Face Yourself – Martyr
Sumerian Records – Drops April 18, 2025
Reviewed by a shattered, but seriously impressed, soul. EN/FR

EN
Before we even talk music, let’s pause for a second and talk about the Face Yourself phenomenon. This isn’t just another deathcore band, it’s a cross-continental wrecking crew bringing some seriously heavy heat.
With members spread across New York, New Jersey, and Colorado… and then there’s Yasmine Liverneaux, the frontwoman straight outta France, who doesn’t just front the band, she owns it. Her brutal, haunting flow hits different and blends perfectly with the sheer U.S. heaviness of their sound.
On paper? Might seem like a stretch. In your ears? Total knockout.
Honestly, I don’t even know where to start, this EP is a full-on sonic slap to the face. Martyr is a five-track bruiser that punches you in the gut from the first second and leaves you dazed but thankful. This ain’t just deathcore, it’s a sensory, visceral experience that digs under your skin and makes you feel alive… even when it hurts.
FR
Avant même de parler musique, faut qu’on s’arrête deux secondes sur le phénomène Face Yourself. Ce n’est pas juste un énième groupe de deathcore : c’est un collectif transcontinental qui envoie du très, très lourd.
Avec des membres répartis entre New York, New Jersey, Colorado… et Yasmine Liverneaux, la frontwoman venue tout droit de France, le groupe défonce les frontières autant que les tympans. Elle amène une intensité et une vibe différente, avec un flow brutal et habité qui se mêle parfaitement à la lourdeur US de leurs compos.
Un mix improbable sur le papier, mais en vrai ? Une vraie claque dans la gueule.
Putain, je sais pas par où commencer tellement cette claque est monumentale. Face Yourself débarque avec Martyr, un EP cinq titres qui te met une tarte dans la gueule dès les premières secondes et te laisse groggy mais reconnaissant. C’est pas juste du deathcore, c’est une expérience sensorielle, viscérale, qui gratte là où ça fait mal et qui te fait te sentir vivant, même dans la douleur.
EN
Primal
You hit play. A futuristic voice whispers in your ear and then…BAM. No warm-up, no warning. Just full-force assault. The instrumentals are heavy like a truckload of hate, and Yasmine’s vocals? Straight masterclass in rage and precision. Not an intro, an act of war.
Predatory
That electro intro grabs you by the collar and hurls you headfirst into a storm of violence. It’s ruthless. The production sends chills, between layered electronics and murderous mosh parts. And the breakdown? THE breakdown. It’s gonna be a bloodbath in the pit. They’re not here to make you dance, they’re here to crush you.
The Poet
Thought you were getting a breather? Nope. Double kicks going ballistic, guitars ripping your face off, and vocals that sound more like demonic possession than singing. And those French lyrics at the end? Tears in your eyes, teeth clenched in rage. Beautiful. Brutal. Real.
FR
Primal
Tu cliques sur play, t’entends une voix futuriste en intro… et là BAM. Aucune mise en bouche, c’est l’agression totale. Les instrus sont lourdes comme un camion chargé de haine, et la voix ? Mon dieu, c’est une masterclass de technique, d’intensité, et de rage pure. C’est pas une intro de disque, c’est une déclaration de guerre.
Predatory
L’intro électro t’attrape par le col et te balance direct dans un déluge de violence. C’est brutal, c’est sans pitié. La prod te donne des frissons, entre les couches électroniques et les mosh parts assassines. Le break, mon gars, LE BREAK. En live ça va être un bain de sang dans la fosse. Ils veulent pas te faire danser, ils veulent te broyer.
The Poet
T’as aimé la douceur ? Bah oublie. Ici, double pédale en furie, guitares qui t’arrachent le crâne, et cette voix… c’est plus du chant, c’est de la possession démoniaque. Et les paroles en français sur la fin ? Bordel, ça t’arrache une larme pendant que t’as les dents serrées de rage. C’est beau, c’est brutal, c’est réel.
EN
Saboteur
Starts with a scream straight from hell, followed by guitars that squeal like pain made sound. And at 1:00? The BLEGH to end all bleghs. Stank face activated. And it stays that way the whole track. The breakdown is pure savagery, and those lead guitar notes at 2:40? The cherry on the chaos cake. Thank you, you absolute maniacs.
Sidération
This track… it’s beautifully deranged. Total catharsis. You want to scream, punch a wall, cry, throw furniture out the window. Vocally, Lady Yayas is on another damn level, ripping your guts out with more emotion and precision than half the scene can even dream of. And that 2:58 break, half haunting, half slaughter, is perfectly timed. Those final screams? Close your eyes, and feel everything. It’s my top pick, no contest.
FR
Saboteur
Ça commence direct avec un scream qui vient des enfers, suivi de grattes qui grincent comme un cri de douleur. Et là… à 1 minute : le blegh de l’enfer. T’as ta stank face ? Tu vas l’avoir tout le morceau. Le break est d’une puissance inhumaine, et à 2m40 les notes de guitare lead, c’est la cerise sur le chaos. Merci les gars, vous êtes malades.
Sidération
Ce morceau-là… c’est le chaos organisé, une catharsis totale. T’as envie de hurler, de taper, de pleurer, de tout balancer par la fenêtre. Et vocalement, Lady Yayas est tout simplement hors norme. Elle t’arrache les tripes avec une rage et une justesse qui donnent des complexes à la moitié du deathcore game. À 2m58, le break mi-lyrique, mi-massacre est juste parfaitement placé, et les screams finaux ? Tu fermes les yeux et tu ressens tout. C’est mon coup de cœur absolu.
EN
Final Verdict:
Martyr isn’t just an EP, it’s a deep dive into the rawest corners of the soul. It’s chaos, masterfully controlled. It’s rage that’s honest, melody that bleeds, and pain that makes you feel alive. Face Yourself balances brutality and beauty with rare sincerity. And Yasmine? Give her the damn crown already. This band isn’t the future of deathcore, they’re the blazing-hot now.
And goddamn, it’s about time. We’ve been starving for two years since those 2023 EPs. Nothing but crumbs since then.
Now? With two killer singles leading into a five-track, precision-engineered beatdown, this isn’t just a slap, it’s a feast after a famine.
Play it loud. Really loud. Until the neighbors call the cops.
FR
Conclusion :
Martyr, c’est pas juste un EP. C’est une descente dans les tréfonds de l’âme, un chaos magnifiquement maîtrisé, une claque pleine d’émotions crues. Face Yourself arrive à mélanger la mélodie et la brutalité avec une sincérité rare. Et Yasmine ? Elle mérite sa couronne. Ce groupe, c’est pas le futur du deathcore, c’est son présent brûlant.
Et surtout… bordel, ça faisait deux ans qu’on cravachait dans le vide ! Depuis les deux EP balancés en 2023, on crève la dalle, on a plus rien eu à se mettre sous la dent. Là, avec deux singles bien sentis qui font parti de ce 5 titres d’une violence chirurgicale, c’est pas juste une claque : c’est un festin après une famine.
À écouter fort. Très fort. Jusqu’à ce que les voisins appellent les flics
Explore our latest music reviews!
Découvrez nos dernières chroniques musicales !


