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Frvst (feat. Zelli from Paleface Swiss)

The track “Frvst” kicks off with controlled aggression. Consvmer and Zelli‘s vocals blend perfectly, creating a harmony between the screams and the clean vocal passages that give the track remarkable depth. At 1m30, the song takes an exciting turn, setting the stage for further intensity. The quiet break at 2m15 reinforces this intensity, before the screams at 2m32 reach an emotional peak, gripping the listener viscerally. The break at 3m09 opens the way for an avalanche of vocal rage from Zelli, a real punch in the face. In short, a masterfully constructed feat!

FR
Frvst (feat. Zelli de Paleface Swiss)

Le titre “Frvst” démarre sur les chapeaux de roue avec une agressivité maîtrisée. Les voix de Consvmer et de Zelli se mêlent à la perfection, créant une harmonie entre les screams et les passages en voix claires qui donnent une profondeur remarquable au morceau. À 1m30, la chanson prend une tournure excitante, préparant le terrain pour une intensité accrue. Le break calme à 2m15 renforce cette intensité, avant que les cris à 2m32 n’atteignent un sommet émotionnel, saisissant l’auditeur de manière viscérale. Le break à 3m09 ouvre la voie à une avalanche de rage vocale de la part de Zelli, un véritable coup de poing en pleine figure. En bref, un feat magistralement construit !

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Agony (feat. DVST)

Agony” begins with an immediate slap in the face, leaving no respite. At 30 seconds, you think you’re in for a moment of calm, but it’s an illusion quickly dispelled by a new surge of sound. Micro-breaks and rhythmic variations add a frenetic, almost chaotic, yet perfectly orchestrated dynamic. The break “oh shit here we go again” perfectly encapsulates the unpredictable nature of the track, which maintains a constant intensity right to the end with sharp, aggressive riffs.

From the very first seconds of “Parasit“, the percussive, technical guitar riffs captivate the listener. The vocals immediately incite you to howl along with the singer, the “bleghs” are short but punchy, executed with surgical precision. The bass plays a crucial role, adding depth and exacerbated beauty to the track – that’s what we want!  The break at 1m07 creates palpable anticipation, and the bestial growls at 1m54 plunge the listener into raw anger. At 2m25, a deep break induces an almost meditative trance before the rage resumes at 2m55 with hellish screams.

FR
Agony (feat. DVST)

Agony” commence avec une claque immédiate, ne laissant aucun répit. À 30 secondes, on pense avoir un moment de calme, mais c’est une illusion rapidement dissipée par une nouvelle déferlante sonore. Les micro-breaks et les variations de rythme ajoutent une dynamique frénétique, presque chaotique, mais parfaitement orchestrée. Le break “oh shit here we go again” encapsule parfaitement le caractère imprévisible du morceau, qui maintient une intensité constante jusqu’à la fin avec des riffs acérés et agressifs.

Dès les premières secondes de “Parasit“, les riffs de guitare percutants et techniques captivent l’auditeur. La voix incite immédiatement à hurler avec le chanteur, les “blegh” sont courts mais percutants, exécutés avec une précision chirurgicale. La basse joue un rôle crucial, ajoutant une profondeur et une beauté exacerbée au morceau, c’est ça qu’on veut!  Le break à 1m07 crée une anticipation palpable, et les grognements bestiaux à 1m54 plongent l’auditeur dans une colère brute. À 2m25, un break profond induit une transe presque méditative avant que la rage ne reprenne à 2m55 avec des screams infernaux.

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Perfekt” opens with a captivating intro, and the whispers before the screams add a touch of genius. The haunting riffs and vocal effects are impeccably balanced. This track perfectly embodies the balance between clean vocals and screams, offering a cathartic experience. The final break, with its lyrical vocals and whispers, touches deeply, before the suffering screams bring the track to a poignant conclusion.

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Perfekt” débute avec une intro captivante, et les chuchotements avant les screams ajoutent une touche de génie. Les riffs lancinants et les effets vocaux sont impeccablement dosés. Ce titre incarne parfaitement l’équilibre entre voix claires et screams, offrant une expérience cathartique. Le break de fin, avec ses voix lyriques et chuchotements, touche profondément avant que des screams empreints de souffrance ne concluent le morceau de manière poignante.

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Stimmem (feat. Connor Sweeney)

The intro to “Stimmem” is meticulously crafted, although the track sounds slightly less modern than the others, which isn’t unpleasant. This balanced metalcore track alternates naturally between clean vocals and screams. The depth of the German lyrics seems obvious, even to those who don’t understand the language. At 2m49, an acoustic transition surprises, but the electric guitars quickly return for a percussive conclusion, leaving the listener shocked by the final brutality.

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Stimmem (feat. Connor Sweeney)

L’intro de “Stimmem” est minutieusement travaillée, bien que le morceau sonne légèrement moins moderne que les autres, ce qui n’est pas déplaisant. Ce titre de metalcore équilibré alterne naturellement entre voix claires et screams. La profondeur des paroles en allemand semble évidente, même pour ceux qui ne comprennent pas la langue. À 2m49, une transition acoustique surprend, mais les guitares électriques reviennent rapidement pour une conclusion percutante, laissant l’auditeur choqué par la brutalité finale.

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Rating: 4.5 Milkshakes out of 5

Consvmer‘s singles are masterpiece of controlled aggression and raw emotion. Each track is an intense, well-crafted experience, making “Frvst” a must-have for metalcore fans.

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Note : 4,5 Milkshakes sur 5

Ces singles de Consvmer est un chef-d’œuvre d’agressivité maîtrisée et d’émotion brute. Chaque titre est une expérience intense et bien construite, faisant de “Frvst” un incontournable pour les amateurs de metalcore.


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