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There are tracks you don’t just listen to, they take you through them. Silence, the new track from The Plot In You, is one of those. More than a song, it’s an intimate confession that settles into the depths of your wounds, a raw poem where pain doesn’t hide but transforms into a luminous scar.

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Il y a des morceaux qui ne s’écoutent pas simplement : ils se traversent. Silence, le nouveau titre de The Plot In You, est de ceux-là. Plus qu’une chanson, c’est une confession intime qui vient se déposer au creux de nos plaies, un poème brut où la douleur ne se maquille pas mais se transforme en cicatrice lumineuse.

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From the very first lines, Landon Tewers doesn’t hold back: “I don’t feel youthful, and I don’t feel sad…” These words aren’t trying to please, they hit like bare truth. There’s no posturing here. Just a man refusing all artifice, the pills, the anger, the escape, keeping only what matters: a confrontation with himself.

The power of Silence lies in its sublime paradox: a song that screams without shouting, strikes without violence, and heals while letting pain breathe.

Where The Plot In You once spat fire and rage, they now choose the smoldering flames of clarity. Silence, for them, isn’t the absence of sound, it’s the sharpest weapon.

When the chorus rises : “So let me be, I’ll wear my scars…”, it’s impossible not to feel your own past resurface. The scars we hide, the band wields like a banner. Every chord, every beat, seems to whisper that falling is allowed, but above all, rising again is possible.

Musically, Silence walks a delicate line: stripped enough to let the lyrics breathe, yet carried by that organic intensity only The Plot In You can master. Their DNA is unmistakable: raw emotion, melodies that tear gently, and builds that never chase spectacle, only what’s necessary.

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Dès les premières lignes, Landon Tewers ne triche pas : “I don’t feel youthful, and I don’t feel sad…” Ces mots ne cherchent pas à plaire, ils frappent comme une vérité nue. Ici, pas de posture. Seulement un homme qui refuse les artifices, les pilules, la colère, la fuite, pour ne garder que l’essentiel : la confrontation avec soi-même.

La force de Silence, c’est ce paradoxe sublime : une chanson qui hurle sans crier, qui frappe sans violence, qui soigne en laissant la douleur respirer. Là où jadis The Plot In You crachait le feu de la rage, ils choisissent désormais les flammes sourdes de la lucidité. Le silence, chez eux, n’est pas l’absence de son : c’est l’arme la plus affûtée.

Quand le refrain s’élève: “So let me be, I’ll wear my scars…”, difficile de ne pas sentir son propre passé remonter. Ces cicatrices qu’on cache, le groupe les brandit comme un étendard. Chaque accord, chaque battement, semble murmurer qu’il est permis de tomber, mais surtout, qu’il est possible de se relever.

Musicalement, Silence est un équilibre fragile : assez épuré pour laisser respirer les paroles, mais porté par cette intensité organique que seul The Plot In You sait manier. On retrouve leur ADN : l’émotion brute, la mélodie qui déchire doucement, la montée en puissance qui ne cherche pas le spectaculaire mais le nécessaire.

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This is also why this band never disappoints. Because they don’t lie. Because they dare to speak of shadow, paranoia, and emptiness without ever wallowing in it. Because they offer their listeners not an escape, but a mirror, sometimes cruel, always salvaging.

And in Paris, on November 10 at the Bataclan, when Silence echoes through the venue, it will be more than a concert. It will be a communion. A shared release among those who have lived through the same wounds, who, for a brief moment, will find a reason to believe that one can be “dying to live”.

Of course, we’ll wait eagerly for the full setlist, knowing that no song could let us down. Each track from The Plot In You carries that undefinable something that ties us to them: a bare scar, a secret shiver, a lost promise, and then a found one.

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C’est aussi pour ça que ce groupe ne déçoit jamais. Parce qu’il ne ment pas. Parce qu’il ose parler de l’ombre, de la paranoïa, du vide, sans jamais s’y complaire. Parce qu’il offre à ses auditeurs non pas une échappatoire, mais un miroir, parfois cruel, toujours salvateur.

Et à Paris, le 10 novembre au Bataclan, quand Silence résonnera, ce sera plus qu’un concert. Ce sera une communion. Une libération partagée entre ceux qui ont vécu ces mêmes blessures et qui trouveront, l’espace d’un instant, une raison de croire que l’on peut être “dying to live”.

Bien sûr, on attendra toute la setlist avec impatience, sachant qu’aucun titre ne pourrait nous décevoir. Car chacun des morceaux de The Plot In You porte ce quelque chose d’indéfinissable qui nous attache à eux : une cicatrice mise à nue, un frisson secret, une promesse perdue puis retrouvée.

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I’ll say it straight: 5/5 milkshakes. Because there are no flaws here, only beautiful, human cracks. The Plot In You continue to carve their singular path, where each song is an outstretched hand in the dark. And Silence, paradoxically, makes a deafening noise in the heart.

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Je le dis sans détour : 5/5 milkshakes. Parce qu’il n’y a pas de faille ici, seulement des fissures belles et humaines. The Plot In You continue de tracer une route singulière, où chaque chanson est une main tendue dans l’obscurité. Et Silence, paradoxalement, fait un bruit assourdissant dans le cœur.