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“Paris, move your ass!”

 This phrase echoed like a battle cry all night, shouted by the bands and echoed by the crowd. “Paris, move your ass!” was more than just a slogan; it was the fuel that powered this insane night at Backstage by the Mill. Here’s a recap of a night where Paris really showed up.

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“Paris, bougez vous !”

Cette phrase a résonné comme un cri de guerre tout au long de la soirée, lancée par les groupes, reprise par le public. “Paris, bougez vous!” était plus qu’un simple slogan, c’était le carburant de cette nuit d’enfer au Backstage by the Mill. Retour sur une soirée où Paris a vraiment bougé.

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The night kicks off strong with Malignant, a band that knows how to work a crowd. Right from the first riff, we hear that familiar “Paris, move your ass!” and the pit just explodes. The Greeks are clearly here to bring it and keep thanking the crowd in French, building that connection even more. The guitarist, without hesitation, throws out another “Paris, move your ass!” and the pit obeys without a second thought. The ultimate moment comes right before the second-to-last song: the singer hands the mic to a fan and then dives straight into the mosh pit himself. He’s in there, shaking things up from the inside, creating an electrifying vibe. For the last song, he’s back in the crowd again, like a final chaotic embrace with the fans. “Paris, move your ass!”  Malignant has definitely set the tone for the rest of the night.

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Ça commence fort avec Malignant, un groupe qui sait comment motiver les foules. Dès les premiers riffs, on entend déjà le fameux “Paris, bougez vous!” et le pit explose. Les Grecs sont clairement venus pour en découdre et ne cessent de remercier le public en français, histoire de renforcer la connexion. Le guitariste, sans hésitation, relance un “Paris, bougez vous!” et la fosse obéit sans attendre. Moment culte quand, avant l’avant-dernier morceau, le chanteur passe le micro à un fan, puis plonge directement dans le moshpit. Il vient secouer le public de l’intérieur, créant une ambiance survoltée. Sur le dernier titre, il finit encore dans la foule, comme pour dire au revoir dans une dernière étreinte chaotique. “Paris, bougez vous!”, et Malignant a vraiment donné le ton pour la suite.

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With Sorcerer, the mantra of the night continues. The singer doesn’t waste a second before shouting “Paris, move your ass!”, reigniting the pit instantly. From the get-go, the crowd is on fire. A few songs in, he invites Hadrien from Glasbone for a quick feature, marking the first crowd surf of the night. Mid-set, the singer from Guilt Trip hops on stage for a few lines, adding even more energy. Between every track, that familiar “Paris, move your ass!” rings out, and the fans don’t hold back. Near the end, he’s passing the mic to fans in the crowd, showing that tonight, Paris is as much a part of the show as the band. “Merci Panam!” he shouts with a grin. Sorcerer has kept the energy at a peak.

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Avec Sorcerer, le mantra de la soirée continue. Le chanteur ne perd pas une seconde pour balancer un “Paris, bougez votre cul !” qui rallume le pit en un instant. Dès le début, le public est chauffé à blanc. Quelques titres plus tard, il invite Hadrien de Glasbone pour un court et rapide feat qui marque le premier slam de la soirée. Le chanteur de Guilt Trip débarque aussi en milieu de set pour quelques secondes au micro, ajoutant encore plus de dynamisme. Entre chaque morceau, on entend ce fameux “Paris, bougez votre cul !”, et les fans ne se font pas prier. Avant la fin, il passe le micro à plusieurs fans dans la foule, montrant qu’ici, Paris fait partie du show autant que les musiciens. “Merci Panam!” qu’il lâche avec un sourire. Sorcerer a su maintenir l’énergie à son maximum.

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Next up is Foreign Hands (the band I’d been waiting for the most), ready to push the crowd even harder. “Come closer!” they shout, and we’re off. Once again, we hear “Paris, move your ass!” and the pit goes wild. The guitarist even splits the room for a wall of death that’ll go down in history. They keep thanking the crowd over and over, thrilled to be playing Paris for the first time. The highlight? The guitarist from Malignant joins Foreign Hands for the end of a song, sharing the mic in an explosive collaboration. Even the more cautious fans can’t help but headbang, broken noses and all. Once again, “Paris, move your ass!” and the crowd follows without hesitation. A successful first time in France for Foreign Hands.

