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It’s already been over two days since the festival kicked off by the time I get there. I can’t wait to set foot again in the stunning Domaine du Parc de Saint-Cloud.

Right off the bat, there’s one major downside for me… the dust, and a lot of it. Aside from that, the site’s actually pretty enjoyable and easy to get around. Tons of food stands (not cheap, though!), merch booths, awareness stalls, prize games, basically, something for everyone. The lush greenery is still as gorgeous as ever, and the waterfall once again stole the show, becoming the go-to selfie spot for festivalgoers.

Now let’s talk music:

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Ça fait plus de deux jours que le festival a débuté lorsque j’y arrive. Impatient de refouler le cadre magnifique du Domaine du Parc de Saint-Cloud.

On démarre direct avec, pour moi, le point noir du festival… beaucoup de poussière ; hormis cela, le site est agréable et on y circule plutôt bien. On retrouve bon nombre de stands de nourriture (pas donné, cela dit…!), de merch, de stands qui sensibilisent, nous font gagner des lots, bref il y en a pour tout et pour tout le monde. Le cadre verdoyant est toujours sublime, la cascade aura encore fait sensation et donné lieu aux meilleurs selfies des festivaliers. Passons à la musique maintenant :

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Empire of the Sun delivered a super visual set that totally won over the crowd. It felt both modern and nostalgic, especially when they dropped their classic hit, “Standing on the Shore.”

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Empire of the Sun ont livré un show très visuel et conquis la foule. On assiste à la fois à un show moderne et rempli de nostalgie, surtout pendant le tube « Standing on the Shore ».

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Aurora started off with a rather mellow set, featuring tracks like “Churchyard,” “Soulless Creatures,” and “A Soul With No King.” She graced the Parisian crowd with her presence, instantly drawing them into her universe. Dreamlike and ethereal, she has this natural ability to transport you straight into her world. The show built up beautifully, ending on a much more energetic note with “Stagnation” and “Giving In to the Love.”
Truly magical moments.

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Aurora a eu un set plutôt calme au départ avec des morceaux comme « Churchyard », « Soulless Creatures » ou encore « A Soul With No King ». Elle offrira toute sa grâce au public francilien, qui rentrera dans son univers dès les premières secondes. À la fois féerique, elle a la capacité de nous transporter dans son monde de manière naturelle. Le concert partira vers une fin beaucoup plus énergique avec « Stagnation » et « Giving In to the Love ». Moments suspendus.

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LSDXOXO totally won over the crowd who showed up to catch him on one of the festival’s smaller stages. Alone on stage, no set design, just him and a mic, and yet, the performance was fire. Full of energy and good vibes all around.
The perfect way to wrap up my first day.

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LSDXOXO a su séduire ceux qui sont venus le voir sur l’une des deux « petites » scènes du festival. Bien que seul sur scène, sans décor et seulement armé de son micro, la performance était super et énergique. L’ambiance était très joyeuse, parfait pour conclure mon premier jour.

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Day two for me. The sun’s blazing over the city, and I’m more than happy to be chilling in the shade of the trees near the Revolut stage. There’s definitely a special vibe here. Luidji isn’t really my thing musically, but I’ve got to admit, he delivered a solid set in his own style. A nice way to spend part of the afternoon. The crowd looked totally into it.

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Deuxième jour pour moi. Le soleil tape sur la capitale et je suis bien content d’être à l’ombre sous les arbres de la scène Revolut. Il y a quand même un sacré charme ici. Bien que ce ne soit pas ma came, Luidji a livré une bonne performance dans son style. Un bon moment dans cette après-midi. Le public avait l’air ravi de la performance.

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The diva Jorja Smith was highly anticipated, and she absolutely delivered. Her voice was flawless from start to finish. Her band and backup singers were spot on too. From a purely technical standpoint, it was a standout performance. But I didn’t stay ‘til the end, probably because I was too far back, and the typical festival setup plus the distance just didn’t pull me in all the way. It was missing that raw, slightly chaotic edge, that Amy Winehouse kind of wildness, to fully hook me. Still, a really solid show.

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La diva Jorja Smith est très attendue et elle aura délivré une prestation où sa voix incroyable a été impeccable de bout en bout. Son band et ses choristes sont parfaits également. En technique pure, c’était un grand moment, mais je ne suis pas resté jusqu’au bout, car sans doute trop loin, et la configuration festival + distance n’a pas réussi à me captiver jusqu’à la fin. Il manquait un petit côté « destroy » à la Amy Winehouse pour réussir à me retenir tout du long. Mais ce fut un très bon concert.

