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Le Zénith de Paris trembled this Thursday, October 2nd. Parkway Drive were celebrating their 20th anniversary with a jaw-dropping production worthy of the biggest stadium tours.

The show was supposed to kick off at 8:45 p.m., but started fifteen minutes late, just enough time to set up one hell of a surprise.

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Le Zénith de Paris a tremblé ce jeudi 2 octobre. Parkway Drive célébrait ses 20 ans de carrière dans une mise en scène monumentale, digne des plus grandes tournées de stades. 

Le concert, prévu à 20h45, a pris quinze minutes de retard… mais c’était pour mieux surprendre. 

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A Triumphant Entrance

Suddenly, the lights go out. At the top of the stands, the five Australians appear, waving massive flags bearing their logo, lit by a blinding white spotlight like MMA fighters walking into the arena. Three minutes later, after weaving their way through a roaring crowd in absolute frenzy, they reach a square stage set right in the middle of the venue, connected to the main one by a long runway. The atmosphere is electric.

“Carrion” Kicks It Off

The crowd’s on edge, waiting for just one cue, one riff. When Jeff Ling launches into “Carrion,” the timeless anthem from Horizons (2008), the place detonates. Winston McCall grabs the mic and the Parkway Drive machine roars to life. They follow up with “Prey,” as Winston whips the crowd into a frenzy, turning Le Zénith into a full-on rhythmic battleground, the pit shakes, the stands rumble.
Two songs in, and it’s clear: this is going to be one hell of a night.

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 Une entrée triomphale 

Soudain, les lumières s’éteignent. Au sommet des gradins, les cinq Australiens apparaissent, drapeaux à leur effigie en main, éclairés par un faisceau blanc éclatant comme des combattants MMA entrant dans l’arène. Trois minutes plus tard, après avoir traversé la fosse sous les acclamations d’un public en transe, ils rejoignent une scène carrée installée au centre de la salle, reliée à la scène principale par une longue passerelle. L’ambiance est électrique. 

Carrion ouvre le bal 

Le public n’attend qu’un mot, qu’un riff. Quand Jeff Ling entame « Carrion », hymne intemporel de l’album Horizons (2008), la salle explose. Winston McCall prend le micro et la machine Parkway Drive est lancée. Le groupe enchaîne avec « Prey », sur laquelle Winston électrise la foule, transformant le Zénith en véritable champ de bataille rythmique : la fosse gronde, les gradins tremblent. En deux titres, le ton est donné : ce sera une soirée dantesque. 

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Monumental Staging and Surprise Guests

During “Glitch”, the main stage reveals its full might: fake stone pillars rise sky-high, a massive beam crashes down, and the first bursts of pyro light up the entire venue. Then comes “Boneyards,” featuring the surprise arrival of Joel Birch (The Amity Affliction) and Andy Marsh (Thy Art Is Murder), both opening acts from earlier that night. A 100% Australian lineup sets the central stage ablaze.

After “Horizons”, Winston reappears with a dark, gothic flair: a long black trench coat straight out of The Matrix, a mic wrapped in spikes, and dancers dressed head-to-toe in black. The mood turns cinematic for “Cemetery Bloom”, “The Void”, and “Wishing Wells”, elevated by artificial rain pouring around the frontman. It’s an intense, haunting tableau, equal parts poetic and powerful.

From Chaos to Emotion

“Dark Days” fires up the engines again with raw fury before Winston dives headfirst into the crowd during “Idols and Anchors”. A massive circle pit forms around him, total communion between band and fans. He then crowd-surfs his way back to the stage to perform “Chronos”, joined by a string trio that takes the song to another level. The chills peak on “Darker Still”, still accompanied by the trio, as the crowd falls into a reverent silence.

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 Scénographie titanesque et guests surprises 

Sur « Glitch », la scène principale se dévoile : de faux piliers de pierre s’élèvent, une poutre s’abat et les premières salves pyrotechniques embrasent la salle. Puis vient « Boneyards », avec l’arrivée surprise de Joel Birch (The Amity Affliction) et Andy Marsh (Thy Art Is Murder), les deux premières parties de la soirée. Un line-up 100 % australien qui enflamme la scène centrale. 

