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This Wednesday night, Paris had a date with two British hurricanes: HotWax opening the night, and Nova Twins headlining. The Alhambra was packed to the rafters, bodies pressed tight, the air buzzing with electricity. A night ruled by women in alt-rock, fueled by rage, sweat, and pure fun, and damn, it felt good.

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Ce mercredi soir, Paris avait rendez-vous avec deux tornades anglaises : HotWax en première partie, Nova Twins en headliner. L’Alhambra affichait complet, les corps serrés, la tension électrique. Une soirée sous le signe du rock alternatif au féminin, de la rage, de la sueur et du fun,  et franchement, ça faisait un bien fou.

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HotWax – Grit, Fury, and Gritted Teeth

Barely had the lights dimmed when the three members of HotWax strolled onstage, cool as ever, but the second they kicked into “Hard Goodbye”, it was clear: these women were about to tear the place apart.

No downtime, they dove straight into “Rip It Out” and “Tell Me Everything’s Alright”. Dirty riffs, a rumbling bass, raw energy, it felt primal, instinctive, almost garage-level chaos.

When “Change My Name” hit, the singer proudly announced it was a brand-new track. Faster tempo, razor-sharp delivery, and the crowd was instantly hooked. Then came “Chip My Teeth for You”, introduced with a big grin: “Another one about love”. It hit hard, a gut-punch of a song carried by a bassline that grabs you by the stomach.

Their closer, “She’s Got a Problem”, sounded like a fierce goodbye, guitars unleashed, vocals spitting fire, the grunge spirit hovering thick in the air.

The crowd wasn’t ready to let go, so the band came back for a quick, wild encore, almost tribal, like a pack of modern-day maenads ready to devour everything in their path.

In just half an hour, HotWax won everyone over, pure sincerity and raw power. These girls are hungry, fearless, and ready to own every stage they set foot on.

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HotWax – Grunge, fougue et dents serrées

À peine les lumières tamisées que les trois membres de HotWax débarquent, l’air de rien, mais dès les premiers accords de “Hard Goodbye”, c’est clair : ces femmes vont retourner la salle.

Pas de temps mort, elles enchaînent direct sur “Rip It Out” puis “Tell Me Everything’s Alright”, les riffs crades et la basse qui gronde, le ton est donné, on est dans un truc brut, instinctif, presque garage.

Quand arrive “Change My Name”, la chanteuse annonce fièrement que c’est une nouvelle chanson. Le tempo est plus rapide, super efficace, et le public répond direct. Puis vient “Chip My Teeth for You”, qu’elle introduit avec un grand sourire : « Another one about love », et effectivement, le morceau est une vraie claque, mené par une ligne de basse qui te prend aux tripes.

Leur dernier titre, “She’s Got a Problem”, sonne comme un adieu grinçant. Les guitares se déchaînent, la voix crache du feu, et on sent l’influence grunge planer fort.

Le public en redemande tellement qu’elles reviennent pour un petit rappel improvisé, dans une énergie quasi tribale, des ménades, vraiment, prêtes à tout dévorer.

En une trentaine de minutes, HotWax aura conquis tout le monde : une claque de sincérité et d’énergie brute. Ces filles sont prêtes à bouffer la scène, et on n’a pas fini d’en entendre parler.

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Nova Twins – Power, Charisma, and Sisterhood

From the moment they step on stage, it’s an uppercut to the senses, pure presence, magnetic charisma, and an energy that electrifies the room in a heartbeat. With “Black Roses”, the crowd instantly erupts. Amy and Georgia, perfectly in sync, exchange glances instead of words, their chemistry is contagious.

By the time “Cleopatra” hits, the place goes wild. Mosh pits spark, bodies jump, screams echo all the way up to the balcony. The duo beams at the crowd, glowing. “This one’s for the women!” Amy shouts before diving into “Soprano”, a standout moment of pure sisterhood, fists in the air, smiles all around.