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Time to kick things up a notch with Jamie xx, and wow, what a set. I’ve rarely seen a DJ mix that smoothly, jumping from one style to another so effortlessly. Rock en Seine turned into one massive open-air club, and we were all loving it, from 20-something kids to 50-year-old vets, everyone was in sync. More than just a warm-up before Justice, it was a killer performance in its own right.

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Passons à plus d’énergie avec Jamie xx, set incroyable. Rarement vu un mec qui mixe aussi bien, et qui passe d’un style à un autre aussi aisément. Rock en Seine se transforme en énorme club géant et on prend tous notre pied. Du kid de 20 piges à l’ancien de 50 ans, l’union et la fête résonnent dans le parc. Plus qu’un bon amuse-gueule avant d’aller voir Justice, une superbe perf.

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But before heading to Justice, I swung by the set from The Psychotic Monks & Guests, surprising… and fascinating.

This was a performance created specifically for the festival. Backed by the organization Futur Composé, the French post-punk band teamed up with three talented artists from institutions that support people on the autism spectrum, and let me tell you, it was both moving and intriguing.

We had Étienne from ESAT Turbulences on keys, Markus from Maison Perce-Neige Alternote on drums, and Thierry Dupont from the band Ron Pon.

What unfolded was raw, experimental, and instinctive. The kind of performance that hits you in the gut, striking a beautiful balance between chaos and control.

It was genuinely inspiring, a moment of hope for any neurodivergent artist out there. Honestly, it even sparked something in me… maybe I’ll explore something like that myself someday.
Anyway, back to the main stage.

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Mais avant Justice je passe faire un tour au concert de The Psychotic Monks & Guests, étonnant… et intéressant ! On assiste à une performance composée expressément pour le festival. En effet, le set exclusif auquel on assiste ce soir est porté par l’association Futur Composé, et voit donc le groupe de post-punk français collaborer avec trois talents issus de trois institutions accueillant des personnes avec un trouble du spectre de l’autisme (autant vous dire que j’ai été touché et intrigué par cela).

Citons donc Étienne de l’ESAT Turbulences au clavier, Markus de la Maison Perce-Neige Alternote à la batterie, et enfin Thierry Dupont du groupe Ron Pon.

Une véritable performance sauvage, expérimentale et instinctive. Ça fait du bien de vivre ce genre de moment. Entre chaos et contrôle, un bel équilibre.

Porteur d’espoir pour tout artiste avec TSA. J’avoue que, personnellement, l’idée et l’envie de faire également quelque chose dans ce sens me titille depuis ce concert. À suivre. Mais revenons à nos moutons.

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And we’re not talking about just any act here, this is Justice.
Ah, Justice. The first time I ever saw them live was back in 2008. And guess where? Yep, right here.

And as usual… boom, straight-up punch to the face from the very first minutes. The setlist was insane, the lights? Unreal. The remixes and live versions? Absolutely savage. The crowd? In a trance. The pacing? Ruthless in the best way. Even the fear that the visual experience might suffer in a festival setting? Gone within minutes. Everything was just… next-level. What can I say about the face-melting live mashup of “Genesis x Phantom” that kicked off the show, complete with that iconic glowing cross blasting into the crowd? Or the pure nostalgia of “Tthhee Ppaarrttyy / D.A.N.C.E.”?
And then the present-day power of “Neverender / Safe and Sound / Canon x Love S.O.S.”? Every moment hit hard.

But for me, the absolute peak was the final stretch: “DVNO / Stress / Waters of Nazareth.”
You just wanted to lose it, dance until you black out, throw on a bomber jacket with a cross on the back, and pretend you’re in the “Stress” video.

That track, by the way, got an even more intense, anxious, and violent live version than the album cut. Totally unstoppable.

The crowd was going nuts the entire time, people up on shoulders, total strangers grabbing each other’s hands just to share the moment.
It was beautiful.

A phenomenal performance from the legendary French duo for their final show in France on this tour.

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Et le projet n’est pas des moindres puisqu’il s’agit de Justice. Ah Justice. Première fois que j’avais vu le groupe en live, c’était en 2008. Et devinez où ? C’était déjà ici, oui !

Et j’ai envie de dire, comme d’habitude, énoooorme claque dans les gencives dès les premières minutes. La setlist est dingue, les lights n’en parlons pas, les remix/versions live bien vnr, le public est en transe, le rythme du spectacle est d’une efficacité redoutable. Même la crainte de voir la qualité visuelle être amoindrie par le fait d’être en configuration festival est balayée au bout de quelques minutes. Tout est absolument dingue. Que dire des versions live complètement vénères de « Genesis x Phantom » ? Qui ouvre d’ailleurs le set, avec évidemment les lights qui nous balancent une croix dans la face. Du retour en arrière rappelant la bonne époque avec « Tthhee Ppaarrttyy / D.A.N.C.E » ? Mais aussi de l’efficacité du présent avec « Neverender / Safe and Sound / Canon x Love S.O.S. » ?