Après « Horizons », Winston adopte une allure gothique : trench noir façon Matrix, micro hérissé d’épines et danseurs vêtus de noir. L’ambiance devient cinématographique pour « Cemetery Bloom », « The Void » et « Wishing Wells », sublimées par une pluie artificielle tombant autour du chanteur. Un tableau intense, à la fois poétique et puissant. 

Du chaos à l’émotion 

« Dark Days » relance la machine avec une rage brute, avant que Winston ne plonge dans la foule sur « Idols and Anchors ». Circle pit géant autour du frontman, communion totale. Il crowdsurf ensuite jusqu’à la scène pour interpréter « Chronos », accompagné d’un trio à cordes qui magnifie le morceau. Les frissons atteignent leur paroxysme sur « Darker Still », toujours avec le trio, dans un silence religieux. 

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Final Explosion

“Bottom Feeder” sends the pit into absolute chaos. Fireworks, massive pyros, raw energy, the entire Zénith erupts like a volcano. The band leaves the stage… only to come back even harder. Within a minute, the lights blaze back on,“Crushed” kicks off. Winston, shirtless, screams his lines with primal fury while Ben Gordon delivers a jaw-dropping drum solo (literally,his drum kit spins 360 degrees mid-performance). Then, the runway begins to rise into the air for the final breakdown. Winston stands on it, suspended above the crowd, before delivering the killing blow:

“Crushed by the fists of God!” Every pyro in the room detonates at once,around eighteen in total, despite the venue’s restrictions. The heat floods the pit. It’s a moment burned into everyone’s memory.

Collective Apothéosis

To close out the night, the band returns to the center stage for “Wild Eyes.” The entire crowd chants the iconic riff in unison, a perfect communion between band and fans. Two hours of meticulously crafted chaos, intense, emotional, and spectacular, come to an end.

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Explosion finale 

« Bottom Feeder » déchaîne la fosse. Feux d’artifice, pyros massifs, énergie brute : le Zénith devient un volcan en éruption. Le groupe quitte la scène… pour mieux revenir. En une minute, les lumières se rallument : « Crushed » démarre. Winston torse nu hurle ses lignes, tandis que Ben Gordon livre un solo de batterie renversant (littéralement, puisque sa batterie tourne sur elle-même). La passerelle s’élève dans les airs pour le dernier break. Winston s’y tient, suspendu au-dessus de la foule, avant le coup de grâce : 

“Crushed by the fists of God !” Toutes les pyros explosent en même temps, près de 18 effets détonants malgré les limitations de la salle. La chaleur envahit la fosse, le moment est gravé dans les mémoires. 

Apothéose collective 

Pour conclure, le groupe revient au centre de la salle pour « Wild Eyes ». Le public reprend le riff mythique en choeur, dans une communion totale entre fans et musiciens. Deux heures d’un show millimétré, intense et spectaculaire viennent de s’achever. 

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It was a complete journey through twenty years of Parkway Drive, from Horizons to Darker Still, blending timeless anthems for longtime fans with newer tracks that hit just as hard for the next generation. The only shadow on the night: the Killing With A Smile medley was dropped, sacrificed to make up for the slight delay at the start.

But honestly, there aren’t enough superlatives to describe this night. As the crowd spilled out of Le Zénith, many just sat outside, still shaken by what they had experienced. Parkway Drive delivered something truly exceptional, a flawless mix of stage power, raw emotion, and stadium-level production inside a mid-sized venue.
Without a doubt, this will stand as one of the year’s defining live events.

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Un voyage complet à travers vingt ans de carrière, de Horizons à Darker Still, mêlant classiques pour les fans de la première heure et morceaux récents pour le nouveau public. Seule ombre au tableau : l’absence du medley de Killing With A Smile, sacrifié à cause du léger retard initial. 

Il n’y a pas de superlatif assez fort pour décrire cette soirée. En sortant, beaucoup restent assis devant la salle, encore secoués par ce qu’ils viennent de vivre. Parkway Drive a livré un show exceptionnel, combinant puissance scénique, émotion et scénographie de stade dans une salle de taille moyenne. Un concert qui restera sans aucun doute comme l’un des événements majeurs de l’année.