“Parallel Universe” is something else entirely, Amy grabs a vintage ‘60s mic, lets out a feral scream, and the whole venue loses its mind.

Their onstage connection is a joy to watch, they laugh, riff off each other, improvise little rhythmic twists, and the crowd feeds off every bit of it. The Alhambra is on fire, literally and figuratively.

The rhythm section is monstrous: on “Drip”, the drummer anchors the chaos like a rock, giving the two frontwomen all the freedom to unleash their madness. The bouncing outro has the whole room moving.

Then comes “Choose Your Fighter”, absolute mayhem. The girls are everywhere, the bassist sprinting across the stage, even jumping into the crowd. Circle pits, screams, total release.

“Hummingbird” slows things down for a moment, a breathtaking vocal performance, the whole room holding its breath. Pure magic. But there’s no coming down, encore hits right away.

“Antagonist” reignites the pit, followed by “Monsters” and finally “Glory”. Drums thunder, the floor shakes, and the entire crowd is shouting, dancing, losing it completely.

Chaos in the pit, trance on stage, Nova Twins didn’t just play the Alhambra. They electrified it.

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Nova Twins – Puissance, charisme et sororité

Dès leur arrivée, c’est un uppercut. Une présence incroyable, un charisme qui pète tout, une intensité qui t’électrise instantanément. Dès “Black Roses”, la salle entre en fusion. Amy et Georgia, toujours complices, communiquent sans un mot, leur énergie est contagieuse.

Sur “Cleopatra”, l’ambiance explose. Les pogos démarrent, les sauts s’enchaînent, les cris montent jusqu’au balcon. Le duo remercie le public, rayonnant. “Cette chanson est pour les femmes !” lance Amy avant “Soprano”, moment fort, sororité pure, les poings levés et les sourires complices.

“Parallel Universe” est un ovni : Amy sort un micro vintage des années 60, lâche un cri de dingue, et la salle devient hystérique.

Leur complicité sur scène est un bonheur à voir : elles rient, se lancent des regards, improvisent des délires rythmiques… et ça se ressent dans la fosse. L’Alhambra est en feu, littéralement.

La section rythmique est monstrueuse : sur “Drip”, le batteur assure comme un roc, soutenant les deux musiciennes sans jamais écraser leur folie. L’outro “bounce” fait danser toute la salle.

Puis “Choose Your Fighter” débarque, et c’est le chaos : les filles sautent partout, la bassiste court d’un bout à l’autre de la scène, crowd surf inclus ! Circle pit, hurlements, et une énergie folle.

“Hummingbird” calme un peu le jeu, moment suspendu, performance vocale magnifique. Toute la salle retient son souffle, pure magie.

Mais pas le temps de redescendre : rappel immédiat.

“Antagonist” relance le feu, le pit s’ouvre à nouveau. Puis “Monsters” et enfin “Glory” pour conclure, les fûts résonnent, la salle tremble, tout le monde chante, danse, se lâche complètement.

C’est la bagarre dans le pit, la transe sur scène. Les Nova Twins ont littéralement électrisé l’Alhambra.

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On October 8th at the Alhambra, HotWax proved they’re the most exciting new force in UK rock, while Nova Twins confirmed they’re now playing in the big leagues, with the charisma, honesty, and fire of a true live band.

Mosh pits, screams, love, and chaos, the kind of gig you dream about.

And honestly? We’re still not ready to come down.

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Ce 8 octobre à l’Alhambra, HotWax a prouvé qu’elles sont la relève la plus excitante du rock UK, tandis que Nova Twins ont confirmé qu’elles jouent désormais dans la cour des grandes, avec le charisme, la sincérité et la rage qu’on attend d’un vrai groupe de scène.

Des pogos, des cris, du love, du chaos : bref, un concert comme on en rêve.

Et honnêtement ? On n’a pas envie de redescendre.