L’apothéose sera, à titre personnel, l’enchaînement de « DVNO / Stress / Waters of Nazareth ».

On a envie de tout casser, de danser jusqu’à perdre connaissance, d’enfiler notre bomber à croix et de se croire dans le clip de « Stress ». Ce dernier aura d’ailleurs droit à une version live encore plus énergique, anxiogène et violente que celle que l’on connaît sur CD. Imparable. Le public est en délire pendant tout le concert, on voit même des filles montées sur les épaules de mecs, ne pas se connaître mais s’attraper les mains pour vivre ensemble ce moment incroyable. C’est beau.

Une sacrée performance du duo français pour la dernière date française de cette tournée.

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Final day of the festival. The weather’s still holding up beautifully. It’s the most rock-heavy, most politically charged, and most crowded day of the whole weekend. As a wave of Irish fans takes over the Domaine national du Parc de Saint-Cloud, our very own Last Train step up and absolutely kill it once again, and top it all off by announcing a show at Zénith de Paris. Big congrats, totally deserved for all the hard work and the genuine energy these guys bring.

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Dernier jour de festival. La météo est toujours au beau fixe. La journée la plus rock, la plus engagée et la plus blindée en termes d’affluence. Et alors qu’une armée d’Irlandais a gagné le Domaine national du Parc de Saint-Cloud, nos Frenchies de Last Train ont une nouvelle fois fait le taf admirablement, et se paient le luxe d’annoncer un Zénith de Paris. Félicitations, c’est mérité pour tout le taf et la sympathie de ces garçons

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Stereophonics played a strong set over on the Revolut stage, but make no mistake, the real action was at the Bosquet stage during the same time slot. That’s where Irish trio Kneecap, known for their fierce political activism, brought in a tidal wave of people. The place was packed, and the atmosphere was absolutely electric. And rightfully so. While most of the crowd was there to party and show support for a people facing genocide, a few bad-faith attendees tried to cause a stir, waving Israeli flags, holding up signs, blowing whistles to disrupt the intro. It didn’t work.

Palestinian and Irish flags, keffiyehs, football jerseys, and chants of “Free Palestine” filled the space.
Kneecap didn’t hold back, the screens behind them flashed messages like:
“The French government is complicit. It sells and facilitates arms deals with the Israeli army.”

It’s honestly refreshing to see artists still bold enough to speak out like that in today’s climate.

As for the performance itself, it was a blast. Super high-energy, full of jokes, and tons of interaction with the crowd.
Rebellious, loud, fun, and fearless.

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Stereophonics livreront une belle prestation sur la scène Revolut, mais il ne fallait pas s’y tromper. C’était bien sur la scène du Bosquet qu’il fallait être à la même tranche d’horaires. Le trio irlandais Kneecap, bien connu pour son engagement depuis plusieurs mois maintenant, va ramener une marée humaine. C’est archi blindé, l’atmosphère est explosive. Et à juste titre. Si la majorité des personnes présentes ne veulent que faire la fête, et soutenir un peuple qui se fait génocider, quelques erreurs de casting déploient quelques affiches, drapeaux israéliens et sifflets afin de perturber l’entrée de scène. Cela ne va rien changer : de nombreux keffiehs, drapeaux palestiniens et irlandais, maillots de foot des deux nations et autres chants « Free Palestine » agrémenteront tout le concert.

Kneecap, d’ailleurs, fonce droit dans le mur ; les écrans afficheront des messages comme « Le gouvernement français est complice : il vend et facilite le commerce d’armes à l’armée israélienne. »

Ça fait du bien de voir des artistes engagés qui portent leurs couilles dans cette époque.

Pour parler un peu de la performance, elle se fera vraiment dans une très bonne ambiance, très énergique, avec beaucoup de blagues et aussi beaucoup d’interactions entre le groupe et le public.

