ten56. comes out swinging from start to finish, throwing haymakers without ever repeating themselves. Brutal, unpredictable, dark, and insanely catchy, this album proves the band is blazing their own trail with a sound and identity that’s impossible to mistake.

FR
Le plus frappant, c’est qu’on peut pas les comparer à qui que ce soit. ten56., c’est une patte unique : un mélange de deathcore massif, de vibes indus et d’accents hip-hop crasseux. C’est leur truc, et ça marche.

Avec IO, ten56. balance des patates de forain du début à la fin, mais sans jamais tourner en rond. Brutal, surprenant, sombre et accrocheur, l’album confirme que le groupe trace sa route à part, avec une identité qu’on ne peut pas confondre.

EN
Verdict: 4 out of 5 milkshakes, thick, heavy, and guaranteed to shake you up.

And if the album already had me hooked, the August 26th interview only confirmed one thing: behind all that violence, there’s a raw honesty that makes all the difference.

FR
Verdict : 4 milkshakes sur 5, bien lourds, qui te remplissent et te retournent.

Et si le disque m’avait déjà scotché, l’interview du 26 août m’a juste prouvé une chose : derrière cette violence, il y a une sincérité qui fait toute la différence.