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Alright, let’s be real for a sec, it’s been a hot minute since we got a true banger that screams classic A Day To Remember vibes. After a few kinda rocky years (no need to name names, but you know what’s up), the Florida boys are back with Big Ole Album Vol. 1, and honestly? It slaps. Hard.

First off, the concept behind it: physical release before digital. Total throwback. You can tell they’re going for that old-school buzz, borderline collector’s item energy. And yeah, it works. You get that vinyl (or CD, no judgment) in your mailbox, and it’s like you’re reliving your teenage years — 2025 style. Mad respect.

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Bon, on va pas se mentir : ça faisait un bail qu’on n’avait pas eu un vrai bon délire à la sauce A Day To Remember. Après quelques années un peu en dents de scie (on va pas citer d’album, mais vous savez), les gars de Floride reviennent avec Big Ole Album Vol. 1, et franchement ? Ça tape sévère.

Déjà, le concept du truc : sortie physique avant le digital. Genre à l’ancienne. Tu sens qu’ils veulent créer une hype un peu old school, à la limite du collector. Et ouais, ça marche. Tu reçois ton skeud dans la boîte aux lettres, t’as l’impression de revivre ton adolescence version 2025. Respect.

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Musically, it’s peak ADTR, it’s sweat, beers, and living room mosh pits all the way. The album kicks off with Make It Make Sense, a super catchy track that’s half heartbreak, half punch in the face. Jeremy McKinnon is in beast mode , raw, pissed off, and weirdly vulnerable. That’s the magic combo right there.

The next few tracks bounce between pop-punk nostalgia (All My Friends is straight-up the perfect anthem for chaotic hangouts with your crew) and full-on heavy hitters like Bad Blood, which honestly makes 2nd Sucks sound like a lullaby. Special shoutout to Silence, which takes a wild turn into industrial/post-punk territory, kinda like Nine Inch Nails. Total curveball, and yeah, it slaps.

And then… THE banger: Die For Me. Co-written with Oliver Sykes (yeah, that Oliver Sykes from Bring Me The Horizon, unless you’ve been living under a rock), and man, it hits. Sure, we would’ve lost our minds if Oli had dropped one of his filthy screams on it, but even without that? Still a total gem. You just know this one’s made for a live collab. Like, right now. C’mon Oli, don’t ghost us.

But wait, we’re not done. I had two other massive favorites on this record: To The Death and Miracle. One hits like a slow-mo MMA round, the other gives you chills with those end-of-the-world anthem vibes. Totally different moods, both absolute monsters. These tracks? You have to scream them live, fist in the air, no excuses.

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Musicalement, on est sur un cocktail bien ADTR : ça sent la sueur, les bières, et les pogos dans le salon. L’album s’ouvre avec Make It Make Sense, un morceau ultra catchy, mi-cœur brisé mi-mandale dans la tronche. Jeremy McKinnon est en forme olympique, à la fois vulnérable et vénère , combo gagnant.

Les morceaux qui suivent balancent entre nostalgie pop-punk (All My Friends, hymne parfait pour les apéros entre potes qui tournent au chaos) et passages ultra-lourds genre Bad Blood, qui ferait presque passer 2nd Sucks pour une berceuse. Mention spéciale à Silence qui part dans un délire un peu indus/post-punk à la Nine Inch Nails, une vraie surprise, et franchement, ça marche.

Et là… LE banger : Die For Me. Co-écrit avec Oliver Sykes (Bring Me The Horizon, pour ceux qui vivent dans une grotte), le titre est une claque. Bon, on va pas se mentir : on aurait kiffé entendre la voix d’Oli poser un gros scream bien sale, mais même sans ça, le morceau est un pur bijou. T’as direct envie d’un feat en live. Genre là, maintenant. Allez, Oli, si tu lis ça, fais pas le timide.

Mais attends, c’est pas fini. J’ai eu deux autres énormes coups de cœur sur cet album : To The Death et Miracle. L’un tabasse comme un round de MMA en slow-mo, l’autre file des frissons avec son côté hymne de fin du monde. Deux ambiances très différentes, mais deux énormes réussites. Ces tracks-là, elles méritent d’être hurlées en live avec le poing levé.

