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La Maroquinerie, February 2, 2025

A Night of Pure Mayhem at La Maroquinerie for Paleface Swiss’s First-Ever Headline Tour!
Sold-out show, insane vibes, a pit on fire… Paris showed up, and you could feel it from the very first note.

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La Maroquinerie, 2 février 2025

Soirée de pure folie à La Maroquinerie pour la première tournée en tête d’affiche de Paleface Swiss ! Sold out, ambiance de dingue, une fosse survoltée… Paris a répondu présent, et ça s’est ressenti dès la première note.

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Desolated: Immediate Chaos

The moment Desolated hits the stage, the pit erupts. No time to breathe, mosh action kicks off instantly. It’s violent, it’s raw, it’s straight-up brutal! Three dudes attempt some sketchy stage dives, fail miserably, but hey, it just adds to the wild energy of the sonic storm crashing down on us.

Frontman Paul Williams rocks a Type O Negative shirt, bassist Dan Ford reps Terror, the influences are loud and clear. They play dirty, they play heavy, and the crowd feeds off it. “We got new records!” the frontman shouts before launching into Bite Down, a track that absolutely wrecks the survivors of the pit with an iconic blegh and a breakdown that could level a city block. He even introduces his bandmates before throwing in a “thank you” in French at the end.

The energy never drops, and he keeps handing the mic to the crowd, who scream the lyrics like their lives depend on it. At one point, he bursts out laughing: “I don’t even need to tell you to open up the pit or push back, y’all just did it from the jump!” The heat is real. Stage dive attempts keep coming, most of them failing, but the frontman is hyped: “Hell yeah, baby!” They close with The End, followed by absolute carnage on Death By My Side.

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Desolated : chaos immédiat

Dès que Desolated monte sur scène, la fosse explose. Pas le temps de respirer, ça mosh instantanément, c’est violent, c’est brut, ça tabasse ! Trois excités tentent des slams foireux, se ratent misérablement, mais ça rajoute une bonne dose de fun à la tornade sonore qui s’abat sur nous.

Le chanteur, Paul Williams, arbore un t-shirt Type O Negative, le bassiste, Dan Ford, un t-shirt Terror, les influences sont posées. Ça joue sale, ça tabasse fort, et y’a une belle interaction avec le public. “On a des new records !” balance le frontman avant d’envoyer “Bite Down”, qui marque particulièrement avec un blegh d’anthologie et un break qui vient finir les survivants du pit. Il prend même le temps de présenter ses musiciens avant de lâcher un “merci” en français à la fin du titre.

L’énergie ne retombe jamais, et il tend régulièrement le micro au public, qui se fait un plaisir de hurler les paroles comme si leur vie en dépendait. À un moment, il éclate de rire : “Je ne peux même pas vous dire d’ouvrir la fosse ou de pushing back, vous l’avez fait direct dès le début !” On est chauds, et ça se voit. Les tentatives de stage dives continuent, la moitié échoue mais le chanteur est euphorique : “Hell yeah baby!”. Ça termine sur “The End”, suivi d’un dernier carnage avec “Death By My Side”, et on enchaîne.

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The Acacia Strain: Controlled Violence

The second The Acacia Strain walks in, it’s instant chaos. The pit reacts in seconds, first stage dives go down, some completely flop, but the vocalist demands more. No mercy.

The sound is heavy, but the vocals feel a bit low in the mix, and it seems like the sound engineer doesn’t notice. A shame, because that voice deserves to be front and center. The Hills Have Eyes hits like a detonation, leaving zero survivors. Dr. Doom comes in swinging, bringing sheer brutality. “Thank you very much for coming here! All we want is for you to have a good time, to leave with a smile on your face.” Vincent Bennett, as always, grins as he connects with the crowd. At one point, he even jams on the drummer’s cymbals like he’s part of the kit.

Before Untended Graves, guitarist Devin Shidaker, takes a moment to hand a pick to a front-row fan. The stage dives are getting more chaotic, and one guy jumps up out of nowhere, straight-up knocking over the singer’s mic!

The vocalist takes a moment to remind everyone about pit etiquette, emphasizing that this is all about having fun together. The speech gets loud applause, and he even passes the mic to a dude in the crowd who goes full beast mode screaming the lyrics on stage. But the real surprise? Vincent (NDKH 93) jumps in too, grabbing the mic and absolutely tearing it up, sending the crowd into a frenzy. A real moment of unity between the stage and the fans, everyone’s part of the experience.

They close with Carbomb, leaving the entire venue exhausted but grinning from ear to ear.

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The Acacia Strain : violence maîtrisée

Quand The Acacia Strain débarque, c’est direct le carnage. Le pit répond au quart de tour, les premiers slams partent, certains foirent lamentablement, mais le chanteur réclame encore plus de stage dives. Pas de pitié.

Le son est lourd, mais la voix semble un peu faible et l’ingénieur son ne semble pas s’en apercevoir, ce qui est dommage parce que cette voix-là mérite d’être mise en avant. “The Hills Have Eyes” met tout le monde d’accord et résonne comme une détonation dans la salle. “Dr. Doom” enfonce le clou avec une brutalité assumée. “Thank you very much for coming here! Tout ce qu’on veut, c’est que vous passiez un bon moment, que vous ayez le sourire sur le visage.” Le frontman, Vincent Bennett, toujours avec un grand sourire, prend le temps de s’adresser au public. À un moment, il tape même sur les cymbales avec le batteur, comme s’il faisait partie du kit.

