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It’s already been 10 trips around the sun, more than 3,650 days, aka 10 years, since White Noise, PVRIS’ debut album, dropped. This record skyrocketed their career in a flash. Let’s take a look back at a classic.

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Cela fait deja 10 tours du soleil soit plus de 3650 jours aka 10 ans que White Noise, le premier album de PVRIS, est sorti. Cet album a propulsé de maniere fulgurante leur ascension. Retour sur un classique

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Depression, as real as it is, isn’t as tangible as some physical illnesses. And that’s exactly where White Noise finds its theme. None of our inner struggles have a concrete form, a sickness that, even today, too many people don’t take seriously.

Through this album, the band dives deep into that tension and crafts a dark, enigmatic atmosphere. The magic comes from the talented duo of the charismatic frontwoman Lynn Gunn and her creative partner, Blake Harnage. This project strikes a brilliant balance between electro, pop-rock, ambient, alternative… and, of course, a dose of melancholy (because, let’s be honest, you can’t escape that with PVRIS). They deliver something truly unique—a time capsule, a kind of postcard from a bygone era.

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La dépression, aussi réelle soit-elle, n’est pas une affection aussi tangible que certaines maladies physiques. C’est précisément là que l’on obtient la thématique de White Noise. Aucun de nos tourments intérieurs n’a de forme concrète. Une maladie auquelle peu de personnes accordent du crédit, même aujourd’hui.

Au travers de cet album, le groupe plonge dans cette tension et cette atmosphère sombre et énigmatique. On doit ce travail au talentueux duo formé par la charismatique chanteuse Lynn Gunn et son complice Blake Harnage. Ce projet nous livre un équilibre ingénieux entre électro, pop-rock, ambiant, alternative et… une dose de mélancolie (car avec PVRIS, il est impossible d’y échapper). Ils nous offrent une œuvre singulière, une capsule temporelle, une sorte de carte postale venue d’une époque révolue.

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The heavy atmosphere is nearly tangible from start to finish, peaking with Eyelids (and Mirrors). The tapping riff at the end of the chorus, the soft rustling of sheets, and memories intertwining seamlessly with the synths in the verses, topped off by Gunn’s fragile, raw vocals at the end, create an unforgettable moment.

That signature sound has remained a constant throughout PVRIS’ career, a common thread tying their work together. You can still feel it in the second half of Evergreen, their latest gem. It also lingers in You and I, a song that’s a fan favorite both live and on streaming platforms. That same nostalgic vibe runs through Anyone Else, one of the most beautiful tracks written by the ever-inspiring Lynn Gunn. And it’s even there in Old Wounds, a hidden treasure from Use Me.

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L’ambiance pesante est presque tangible du début à la fin. Elle atteint son apogée avec Eyelids (et Mirrors). Le jeu de tapping en fin de refrain, le doux bruit des draps et des souvenirs qui s’entrelacent harmonieusement avec les synthés des couplets, ainsi que la voix fragile et sincère de Gunn à la fin, créent un moment inoubliable.

Une signature musicale que PVRIS conservera tout au long de sa carrière, comme un fil conducteur. On retrouve cette essence dans la deuxieme partie du d la derniere pépite de PVRIS Evergreen. Mais aussi dans You and I, un morceau adoré aussi bien en concert que sur les plateformes de streaming. Le même sentiment de nostalgie traverse Anyone Else, l’un des plus beaux titres composés par l’inspirante Lynn Gunn. Et même dans Old Wounds, ce petit bijou extrait de l’album Use Me.

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Holy remains one of my all-time favorites, both to listen to and experience live. This “slow burner” has cemented itself as an essential in the hearts of PVRIS fans. But watch out for the dormant volcano… and the eruption when it finally blows. The lyrics:

“You’re empty, shallow, filled with regret. I think that chest must be heavy from that cross on your neck… Don’t think I didn’t notice.”

Are some of Gunn’s most striking lines, and they’ll continue to fuel my fire for years to come.

Of course, the album’s uniformity, immersive world, and heavy use of metaphors won’t be for everyone. But as someone who’s passionate about conceptual albums, bold artistic choices, and projects that dare to stand apart, I was completely hooked on this masterpiece.

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Holy reste l’un de mes morceaux préférés, autant à écouter qu’en live. Ce “slow burner” a su s’imposer comme un incontournable dans le cœur des fans de PVRIS. Attention au volcan qui sommeille… et encore plus à son explosion. Les paroles :

“You’re empty, shallow, filled with regret. I think that chest must be heavy from that cross in your neck… Don’t think I didn’t notice”

Comptent parmi les plus marquantes de Gunn, et elles continueront de me motiver pendant des années à venir.

L’uniformité, l’univers et les métaphores à gogo de l’album ne séduiront pas tout le monde, bien sûr. Mais en tant que passionnée d’albums conceptuels, de projets audacieux et particuliers, j’ai été conquis par cette œuvre.