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And while we’re at it… let’s talk about that album cover real quick. That retro ‘80s movie poster vibe? Absolute chef’s kiss. It’s just the right kind of cheesy, you can almost smell the popcorn, hear the VHS whirring, and see slow-mo street brawls playing out in the background. Total Stranger Things energy, and it fits the “beautiful chaos” spirit of the album like a glove. It’s a bold throwback that makes you wanna slap that record on and crank the volume to 11.

But the real trip? The hidden cameos in the artwork. Look closely, you’ll spot some familiar faces tucked into the background: old crew members, tour buddies, even a few Easter eggs for the die-hard fans (we swear there’s a nod to Homesick in there, and maybe even a sneaky BMTH reference on a street sign). It’s not just a cover, it’s a scene to decode, like a pop-punk-metalcore version of Where’s Waldo. Pure eye candy for the detail-obsessed.

Oh, and there are a few guest appearances scattered throughout the album too , not always front and center, but definitely felt in the production or co-writing (hey there, Andrew Wade, Will Putney & the gang). They bring a serious lift to some tracks without stealing the spotlight. Honestly, this whole thing feels like an album made by friends, for friends, with friends. And yeah, you can feel that vibe all the way through.

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Et tant qu’on y est… parlons vite fait de la pochette. Ce visuel à la sauce affiche de vieux film des années 80, c’est un pur kiff. C’est kitsch juste comme il faut, ça sent le popcorn, les VHS et les bastons de rue au ralenti. Une vibe un peu Stranger Things qui colle parfaitement à l’esprit « grand n’importe quoi maîtrisé » de l’album. Un clin d’œil assumé qui donne direct envie de foutre la galette dans la platine et de monter le son à fond.

Mais le vrai délire ? Les caméos planqués dans l’illustration. Mate bien la cover, y’a des têtes familières qui se cachent dans le décor, entre anciens membres du crew, potes de tournée, ou même des easter eggs visuels pour les fans hardcore (on jurerait avoir vu un clin d’œil à Homesick et même une ref à BMTH planquée sur un panneau). C’est pas juste une pochette, c’est une scène à décrypter, genre Où est Charlie? version pop-punk-metalcore. Un vrai bonbon visuel pour ceux qui aiment fouiller.

Ah, et y’a aussi quelques guests planqués dans l’album, pas toujours mis en avant, mais bien présents dans la prod ou la co-écriture (coucou Andrew Wade, Will Putney & co). Ça apporte un vrai boost à certains morceaux sans voler la vedette. En vrai, c’est un album de potes, fait pour les potes, avec des potes. Et ça se sent.

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What’s wild about this album is how it manages to stay totally cohesive while still jumping between different vibes. You’ve got stadium-sized choruses, breakdowns that make you wanna smash stuff (in a wholesome way), and some experimental twists that never feel out of place. It’s all balanced just right.

It’s not reinventing the genre, but it’s 100% a comeback with teeth. ADTR proves they can still push boundaries without losing what makes them them. Big Ole Album Vol. 1 feels both familiar and fresh, like throwing back shots with old friends you haven’t seen in years.

Personal rating: 4 milkshakes out of 5.
And an extra shot of whipped cream if Oli shows up live for Die For Me.

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Ce qui est ouf avec cet album, c’est qu’il arrive à rester cohérent tout en explorant des vibes différentes. T’as des refrains taillés pour les stades, des breakdowns qui donnent envie de tout casser (gentiment), et des moments plus expérimentaux sans que ça parte dans tous les sens. Un vrai équilibre, quoi.

C’est pas une révolution du genre, mais clairement un retour en forme. ADTR prouve qu’ils savent encore faire bouger les lignes sans trahir leur ADN. Big Ole Album Vol. 1 sonne à la fois familier et rafraîchissant, comme une tournée de shots avec des vieux potes qu’on n’avait pas vus depuis des années.

Note perso : 4 milkshakes sur 5

Et un supplément chantilly si Oli se pointe en live sur Die For Me.