Avant “Untended Graves”, le guitariste, Devin Shidaker, s’offre un moment de générosité et tend un médiator à une fan du premier rang. Les stage dives deviennent de plus en plus absurdes, et un mec monte sans prévenir, renversant carrément le micro du chanteur !

Le chanteur prend une pause pour rappeler les règles de bienveillance, insistant sur le fait que le plus important est de kiffer ensemble. Le discours est chaleureusement applaudi, et il passe même le micro à un gars du public qui finit sur scène pour gueuler les paroles avec une énergie monstrueuse. Mais la vraie surprise, c’est quand Vincent (NDKH 93) est monté à son tour et a pris le micro pour pousser une gueulante, sous les acclamations du public. Un pur moment de communion entre la scène et les fans, où tout le monde participe à l’expérience live.

Le set se termine en apothéose avec “Carbomb”, laissant tout le monde exténué mais euphorique.

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Paleface Swiss: A Headline Tour to Remember

Even before Paleface Swiss steps on stage, the crowd is already roaring. The tension is electric, and when Un Pobre Niño Murió and Hatred drop, it’s game over. Chaos unleashed.

“Fuck you, Paris!” Marc “Zelli” Zellweger yells before kicking off the Hatred Jump, setting off a pitquake.

The war continues with Suppressing Times, where Zelli uses a mic stand, and the energy is so intense even the band applauds at the end. “Paris, ça va??” he asks in French, reminding everyone that this is their first headline tour, and it’s sold out. “I won’t talk too much, but… ARE YOU READY TO LOSE YOUR MINDS?!” The response is deafening.

During Youth Decay, a massive circle pit forms, and by …And With Hope, it’s complete carnage. Zelli doesn’t just dominate the stage, he straight-up shoves a dude mid-slam to help him get airborne.

With Nail to the Tooth, the show turns into a full-on communion. “We’re singing this one together!” Zelli shouts, and sure enough, it becomes a duet between the band and the entire venue.

When The Gallow kicks in, madness erupts. Zelli and drummer Cassi share a mid-set kiss before dropping a powerful message on homophobia: “If this bothers you, you’re not welcome here!” A massive statement right before Enough?, played with mind-blowing intensity.

The show rolls on with a guitar solo from Yannick Lehmann, followed by Don’t You Ever Stop and a surreal moment with River of Sorrows. The entire room lights up with phone screens, singing together in a rare moment of calm before the final storm.

Before Please End Me, Zelli takes a moment to speak to the crowd. The final stretch: 666, Pain, and Love Burns, hits like a wrecking ball.

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Paleface Swiss : une première headline tour mémorable

Avant même que Paleface Swiss monte sur scène, le public hurle déjà. Dès l’intro, la tension est palpable, et quand “Un Pobre Nino Murio” puis “Hatred” démarrent, c’est fini, c’est le chaos total. “Fuck you, Paris!” hurle Marc “Zelli” Zellweger avant de balancer un “Hatred jump” qui déclenche un séisme dans la fosse.

Avec “Suppressing Times”, la guerre continue. Zelli utilise un pied de micro sur ce titre, et le public est tellement intense que le groupe lui-même applaudit à la fin du morceau. “Paris, ça va??” lance le frontman en français. Il rappelle que c’est leur première tournée en headline et que c’est sold out. “Je vais pas parler trop, mais… est-ce que vous êtes prêts à perdre l’esprit??” La réponse est unanime.

Sur “Youth Decay”, un circle pit gigantesque se forme, et avec “…And With Hope”, c’est un carnage absolu. Zelli ne se contente pas d’être un monstre de scène, il jette carrément un gars qui était monté pour un slam, histoire de bien l’aider à faire son vol plané.

Avec “Nail to the Tooth”, le show devient une communion totale. “On va la chanter ensemble celle-là!” lance Zelli, et effectivement, c’est un duo entre le groupe et le public.

Quand “The Gallow” démarre, c’est la folie. Zelli et le batteur, Cassi se font un kiss en plein set avant de lâcher un message fort sur l’homophobie : “Si ça vous dérange, vous n’êtes pas les bienvenus ici!” Un moment puissant, qui précède “Enough?”, joué avec une intensité démentielle.

Le set se poursuit avec un solo de guitare offert par Yannick Lehmann, puis  “Don’t You Ever Stop”, et un moment suspendu sur “River of Sorrows”. Toute la salle allume ses téléphones, et tout le monde chante à l’unisson, un instant de calme avant la prochaine tempête.

Avant “Please End Me”, Zelli prend le temps d’adresser un message au public. Le final avec “666”, “Pain”, et “Love Burns” est une déflagration.

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This wasn’t just a show. It was a celebration of chaos, energy, and unity. Paris just got wrecked, and one thing’s for sure: next time, they’ll be back in an even bigger venue, with an even crazier crowd.

And honestly? We’re already ready.

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Ce concert, ce n’était pas juste un show. C’était une célébration du chaos, de l’énergie et de l’unité. Paris a pris une claque monumentale, et une chose est sûre : la prochaine fois qu’ils reviendront, ce sera dans une salle encore plus grande, avec une ambiance encore plus folle.

Et honnêtement ? On est déjà prêts.