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Tonight, Le Trabendo plays host to a post-hardcore dream lineup. Silverstein celebrates 25 years of an incredible career, joined by the legendary Thursday, the chaotic force of The Callous Daoboys, and the rising stars Bloom. This mix of veterans and fresh blood promises a night packed with intensity, raw emotion, and a few surprises along the way.

The venue takes a little while to fill up, but that doesn’t dampen the energy of the bands one bit. They’re here to go all in, and we’re here to witness it.

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Ce soir, Le Trabendo accueille une affiche exceptionnelle pour tous les amateurs de post-hardcore. Silverstein célèbre 25 ans de carrière, et ils sont accompagnés par Thursday, The Callous Daoboys et Bloom. Une affiche éclectique qui promet une soirée pleine d’énergie, d’émotions et de surprises.

Si la salle met un peu de temps à se remplir, ça ne refroidit en rien la motivation des groupes, qui vont chacun envoyer du lourd pour marquer cette date. La soirée va être intense, et on est là pour ça.

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BLOOM: A POWERFUL START, FIRST TIME IN FRANCE, BUT NOT THE LAST

The venue isn’t full yet when Bloom takes the stage, but that doesn’t stop them from bringing absolute fire right out the gate. It’s their first-ever show in France, and they’re determined to make it one to remember.

As soon as “The Service” kicks in, you can tell who the real fans are, they’re already headbanging, screaming along, and locked in from the first note. The front rows waste no time getting into it, and the singer immediately commands attention with a powerful opening: “Thank you so much! If you don’t know us, this is our first time in France, and we wanna thank you for being here! If you know who we are, then you better go crazy on this one!”

By “Bound to Your Whispers“, the energy in the room shifts up a gear. The chemistry between Bloom and the crowd is instant, everyone feeds off each other’s energy. The band’s dual vocals hit hard live, balancing melodic highs with gut-punching screams. “You & I” brings the first major crowd interaction, people clap in unison, chant the lyrics, and the momentum keeps building.

The singer is a force of nature on stage, pushing the audience to give more. And they do. “You guys are incredible! We’re so happy to be here, make some noise for yourselves!!”

“The Works of You” keeps the fire burning, and by the time “Maybe in Another Life” rolls in, the whole venue is finally awake. The band feels it, the crowd feels it, this is a moment.

“Paris, thank you so fuckin’ much! We got one more! This song is called ‘Siren Song’!”

And with that final burst of energy, the set comes to an end, but Bloom just made their mark. This was only their first time in France, but after tonight, it sure as hell won’t be the last.

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BLOOM : UN DÉMARRAGE PUISSANT, PREMIÈRE FOIS EN FRANCE, MAIS PAS LA DERNIÈRE

Le Trabendo n’est pas encore rempli lorsque Bloom monte sur scène, mais ça ne les empêche pas d’arriver avec une énergie démente. Premier concert en France pour eux, et ils comptent bien en faire un moment mémorable.

Les premières notes de “The Service” résonnent, et même si le public est encore en train d’arriver, les vrais sont déjà là, prêts à headbanguer. Les premiers rangs ne se font pas prier, et le chanteur capte immédiatement l’attention de la fosse en hurlant : “Thank you so much! Au cas où vous ne nous connaissez pas, c’est notre première fois en France et on tient à vous remercier d’être là ! Si vous savez qui on est, vous allez bouger un max sur cette chanson !“

Dès “Bound to Your Whispers“, la mayonnaise prend. On sent une vraie connexion entre le groupe et les spectateurs, qui se laissent emporter par l’énergie du groupe. Le duo vocal fonctionne à la perfection, avec une alternance entre une voix puissante et un scream ultra percutant. Sur “You & I”, la fosse commence à chanter, à taper dans les mains en rythme, preuve que le groupe gagne rapidement des adeptes.

Le chanteur donne tout, se démène sur scène, motivant le public à participer davantage. Et le public ne se fait pas prier : “Vous êtes incroyables, on est vraiment contents d’être ici ! Alors faites du bruit pour vous-même !!“

L’ambiance continue à monter avec “The Works of You“, puis arrive “Maybe in Another Life“, qui termine de réveiller la salle. Les spectateurs sont conquis, et le groupe le sent.

“Paris thank you so fuckin’ much, we have one more ! This song is called ‘Siren Song’ !“
Dernière explosion, derniers headbangs, derniers cris, et la fosse est officiellement chauffée pour la suite.

Bloom a prouvé en un set qu’ils sont taillés pour le live, et on espère les revoir très vite en France.

