Hymns in Dissonance: Whitechapel Unleashes Deathcore’s New Apex Predator EN/FR

Band: Whitechapel
Album Title: Hymns in Dissonance
Label: Metal Blade Records, Inc
Release Date: March 7, 2025

EN
WhitechapelHymns in Dissonance

A Monstrous Gut Punch, an Emotional Steamroller!

Release Date: March 7, 2025

From the very first seconds of Hymns in Dissonance, Whitechapel hits like a sledgehammer to the face, and doesn’t let up for the next 45 minutes. It’s heavy, it’s grimy, it’s downright unsettling… yet you can’t stop listening. This album is a beast, an absolute milestone in deathcore, and I’m going to say it outright: this might just be the best deathcore album of the decade. Yeah, I said it.

And because I don’t do half-measures, I’m giving it 5/5 milkshakes, a rating I’ve only given once in my entire life. That should tell you something.

FR
Whitechapel – « Hymns in Dissonance »

Une claque monumentale, un rouleau compresseur émotionnel ! 

Sortie prévue : 7 mars 2025

Dès les premières notes de Hymns in Dissonance, Whitechapel nous envoie une droite en pleine face et ne nous laisse aucun répit pendant les 45 minutes qui suivent. C’est du lourd, du poisseux, du malaisant, et pourtant, impossible de décrocher. Cet album est un monstre, une référence absolue en deathcore, et je vais être clair tout de suite : on tient probablement le meilleur album deathcore de la décennie. Oui, rien que ça.

Et parce que je ne fais pas dans la demi-mesure, je lui attribue 5/5 milkshakes, la note maximale, que je n’ai donnée qu’une seule autre fois dans ma vie. Autant vous dire que ce n’est pas pour rien.

EN
An Album That Hits You Physically – There’s No Escaping It

This album is an emotional rollercoaster and a facial expression generator. You’ll go from frantic headbanging to that “this riff makes me want to flip a table” psycho stare, to sitting in stunned silence, shaken by some of the most unnerving dissonance you’ve ever heard. Every track has its own character, its own energy, and its own intensity.

“Prisoner 666” kicks off the album like a violent exorcism. The opening riff slams like a battering ram, and Phil Bozeman sounds more possessed than ever. The production is absolutely massive, thick, suffocating, relentless. It feels like being locked in a shrinking room, the pressure building with every passing second.

“Hymns in Dissonance”, the title track, is a masterpiece of darkness. We’re talking cult rituals, pure chaos, and total destruction. The main riff is pure anarchy, the drums hit like a machine gun, and Bozeman’s vocals crawl under your skin. This is deathcore at its most nightmarish.

“Diabolic Slumber” is straight-up oppressive. Slow, crushing rhythms, a suffocating atmosphere, it’s like being trapped in a nightmare you can’t wake up from. The entire track oozes apathy and doom, yet somehow, it’s addicting as hell.

“A Visceral Retch” is pure gut-churning violence. If you love Whitechapel at their most primal, this is your song. Riffs that slice like a butcher’s knife, drums that hit like a jackhammer, and Bozeman basically vomiting his soul into the mic.

FR
Un album à l’impact physique : impossible de rester neutre 

Cet album, c’est une montagne russe d’émotions et d’expressions faciales. On passe par le headbang frénétique, le regard de psychopathe en mode “ce riff me donne envie de renverser un meuble”, puis le silence choqué face à certains passages ultra-dissonants. Chaque titre a son propre délire, son ambiance, son intensité.

Prisoner 666” ouvre l’album comme un exorcisme brutal, avec un riff principal qui frappe comme un bélier et un Bozeman plus possédé que jamais. La prod est massive, le son est épais, chaque instrument t’écrase, c’est comme si t’étais enfermé dans une pièce sans issue et que la pression montait petit à petit.

Hymns in Dissonance”, le morceau éponyme, est un pur chef-d’œuvre de noirceur. On parle d’un culte maléfique, de rituels obscurs, de péchés capitaux et de destruction totale. Le riff principal hurle le chaos, la batterie est un matraquage incessant et les vocaux te filent des frissons dans la colonne vertébrale. Un monument du genre.

Diabolic Slumber”, c’est le malaise incarné. Des rythmiques pesantes, une ambiance suffocante, un tempo qui te donne l’impression d’être dans un cauchemar dont tu ne peux pas te réveiller. Ce morceau pue l’apathie et la fin du monde, mais c’est tellement addictif.

A Visceral Retch” : Imagine un déferlement de violence qui te retourne l’estomac. Ce morceau, c’est du Whitechapel à son plus primal : des riffs assassins, une batterie en mode rouleau compresseur, et Phil Bozeman qui te crache ses tripes au visage.

EN
“Hate Cult Ritual” is the pit-starter. You hear the first notes, and your only instinct is to run straight into a wall. And then it just keeps getting heavier, nastier, and more unhinged. That final breakdown? Absolute sonic devastation.

“The Abysmal Gospel” plays with contrast, a deceptively melodic intro before plunging into sheer carnage. It’s a transformation from man to monster, and it’s both terrifying and exhilarating.

“Bedlam”? Fast. Chaotic. Unrelentingly violent. And yet, somehow, it grooves like a tank rolling through a city. This track is pure controlled chaos.

“Mammoth God” might be the most “metal” track on the album. Dark, grandiose, melodic, and that final solo? Monstrous.

“Nothing is Coming for Any of Us” closes things out with a mix of epic and horrifying. It’s got this eerie sense of finality, leaving you caught between awe and dread as the outro fades into oblivion.