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Les gars de Foreign Hands débarquent ensuite, (le groupe que j’attendais le plus) bien décidés à secouer encore plus le public. “Rapprochez-vous !” et c’est reparti pour un tour. Encore une fois, on entend “Paris, bougez votre cul !” et le pit ne faiblit pas. Le guitariste divise même la salle pour un wall of death qui reste dans les annales. Les remerciements pleuvent, et le groupe, tout heureux de jouer pour la première fois à Paris, donne tout. Moment incroyable quand le guitariste de Malignant rejoint Foreign Hands pour partager le micro sur la fin d’un morceau, créant une alliance explosive. Même les spectateurs les plus prudents finissent par headbanger malgré les nez cassés et autres bobos. Encore une fois, “Paris, bougez vous!” et le public suit sans hésiter. Une première en France réussie pour Foreign Hands.

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Finally, Guilt Trip hits the stage to close out the night in epic fashion. They kick things off with “Fallen At My Feet”, and, you guessed it, “Paris, move your ass!” is right there, fueling every mosh pit, every slam, every wave of volume. The crowd is bouncing all over the place, and the band fires through “Surrounded By Pain”, “Sweet Dreams”, and “Eyes Wide Shut” without giving anyone a chance to breathe. With each new song, the singer yells “Paris, move your ass!”, and the crowd doesn’t slow down for a second. During “Unrelenting Force” and “Separate”, the slams ramp up, circle pits keep coming, and the wall of death during “The Gates” seals the deal. When they hit Guilt Trip, the crowd chants the band’s name in unison, responding to every call like one massive voice. Songs like “Tearing Your Life Away” and “Broken Wings” keep the tension high, until “Thin Ice” turns the pit into a battlefield.

To end things on a high note, they cover “Davidian” by Machine Head, and the final explosion in the pit wraps up this night in pure chaos. “Paris, move your ass!” one last time, and Paris really did give it everything.

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Et puis, Guilt Trip arrive pour clore la soirée en apothéose. Le set commence avec “Fallen At My Feet” et, vous l’aurez deviné, “Paris, bougez vous!”  est là pour rythmer chaque moshpit, chaque slam, chaque explosion de décibels. La foule saute dans tous les sens, et le groupe enchaîne “Surrounded By Pain”, “Sweet Dreams” et “Eyes Wide Shut” sans laisser le public souffler. À chaque nouveau morceau, le chanteur relance un “Paris, bougez votre cul !”, et la foule ne ralentit pas. Sur “Unrelenting Force” et “Separate”, les slams s’intensifient, les circle pits s’enchaînent, et le wall of death sur “The Gates” finit de mettre tout le monde d’accord. Quand ils attaquent Guilt Trip, le public scande le nom du groupe, répondant à chaque appel comme un seul homme. Les titres “Tearing Your Life Away” et “Broken Wings” maintiennent la tension, jusqu’à ce que “Thin Ice” transforme la fosse en un champ de bataille.

Pour finir en beauté, ils reprennent “Davidian” de Machine Head, et l’explosion finale du pit conclut cette soirée en apothéose. “Paris, bougez vous!” pour la dernière fois, et Paris a vraiment tout donné.

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This night at Backstage by the Mill, marked by countless chants of “Paris, move your ass!”, will be remembered. A slogan picked up by the bands and the crowd, a rallying cry that pushed everyone to their limits. Raw moments of connection, pure energy. Paris, you moved, and this night is proof of that.

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Cette soirée au Backstage by the Mill, marquée par des dizaines de “Paris, bougez vous!”, restera gravée dans les mémoires. Un slogan repris par les groupes et le public, un cri de ralliement qui a poussé chacun à donner son maximum. Des moments de partage brut, une énergie pure. Paris, tu as bougé, et cette nuit en est la preuve.