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Debut album from Paris-based Ashen, Chimera drops with a borderline cocky confidence, and honestly, they’ve earned it. Blending modern metal, alt-rock, and progressive vibes, the band hits hard but with serious finesse. This isn’t just well-produced, it’s thoughtful, lived-in, and flows like a dream. Every track breathes, builds, crashes, and explodes. In short: it’s alive.

We got to interview them on August 26, and I caught up with them again on September 7, live on the RSTLSS show I contribute to. And honestly? Total sweethearts. Genuine, creative, down-to-earth… It’s refreshing to see a project this solid being carried by such a sincere crew. You just wanna root for them the moment they start talking.

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Premier album pour les Parisiens d’Ashen, Chimera débarque avec une assurance presque insolente. Entre métal moderne, rock alternatif et ambiances progressives, le groupe frappe fort, mais avec style. C’est pas juste bien produit : c’est pensé, habité, et surtout hyper fluide. Chaque morceau respire, monte, retombe, explose. Bref, ça vit.

On les a interviewés le 26 août, et j’ai pu les recroiser le 7 septembre en direct dans l’émission RSTLSS où je chronique. Et franchement ? Des mecs adorables. Humains, créatifs, simples… Ça fait plaisir de voir un projet aussi solide porté par une équipe aussi sincère. T’as envie de les soutenir dès qu’ils ouvrent la bouche.

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Between fury and finesse

Sonically, Ashen sits somewhere between Sleep Token, Architects, and the more recent Bring Me The Horizon, but with a style that’s completely their own. They can scream, hit hard, get all choppy and chaotic, then suddenly pull you into these lush, atmospheric waves or drop a hook that stays in your head for days. The band leans all the way into contrasts, but never falls into showing off. There’s heart in everything they do, and you can feel it.

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Entre rage et élégance

Musicalement, on est dans une veine à la croisée de Sleep Token, Architects ou même les derniers Bring Me The Horizon, mais avec une vraie patte perso. Ça peut hurler, cogner, saccader, puis d’un coup t’emmener dans des nappes planantes ou des refrains hyper accrocheurs. Le groupe joue à fond la carte des contrastes, mais sans tomber dans la démonstration. Y’a du cœur dans ce qu’ils font, et ça se sent.

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The winning trio: Meet Again → Chimera → Crystal Tears

• Meet Again kicks things off with flawless build-up: slow intro, rising tension, just the right dose of emotion. You’re hooked from the start.
• Chimera, the title track, is the album’s big statement, clean vocals, screams, rap-like flow, massive chorus, and it all fits together seamlessly.
• Crystal Tears hits harder, but stays melodic. It’s a real release, everything blows up without ever turning messy. Easily one of the most effective tracks on the record.

This trio right in the heart of the album plays like a mini-story within the story, the kind of sequence you don’t skip.

And then there’s…

Two other tracks totally worth a shoutout:

Living in Reverse – the closer, all softness and light. A calm, thoughtful ending after the chaos, like breathing out.

Oblivion – a smooth, sensual, electro-tinged curveball, with definite Sleep Token vibes. Bold, surprising, but it works.

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Le trio gagnant : Meet Again → Chimera → Crystal Tears

• Meet Again ouvre vraiment le bal avec une construction parfaite : intro lente, tension qui monte, émotion bien dosée… On est pris direct.
• Chimera, le morceau-titre, c’est LE statement du disque : chant clair, scream, flow rapé, gros refrain, le tout hyper cohérent.
• Crystal Tears tape plus sec, mais reste mélodique. C’est un vrai moment de libération, où tout pète sans devenir bordélique. L’un des morceaux les plus efficaces du disque.

Ce trio au cœur de l’album offre un enchaînement quasi parfait, comme une mini-histoire dans l’histoire.

Et sinon, y’a aussi…

Deux autres titres méritent leur petit shoutout :

Living in Reverse : la dernière piste, toute en douceur et lumière. Une conclusion qui apaise, après la tempête.

Oblivion : un ovni sensuel et électro, avec des vibes à la Sleep Token. Très réussi, surprenant sans être hors-sujet.

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Final thoughts?

Ashen have delivered a debut that’s ambitious, cohesive, and emotionally charged. It balances controlled aggression with real sincerity. It’s modern without chasing trends, melodic without getting cheesy, and above all, seriously well put together.

A solid record for metalheads who feel with their heart as much as they headbang with their necks. And if this is just their first chapter, we’re already hyped for what’s next.

Must-listen tracks: Meet Again, Chimera, Crystal Tears, Oblivion
Verdict: 4 milkshakes, fully shaken, out of 5

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En résumé ?

Ashen réussit un premier album ambitieux et cohérent, qui jongle entre violence maîtrisée et émotion sincère. C’est moderne sans être opportuniste, mélodique sans mièvrerie, et surtout très bien foutu.

Un vrai bon disque pour les amateurs de metal qui pense autant avec le cœur qu’avec les guitares. Et vu la qualité de ce premier essai, on a hâte de voir la suite.

À écouter d’urgence : Meet Again, Chimera, Crystal Tears, Oblivion
Verdict : 4 milkshakes bien frappés sur 5