FR
Hate Cult Ritual”, c’est LE titre qui va déclencher les plus gros pits en live. Dès les premières notes, t’as juste envie de foncer dans le mur, et plus le morceau avance, plus ça devient un carnage. Le breakdown final est une pure destruction auditive.

The Abysmal Gospel” : Ici, Whitechapel joue avec les contrastes. Un début quasi-mélodique, avant de sombrer dans une violence crue, une transformation de l’humain vers le monstre. C’est oppressant et jouissif à la fois.

Bedlam” enfonce encore un peu plus le clou. Ça va vite, c’est chaotique, ultra-violent, et pourtant, ça groove comme un tank. Impossible de rester immobile sur ce titre.

Mammoth God” est probablement le plus “metal” de l’album. C’est sombre, épique, mélodique, et cette montée vers un solo final juste monstrueux le rend absolument mémorable.

Nothing is Coming for Any of Us” clôture l’album en beauté, mais aussi avec une certaine mélancolie malsaine. C’est à la fois épique et terrifiant, et l’outro laisse une sensation étrange, entre admiration et oppression.

EN
And if you thought this album was just mindless brutality, think again. Hymns in Dissonance isn’t just a collection of heavy tracks, it’s a full-on descent into hell, where every song embodies a deadly sin. But don’t expect vague allusions or half-baked concepts. Whitechapel doesn’t do subtlety. They shove humanity’s worst instincts right in your face, no filter, no mercy.

You’ve got pure, unhinged rage bleeding through Hate Cult Ritual, a level of fury so intense it feels like the entire track is possessed. Apathy and lethargy turn Diabolic Slumber into a suffocating void, dragging you down with every note. Gluttony and excess explode on A Visceral Retch, a relentless gut punch that feels like taking repeated hits straight to the stomach. Even lust and depravity seep through in certain eerie, unsettling moments, making the whole experience feel even more twisted.

Whitechapel isn’t just delivering heaviness, they’re building an atmosphere of suffocation, a world where every riff is punishment, and every Bozeman scream sounds like another soul being damned. This isn’t just an album that hits hard, it’s an experience that grabs you by the throat, pulls you into the chaos, and doesn’t let go until it’s sure you’re left gasping for air.

FR
Et si tu pensais que l’album n’avait pas de fil conducteur, détrompe-toi. Hymns in Dissonance n’est pas juste une accumulation de violence gratuite, c’est une véritable descente aux enfers, où chaque morceau incarne un péché capital. Mais ici, pas question de simples allusions ou de concepts fumeux. Whitechapel ne fait pas dans la subtilité : ils te balancent chaque travers humain en pleine face, sans filtre, avec une brutalité qui te laisse exsangue.

T’as la colère absolue qui suinte de Hate Cult Ritual, une rage tellement pure qu’elle semble posséder chaque note. L’apathie et la léthargie transforment Diabolic Slumber en un gouffre sonore dont il est impossible de s’extraire. La voracité et l’excès explosent sur A Visceral Retch, un déferlement de violence qui te fait sentir chaque coup dans l’estomac. Même la luxure et la perversion ont leur place, avec ces ambiances poisseuses et oppressantes qui se dégagent de certains passages.

Whitechapel ne se contente pas de jouer la carte de la brutalité, ils créent une atmosphère suffocante, un monde où chaque riff est une punition, chaque hurlement de Bozeman une damnation supplémentaire. Ce n’est pas juste un album qui frappe fort, c’est une expérience qui te prend à la gorge, t’immerge dans le chaos et ne te lâche qu’une fois qu’il est sûr que tu sois à bout de souffle.

EN
A Massive Production, A Band at Their Peak

The sound on this album is huge. Every instrument cuts through like a razor blade, while still carrying that crushing weight Whitechapel is known for. The riffs are razor-sharp, the drums hit like a freight train, and Phil Bozeman? Not human.

FR
Une prod massive, un groupe au sommet 

Le son de cet album est monstrueux. Chaque instrument est mis en avant avec une clarté chirurgicale, tout en gardant cette lourdeur suffocante propre à Whitechapel. Les riffs sont affûtés comme des lames de rasoir, la batterie est un bulldozer, et les vocaux de Phil Bozeman sont tout simplement inhumains.

EN
A Deathcore Milestone

Hymns in Dissonance isn’t just a great album, it’s a monolith, a benchmark, a classic. Darker, heavier, and more intense than anything Whitechapel has ever done, this is deathcore in its purest, most suffocating, most addictive form.

I’ve had this album in my hands for a month, and it has completely taken over my life. I physically can’t stop listening. I’ve been obsessed, and I’ve been dying to finally talk about it with people who’ve heard it, because for the past month, I’ve been getting my ass kicked by this album on repeat.

5/5 Milkshakes, an instant classic.

So, are you ready to stare into the abyss?

FR
En résumé : un album qui marque l’histoire du deathcore 

Hymns in Dissonance n’est pas juste un bon album, c’est un monstre, un chef-d’œuvre, une référence. Il est plus sombre, plus brutal, plus profond que tout ce que Whitechapel a fait jusqu’ici. C’est le deathcore dans sa forme la plus pure, la plus oppressante, la plus addictive.

Depuis un mois, j’ai la chance d’avoir cet album entre les mains, et il a littéralement accaparé ma vie. Impossible de décrocher. Je suis tombée amoureuse de cet album, et j’étais tellement impatiente d’en parler enfin avec des gens qui l’ont écouté, parce que ça fait un mois que j’ai ce monstre en boucle et que je me prends claque sur claque à chaque écoute.

5/5 Milkshakes, un classique instantané. 

Et vous, êtes-vous prêts à plonger dans l’abîme ? 

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