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Posty made a stop at an Arena that, sadly, was far from full for his one and only French date on this big-ass world tour, joined by his sidekick Jelly Roll. It had been six long years since the American last set foot on a Parisian stage. Was it the back-to-school season? His latest country album (which, by the way, is excellent)? Or maybe just the French wallets? Whatever the reason, the lucky fans in attendance were treated to a night dripping with country vibes, American rock, and that good ol’ American spirit.

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C’est dans une Arena malheureusement loin d’être remplie que Posty fait escale pour son unique date française de ce big ass world tour, en compagnie de son acolyte Jelly Roll. Cela faisait pourtant six ans que l’Américain n’avait pas foulé le sol d’une scène parisienne. Est-ce que cela est dû à la rentrée ? À son dernier album country (pourtant excellent) ? Ou encore au pouvoir d’achat des Français ? Toujours est-il que les chanceux présents vont pouvoir assister à une soirée placée sous le signe de la country, du rock américain et de cette bonne vieille Amérique justement.

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Although well thought-out, the stage setup felt a far cry from the typical over-the-top American productions and a bit modest for the sheer size of the venue.

The night kicked off with Jelly Roll, who delivered a generous, vocally stunning performance packed with covers. You could almost swear you were back in the States as he belted out classics like Lonely Road, Take Me Home / Country Roads, and Sweet Home Alabama.

The crowd welcomed him warmly, especially considering he had never been allowed to leave the U.S. before due to past legal troubles. He seemed genuinely thrilled to be there, and his joy was contagious. He repeatedly thanked Post Malone and shared heartfelt thoughts on what music means to him, the power to heal and bring people together.

It was a first act full of flavor and talent, and anyone discovering him that night couldn’t help but be captivated.

FR
Bien que travaillée, sa mise en scène paraît loin des superproductions américaines et quelque peu modeste pour l’immensité du lieu.

On débute la soirée avec Jelly Roll, qui va offrir une prestation généreuse, vocalement incroyable et avec beaucoup de reprises. On se croirait en Amérique lorsqu’il entonne des classiques comme Lonely Road, Take Me Home / Country Roads, ou encore Sweet Home Alabama.

Le public l’accueille plutôt bien, lui qui n’avait jamais pu quitter le territoire américain jusqu’alors, suite à des déboires judiciaires passés. Il semble tellement heureux d’être là que sa joie est communicative. Il remerciera à plusieurs reprises Post Malone et fera des discours sur ce qui est pour lui le pouvoir de la musique, à savoir soigner et rassembler les gens.

Une première partie des plus savoureuses et pleine de talent. Ceux qui l’ont découvert ce soir n’ont pu être que sous le charme.

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It was finally time for what everyone had been waiting for: the coolest guy in America. Post Malone

We were in for over two hours of showtime. His band hit the stage first, quickly followed by Austin, his real name, against a backdrop that screamed American road trip. The tone was set!

It didn’t take long to realize that the show would lean heavily into country vibes and classic American rock. Even his older tracks, which are far from country, more like hip-hop if we’re being honest, were completely reimagined to fit this world. The result? Pure magic and a remarkably cohesive show. Some fans might have been thrown off, but the effect was undeniable, and for me, it was a total win. Having a live band along with backup singers really elevated the whole experience. A true treat.

The start of the show offered reinterpretations that were sometimes country, sometimes rock, sometimes fully acoustic, tracks like Wow., Better Now, Go Flex, and a spine-tingling version of I Fall Apart that gave goosebumps to anyone watching. The screens displayed visuals transporting us straight to America, making you feel like you were on the open road with Posty as the soundtrack. There were fireworks and other effects, but never over the top, just the right touch.

Jelly Roll returned to the stage to perform Losers. The chemistry between the two artists was heartwarming. This show radiated sincerity, and it felt good to witness. Whether it was Jelly thanking Post Malone, or Posty acknowledging and highlighting his band multiple times, everything felt genuine, not just for show like at some concerts.

The crowd, unfortunately, was pretty underwhelming, except for the first two or three rows of the pit, the Parisian audience stayed surprisingly calm. A shame, because the frontman was giving his all, his soaked shirt said it all.

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Il est enfin l’heure de passer à ce que tout le monde attend, à savoir, le mec le plus cool d’Amérique. Post Malone

C’est parti pour plus de 2h de show. Son groupe fait son entrée en premier, très rapidement suivi par Austin, de son vrai nom, le tout dans un décor évoquant un road trip américain. Le ton est donné !

On va vite comprendre que le show va être placé sous le signe de la country et du bon vieux rock américain. En effet, les anciens morceaux, qui n’ont pourtant rien de country mais plutôt hip-hop pour le dire grossièrement, vont être tout du long réinterprétés afin de coller à cet univers. Cela va donner des moments de grâce et surtout une vraie cohérence à tout le spectacle. Cela pourra sans doute en déboussoler certains, mais l’effet est là, et pour moi, c’est une réussite totale. Le fait d’avoir un groupe live ainsi que des choristes vocales accentue tout cela. Un régal.