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No time to hang around, another Irish group is up next, this time on the festival’s main stage: the phenomenon that is Fontaines D.C. A massive crowd quickly gathers to witness what many see as the current future of rock. And you’d better not be late, the band kicks things off right away with “Here’s the Thing,” “Jackie Down the Line,” and “Boys in the Better Land.” With their signature laid-back style, they still manage to send fans into a frenzy. And just like their Irish comrades from earlier, they take a clear stand against the ongoing genocide. Palestinian flags everywhere, chants of “Free Palestine” ringing out across the crowd. They even dedicate the track “Favourite” to Kneecap. They close out strong with “I Love You” and “Starburster.” Personally, I think their music hits harder in a smaller venue, easier to feel fully connected to their performance. It’s always tricky to captivate both the front rows and the folks standing 100 meters back at a festival.

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Pas le temps de trop traîner puisque s’enchaîne un autre groupe irlandais, cette fois-ci sur la grande scène du festival : le phénomène Fontaines D.C. Voit une foule gigantesque se presser pour assister à ce qui est la relève « rock » du moment, et il ne faudra pas traîner puisque le groupe démarre direct avec « Here’s the Thing », « Jackie Down the Line » et « Boys in the Better Land ». Toujours avec leur style nonchalant, les fans sont en extase. Eux aussi, à l’instar de leurs compères quelques minutes plus tôt, auront des positions contre le génocide en cours. Drapeaux de la Palestine par-ci, « Free Palestine » par-là. La chanson « Favourite » sera d’ailleurs dédiée à Kneecap. Le final « I Love You » et « Starburster » finira le bon travail. Je pense qu’il est préférable de les voir en salle, pour être mieux intégré à la performance. Ce n’est jamais évident de réussir à autant captiver les premiers rangs d’un festival que ceux qui sont 100 mètres plus loin.

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Once again, it was time to be in two places at once, our French band The Limiñanas were playing almost at the same time as krautrock outfit Suuns. Both delivered great performances in their own lane, but personally, I was especially blown away by our homegrown heroes.

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Il faudra une nouvelle fois ensuite se dédoubler puisque nos Français de The Limiñanas jouent quasi en même temps que le groupe de krautrock Suuns. Les deux livreront de très belles prestations, chacun dans leur registre. J’ai surtout été bluffé par notre groupe national, pour ma part.

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To close out the festival, we had a choice: the classic dad-rock band I’ve seen one too many times, Queens of the Stone Age, playing in front of a massive, borderline overwhelming crowd. Honestly, I was watching from far back. Like, way back. Too far back. And the feeling was the same as the last time I saw them: sure, they’re legends, sure, they play tight, but I get bored fast. Watching a show from 500 meters away on a screen doesn’t help either. So I bailed and headed over to catch Bryan’s Magic Tears, who opened their set with a cheeky line:
“Bonsoir, nous sommes Queens of the Stone Age.”

First song, “Side by Side”, and boom, a kick straight to the face.
Was it good? No, it was amazing. Easily my best discovery of late, and not just at this festival. The Paris-based band has incredible songwriting chops and a stage presence that would make even Mancunian bands jealous. If you don’t know them yet, they’re signed to Born Bad Records, and they absolutely deserve your full attention and support. I honestly couldn’t have dreamed of a better way to end the 2025 edition.

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Pour conclure ce festival, on a le droit entre le groupe de rock à papa, vu et revu pour ma part, Queens of the Stone Age. Parmi une marée humaine presque angoissante. Honnêtement, je regarde de loin, très loin, de beaucoup trop loin. Et le constat est identique à la dernière fois que j’ai pu voir le groupe. Oui, c’est bien, oui ce sont des légendes, oui ça joue bien, mais je me fais vite chier. Et regarder le concert à 500 mètres sur un écran n’aide pas. Je file donc voir Bryan’s Magic Tears, qui débarquent sur scène avec une pointe d’ironie : « Bonsoir, nous sommes Queens of the Stone Age ».

Première chanson, « Side by Side », et je me prends un kick dans le front. C’est bon ? C’est même très bon ! Assurément la meilleure découverte récente pour ma part, et pas seulement sur ce festival. Le groupe francilien, en plus de posséder un sens de la compo imparable, a un charisme que même les Mancuniens doivent nous envier. Si vous ne les connaissez pas encore, sachez qu’ils sont signés chez Born Bad Records, et méritent tout votre attention et soutien. Je ne pouvais pas rêver mieux comme final de cette édition 2025.

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Huge thanks to the Ephelide team, to everyone at Rock en Seine, as well as the security crew and all the staff supporting people with disabilities. You were all amazing, and that deserves to be said loud and clear. See you next year!

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Énorme merci à l’équipe Ephelide. Aux équipes de Rock en Seine, ainsi qu’à la sécurité et au personnel des personnes en situation de handicap. Vous avez tous été au top, et il faut le souligner. À l’année prochaine !