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THE CALLOUS DAOBOYS: PURE CHAOS, UNFILTERED ENERGY

From the second The Callous Daoboys hit the stage, it’s clear that this won’t be your typical set. A violinist? A guitarist so expressive she looks possessed? This band is something else.

“What’s up, Paris?!” First riff. First wall of sound. And then, pure mayhem.

Their music is chaotic but calculated, a mix of blistering heaviness, unpredictable tempo changes, and raw, unrelenting energy. You don’t just watch a Callous Daoboys show, you get swept into the madness.

The guitarist climbs onto an amp, the vocalist flings his mic stand around like a weapon, and the violinist? She’s shredding so hard her bow starts falling apart.

“It’s our second time in Paris! Let’s have some fun! Hands in the air!”
And the pit obliges immediately, arms swaying side to side.

Then comes a legendary moment: “Who can teach me some French curse words?”
Some guy yells “PUTAIN!” The vocalist shouts it back, before throwing in an exaggerated “SACRE BLEU!“. The whole venue loses it.

By the time they hit their final breakdown, every band member is going absolutely nuts, and the crowd wants more.

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THE CALLOUS DAOBOYS : UN CHAOS ORGANISÉ, UNE ÉNERGIE FURIEUSE

Dès leur arrivée sur scène, The Callous Daoboys imposent leur folie. Un groupe avec une violoniste et une guitariste ultra expressive, ça ne passe pas inaperçu.

“What’s up Paris ?!” Premier riff, premier mur de son, et là… c’est parti pour une tornade sonore.

Leur musique est un chaos total, mais totalement maîtrisé, entre passages ultra lourds, breaks imprévisibles et une énergie qui ne laisse personne indifférent. C’est frénétique, nerveux, et surtout, complètement barré.

Le guitariste grimpe sur un ampli, le chanteur démonte son pied de micro, et la violoniste massacre son archet. La fosse est partagée entre l’hypnose et la fascination, et même ceux qui ne connaissent pas semblent happés par cette énergie incontrôlable.

“C’est notre deuxième fois à Paris, on va s’amuser ! Hands in the air!“
Et là, la fosse suit, bras en l’air, balancés de droite à gauche.

Un moment absolument culte du set :
“Qui peut m’apprendre des gros mots français ?“
Un mec crie “PUTAIN“, et le chanteur le répète avec enthousiasme, avant d’ajouter un “SACRE BLEU“. La salle explose de rire.

Le final est un carnage musical, où chacun des membres se lâche complètement, et le public en redemande.

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THURSDAY: A POST-HARDCORE LEGEND, STILL UNTOUCHABLE

The first two bands lit the fuse, but now, it’s time for one of the most anticipated acts of the night. Thursday isn’t just another band in the genre, they helped define it.

As soon as “The Other Side of the Crash” starts, the atmosphere shifts. This is different. This is special.

“It’s always a pleasure to be back in Paris. This one’s an old one.”

Then comes “Cross Out the Eyes“, and everything explodes. The crowd isn’t singing, they’re screaming every word like it’s their last breath. The energy spikes to another level, and the venue moves like one massive wave.

On “Signals Over the Air“, frontman Geoff Rickly holds out the mic, and the audience roars back the chorus at full volume.

“We haven’t played this one in 13 years.”

Silence. Then, a soft piano-and-vocals intro cuts through the room, drawing everyone in. And then, BOOM. When the full band kicks back in, it’s a gut punch of emotion.

A fan in the front row holds up a sign: “It’s my birthday!” Geoff notices immediately, wishes them a happy birthday, and then, out of nowhere, someone crowd-surfs their way to the stage.

“Thank you so much. Last song.”
“War All the Time.”

One final eruption of energy. Thursday just delivered one of those performances you don’t forget.

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THURSDAY : LE RETOUR D’UNE LÉGENDE, ET UNE COMMUNION TOTALE

Si les deux premiers groupes ont chauffé la salle, Thursday est LE groupe que beaucoup attendaient. Ils sont plus qu’un groupe de post-hardcore : ils en sont des pionniers, des visionnaires, un pilier de la scène alternative.

Dès “The Other Side of the Crash”, on sent une énergie différente. La fosse est en mouvement, ça chante, ça headbangue. On ressent l’impact du groupe sur les spectateurs.

 “C’est toujours un plaisir de venir à Paris, cette chanson a quelques années.“

Le riff de “Cross Out the Eyes” retentit, et là, tout explose. Les hurlements de la foule couvrent presque la voix du chanteur. Les fans ne chantent pas, ils crient chaque parole, et la salle devient un seul et même organisme en fusion.