Le début du spectacle va justement offrir des réinterprétations, soit country, soit rock, soit carrément acoustiques, de morceaux tels que Wow., Better Now, Go Flex ou encore cette interprétation de I Fall Apart à vous dresser chaque poil du corps. Les écrans projettent des visuels qui nous transportent en Amérique, et on a l’impression d’être sur la route, avec Posty comme bande-son. On a le droit à des feux d’artifice et autres effets, mais jamais dans l’exagération ni la surenchère, bien au contraire.

Jelly Roll va refouler la scène afin d’interpréter Losers. On assiste à une complicité entre les deux artistes qui fait plaisir à voir. Ce show transpire la sincérité, et ça fait du bien. Que ce soit Jelly qui remercie Post Malone, ou Posty qui remercie et met en valeur son groupe à plusieurs reprises, on sent que tout est vrai, et que ce n’est pas juste pour la forme, comme on peut le ressentir lors de certains concerts.

Du côté du public, c’est assez mou : hormis les deux ou trois premiers rangs de la fosse, le public parisien semble d’un calme déconcertant dans son ensemble. C’est dommage, car le frontman se donne à fond, en témoigne sa chemise trempée.

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Two more standout moments of the night came next. First, a young fan was invited on stage to play guitar and deliver an acoustic guitar-and-vocal version of Stay.

Then came the moment that sent all the Americans and country fans in the room absolutely wild: the legendary Chris Stapleton made a special appearance to perform their track California Sober! What a lucky crowd, an unforgettable moment.

The show continued with classics like White Iverson and Psycho, interspersed with tracks from the latest album F-1 Trillion, including Finer Things and Pour Me a Drink. The crowd stayed relatively calm, though not for lack of Posty trying to connect with them. He clearly loves mingling with fans, clinking drinks, giving hugs. This guy is just way too cool, radiating kindness, humility, and genuine sincerity.

As the night slowly approached its finale, it was finally when the audience started letting loose a bit more (about time!).

After a rock-driven intro, it was time for the massive hit Rockstar, which got a section of the stands on their feet. Sunflower, another mega-hit (and the most-streamed song ever, mind you), had plenty of the crowd singing along at last.

But the night wasn’t over yet. At the far end of the pit, a rectangular mini-stage rose up, decorated in neon lights. This is where the superstar would close out the show with the unstoppable hit Congratulations, a perfect finale to an incredible night.

For those who stuck around until the very end, Posty returned one last time after his band had left the stage to sign autographs for the fans in the front rows.

A final gesture that says so much about him and perfectly sums up the evening: a show tight, big-budget American style, but generous and human at heart.

Big thanks to the teams at Live Nation France, La Défense Arena, and of course, Post Malone.

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Deux autres moments forts du spectacle seront la montée sur scène d’un jeune fan, qui va jouer de la guitare afin de livrer une prestation acoustique guitare-voix de Stay. Puis ensuite, le moment qui va rendre fous tous les Américains et fans de country présents dans la salle : la venue exceptionnelle de l’immense star Chris Stapleton pour interpréter leur morceau California Sober ! Quelle chance de pouvoir assister à cela, un très beau moment.

Vont s’en suivre des classiques (White Iverson, Psycho) au milieu de morceaux du dernier album F-1 Trillion, comme Finer Things ou encore Pour Me a Drink. Le public reste assez calme. Ce n’est pas faute à Malone d’aller au contact de ce dernier. On voit qu’il adore aller communier avec ses fans, trinquer avec eux, les prendre dans les bras. Ce mec est beaucoup trop cool, transpire la gentillesse, l’humilité et parle sincérité.

On se dirige petit à petit vers la fin du spectacle, et c’est enfin à ce moment que le public va se lâcher un peu plus (il était temps !)

Après une intro qui laisse s’installer une ambiance bien rock, il est l’heure du super hit Rockstar, qui va faire lever une partie des tribunes. Sunflower, autre méga hit de l’artiste (morceau le plus streamé de l’histoire s’il vous plaît) fera enfin chanter bon nombre de spectateurs présents.

Mais ce n’est pas fini : à l’autre extrémité de la fosse se dévoile une « mini-scène » rectangulaire, pouvant s’élever, décorée de néons. C’est ici que la superstar finira son show avec le tube Congratulations, implacable pour terminer une superbe soirée.

Pour celles et ceux qui seront restés jusqu’au bout, aussitôt son groupe parti de la scène, Posty reviendra une dernière fois voir les fans des premiers rangs pour leur signer quelques autographes.

Un dernier geste qui en dit long sur l’artiste et qui résume parfaitement cette soirée : un show millimétré et à l’américaine, mais généreux et humain.

Merci aux équipes de Live Nation France, La Défense Arena et Post Malone.