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When Paleface Swiss drops a new album, you know you’re not here for a walk in the park. With Cursed, the Swiss titans prove they’ve mastered their signature brand of brutal, groovy deathcore, while throwing in a few unexpected twists to keep you on your toes between face-melting breakdowns. Buckle up, because this one hits hard.

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Quand Paleface Swiss sort un nouvel album, tu sais que t’es pas là pour une promenade tranquille. Avec Cursed, les Suisses prouvent qu’ils maîtrisent leur recette de deathcore brutal et groovy, tout en se permettant quelques virages inattendus qui te font lever un sourcil entre deux breakdowns destructeurs. Allez, c’est parti pour le massacre.

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The album kicks off with “un pobre niño murió”, a haunting intro that sets the tone with a dark and oppressive atmosphere. It feels like you’re stepping into a nightmare, the tension building with every second. Then “Hatred” smashes in, and let’s be real: this is classic Paleface. It’s pure violence and groove rolled into one, hitting with the same intensity as their banger Best Before Death. It’s an opening track that makes you want to throw down immediately.

Next up is ”…and with hope you’ll be damned”, and this one’s a straight-up stank-face inducer. That main riff grabs you by the throat and doesn’t let go. The groove is insane, and you can feel the band’s raw fury pouring out of every note. It’s the kind of track that makes you lose your mind.

“Don’t You Ever Stop” follows, and it’s absolutely massive. The heavy riffs and crushing tempo feel like a freight train plowing through your chest. You can’t sit still while listening to this one, it demands chaos. Then we’ve got “Enough?”, which totally flips the script. This track brings in a rap-inspired vibe with a little Insane Clown Posse energy, and honestly, it slaps. Just when you think you’ve got it figured out, the deathcore kicks back in, and it’s nothing but pure, unrelenting energy.

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L’album démarre avec “un pobre niño murió”, une intro qui te plonge direct dans une ambiance sombre et pesante. T’as l’impression d’ouvrir la porte d’un cauchemar, le tout servi avec cette tension qui te met déjà dans le bain. Ensuite arrive “Hatred”, et là, pas de surprise : c’est du pur Paleface. Le morceau respire la violence et le groove, avec une efficacité qui rappelle leur banger Best Before Death. Une entrée en matière qui met tout le monde d’accord.

Puis débarque ”…and with hope you’ll be damned”, et là, tu prends une claque. Le riff principal te choppe direct, impossible de rester immobile. C’est un morceau qui t’accroche et te balance une stank face instantanée. Le groove est dingue, et tu ressens toute la rage du groupe dans chaque seconde.

“Don’t You Ever Stop” enchaîne, et là, on est sur un morceau massif. Les riffs lourds, le tempo écrasant… C’est une véritable démonstration de force. T’as envie de tout envoyer valser autour de toi tellement c’est puissant. Ensuite, “Enough?” change la donne. On part sur une vibe complètement différente, avec une touche de rap qui sent bon l’expérimentation. Une influence à la Insane Clown Posse qui, bizarrement, passe hyper bien. Et quand le deathcore reprend le dessus en plein milieu, c’est du pur bonheur.

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With “Youth Decay”, we’re back in familiar territory: straight filth. This track is stank-face material from start to finish. The riffs, the drums, the vocals, everything about it is designed to hit you right in the gut. You’ll be headbanging before you even realize it. Then comes “My Blood On Your Hands”, which just obliterates everything. That opening scream, almost a cappella, is raw rage in its purest form. And when the instruments kick in? Boom. It’s an explosion. Oh, and that guttural “dinosaur” noise he does with his voice? Unreal. I spent hours trying to imitate it, and yeah, no chance.

“Love Burns” is hands-down the standout track of the album. It’s melodic, powerful, and deeply emotional. This is the kind of song that stays with you, the one you keep coming back to because it’s just that good. Finally, the album closes with “River of Sorrows”, and it’s a total curveball. It’s more introspective, calmer, and the vocals hit differently here, they really tug at your emotions. It’s an unexpected but perfect way to end such a relentless album.

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Avec “Youth Decay”, on est de retour sur du Paleface bien crade, le genre de morceau qui te colle une stank face dès les premières notes. Les riffs, la batterie, la voix, tout est là pour te prendre aux tripes. Impossible de ne pas hocher la tête, c’est juste instinctif. Ensuite, “My Blood On Your Hands” vient tout écraser. Ce début en scream a cappella, c’est la rage pure, brute. Et quand les instrus débarquent, ça devient une explosion. Et sérieux, ce bruit de “dinosaure” qu’il fait avec sa voix… ça dépasse l’entendement.

“Love Burns” est clairement le morceau coup de cœur de l’album. Mélodique, puissant, touchant… Ce titre a tout pour lui. C’est le genre de morceau qui te reste en tête et que t’as envie de réécouter encore et encore. Enfin, l’album se termine sur “River of Sorrows”, et là, on change complètement d’énergie. C’est plus posé, plus introspectif, avec une voix qui te touche en plein cœur. Une conclusion inattendue mais parfaite pour boucler cet album de dingue.

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In short, Cursed is Paleface Swiss doing what they do best: brutal, no-compromise deathcore. But what sets it apart is the little touches of experimentation and evolution that keep it fresh. It’s an album that beats you to a pulp but also gives you something new to chew on. This isn’t just music, it’s an experience. Crank it up loud, and don’t look back

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En résumé, Cursed, c’est Paleface Swiss dans toute sa splendeur. Brutal, intense, sans compromis. Mais ce qui impressionne, c’est leur capacité à se réinventer par petites touches tout en restant fidèles à eux-mêmes. C’est un album qui te met à terre, mais qui te laisse aussi avec un goût de fraîcheur et d’évolution. À écouter sans modération, et surtout à fond !