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It might be their debut album, but KNIVES come in swinging like a band that knows exactly what it wants to say, and exactly who it’s saying it to.

Released on Marshall Records, GLITTER isn’t just a noise record, it’s a sonic manifesto, a political and poetic space, and a middle finger to musical and social conformity. All of it delivered with controlled fury and disarming honesty.

Formed in Bristol in 2022, KNIVES is made up of six radically different people from all kinds of backgrounds, united by one shared mission: to create a space where everyone can scream, cry, shine, and exist fully. The result? Music that refuses to be boxed in, a volatile mix of abrasive hardcore, jittery post-punk, warped alt-rock, and full-tilt free jazz chaos. But nothing here is random, every note, every jarring shift, every burst of noise has a purpose.

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C’est peut-être leur premier album, mais KNIVES débarque avec l’assurance d’un groupe qui sait exactement ce qu’il veut dire, et surtout à qui il veut le dire.
Sorti chez Marshall Records, GLITTER n’est pas juste une collection de morceaux noise : c’est un manifeste sonore, un espace politique et poétique, un coup de poing dans la gueule du conformisme musical et social. Le tout porté par une rage maîtrisée et une sincérité désarmante.

Formé à Bristol en 2022, le groupe rassemble six personnalités différentes, issues de milieux variés, unies par une vision commune : créer un endroit où chacun·e peut s’exprimer, gueuler, pleurer, briller. Le résultat ? Une musique qui refuse les étiquettes, un melting-pot de hardcore abrasif, de post-punk nerveux, de rock alternatif halluciné et même de jazz free totalement déstructuré, mais jamais gratuit. Chaque note, chaque dissonance, chaque montée en tension sert un propos.

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A Collective Gut-Punch

GLITTER may have been recorded in the quiet Welsh valleys, but what bursts out of it is pure urban noise, a chorus of voices, born from a process that’s 100% collaborative. Nothing about this record is ego-driven: no spotlight-hogging solos here. Everything is built as a pack effort. You can feel the chemistry, the internal conversations, the creative friction. The result? Tracks that jump from total chaos to eerie stillness in half a second, yet always land with emotional intensity.

The lyrics, delivered through Jay Schottlander’s fierce and ever-shifting voice, bounce between introspection and defiance. Identity, trauma, resilience, and yes, also beauty, friendship, and the constant fight to exist in a world that punishes anyone who doesn’t fit its mold.

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Une claque collective

GLITTER a été enregistré dans les vallées galloises, mais c’est bien un cri urbain qui en ressort , un cri pluriel, né d’un processus 100% collaboratif. Rien n’est laissé au hasard : pas de solistes qui tirent la couverture, ici tout se construit en meute. On sent la complicité, les dialogues internes, les tensions créatrices. Et ça donne des morceaux d’une richesse folle, capables de passer du chaos au silence en une demi-seconde, avec toujours cette même intensité émotionnelle.

Les paroles, portées par la voix puissante et changeante de Jay Schottlander, jonglent entre introspection et révolte. On parle d’identité, de trauma, de résilience, mais aussi de beauté, d’amitié et de survie dans un monde qui t’écrase si tu ne rentres pas dans les cases.

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The Bottom Line

GLITTER is controlled chaos that feels damn good. It’s a sensory, political, and deeply human experience, a record that doesn’t try to please, but instead aims to be raw, real, and alive. It’s one of the clearest signs yet that the alternative scene can (and absolutely should) be a space for diverse voices, radical reinvention, and mutual support.

Albums like this don’t drop every day. Yeah, it’s loud. Yeah, it shakes you. But more than anything, it speaks to you, and makes you want to speak back.

So, are you getting on board? Or just standing there watching it all go by?

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En résumé

GLITTER, c’est un chaos organisé qui fait du bien. Une expérience sensorielle, politique et humaine à la fois. Un disque qui ne cherche pas à plaire, mais à être sincère, viscéral, vivant. C’est aussi l’une des plus belles preuves que la scène alternative peut (et doit) être un espace de représentations diverses, de réinvention et d’entraide.

Ce genre d’album, ça ne sort pas tous les quatre matins. Alors oui, c’est bruyant. Oui, ça te secoue. Mais surtout, ça te parle , et ça te donne envie de répondre.

Tu montes dans le train, ou tu restes sur le quai ?