Sur “Signals Over the Air”, le chanteur tend le micro, et la fosse répond en hurlant. Un moment de pur frisson.

“Cette chanson, on ne l’a pas jouée depuis 13 ans.“
Le silence s’installe, avant qu’une intro piano/voix ultra émotive ne vienne capter chaque âme présente. Quand le groupe repart de plus belle, c’est un vrai choc émotionnel.

À un moment, un fan brandit une pancarte “C’est mon anniversaire”, et le chanteur lui souhaite directement. Le premier slam de la soirée part sur ce moment, et on sent que c’est un vrai concert de communion, un partage total.

“Thank you so much, last song!“
“War All the Time”, et le Trabendo est en ébullition totale. Thursday a transcendé cette soirée.

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SILVERSTEIN: 25 YEARS, STILL AT THEIR PEAK

Now, it’s time for the main event. The crowd is amped, the stage is set, and when Silverstein steps out, the place goes ballistic.

“Skin & Bones“, instant chaos.

“Paris, it’s so good to be back!”

Then, one after another, it’s hit after hit:
“Confession“, “The Altar/Mary“, “Infinite“.

The pit is a non-stop hurricane, with circle pits, crowd surfers, and voices screaming every word. Shane Told is loving it.

On “Bad Habits“, he stops, looks around, and just smiles. “You guys are insane.”

Then, an emotional moment, he pauses between songs.
“25 years… I can’t believe we’re still doing this. And looking at all of you… I think we’ll be doing it for a lot longer.”

But then, “Call It Karma” hits, and the room EXPLODES.

“This will be our last song!”
“Smile in Your Sleep“.

The last chorus feels like an earthquake, but it’s not over yet.

ENCORE!
Shane returns, solo, acoustic guitar in hand.“I played this one in Belgium… but I need you to be LOUDER than them”.

Phones up. Every voice in the venue sings along.

Then, the full band comes back for the grand finale.

“Tonight, we celebrate 25 years together. Paris, give it EVERYTHING!”

The final breakdown hits, and Le Trabendo collapses in chaos.

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SILVERSTEIN : 25 ANS, UNE CARRIÈRE INTACTE, UNE FOSSE EN FEU

C’est LE moment de la soirée. La salle est en ébullition, la fosse est prête à exploser, et Silverstein entre en scène sous une ovation monstre.

Dès “Skin & Bones“, les premiers pogos se forment, les bras se lèvent, tout le monde saute. C’est DINGUE.

“Paris, it’s so good to be back !”

“Confession“, “The Altar/Mary“, “Infinite“… Les morceaux s’enchaînent sans pause, la fosse est en transe, chaque parole est hurlée à pleins poumons.

Sur “Bad Habits“, c’est l’anarchie. Les crowsurfs s’enchaînent, Shane Told sourit en voyant la tempête qu’il a déclenchée.

Moment plus intimiste, quand Shane prend quelques minutes pour parler au public : “On existe depuis 25 ans… C’est fou de voir autant de gens qui nous suivent depuis si longtemps.“

Puis, l’intensité reprend de plus belle avec “Call It Karma“. La fosse est en fusion, les riffs fusent, l’énergie est incontrôlable.

Et là…
“This will be our last song!“, “Smile in Your Sleep“, et c’est une dernière explosion de folie.

Le groupe quitte la scène… mais le public n’en a pas fini.

RAPPEL !
Shane revient seul, guitare en main, et l’ambiance change complètement.

 “J’ai joué celle-là en Belgique… Mais vous devez être plus énergique qu’eux !”. Les téléphones s’allument, et le public chante à l’unisson.

Puis le groupe entier revient, et là, c’est le final explosif.

“Ce soir, on célèbre 25 ans d’émotions ensemble !!! Paris, donne tout !!” Dernière montée en puissance, la salle est en feu, Silverstein achève son set dans un chaos magnifique.

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THANK YOU, VERYSHOW!

This show was an absolute knockout. Every band brought their intensity, their story, and their energy. And once again, Silverstein proved why they are living legends.

Huge thanks to Veryshow for an unforgettable night, can’t wait for the next round!

Paris, you were fantastic. See you next time!

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MERCI, VERYSHOW !

Ce concert était une pure claque. Chaque groupe a apporté son intensité, son histoire, son énergie. Et Silverstein a prouvé une fois de plus qu’ils sont des légendes vivantes.

Merci Veryshow pour cette soirée mémorable, et vivement le prochain round !

Paris, you were fantastic. See you next time!