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On Saturday, July 5th, 2025, American punks FIDLAR were back on stage, with Marseille’s own La Flemme opening the night. It was an evening of mosh pits, stage dives, and full-on rebellion in a nearly packed-out Trabendo in Paris.

The night kicked off with French garage-punk band La Flemme. Made up of Ronnie, Stella, Charles, and Jules, their name might scream laziness, but their stage energy was anything but. Their wild, no-holds-barred style, pulling from a wide range of influences like Fontaines D.C., The Strokes, and IDLES, got the Trabendo crowd fired up and ready for FIDLAR’s chaotic takeover.

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Le samedi 5 juillet 2025, nous avons retrouvé sur scène les punk américains Fidlar avec en première partie les punks marseillais du groupe La Flemme. Une soirée portée sur les pogos, slams et rébellion dans un Trabendo parisien presque rempli !

La soirée s’ouvre avec le groupe de garage/punk francophone La Flemme. Composés de Ronnie, Stella, Charles et Jules, leur nom est à l’opposé de leur énergie scénique. Un style déchaîné avec une musique et des influences musicales variées (Fontaines D.C, The Strokes, IDLES, etc.), ils ont réussi à échauffer le public du Trabendo pour les punk de Fidlar avec beauté.

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Barely ten minutes before hitting the stage, FIDLAR were still doing their soundcheck, total punk move, all DIY and no fucks given. While some in the crowd were more focused on grabbing a beer, the band took a moment to let everyone know they were more than welcome to jump on stage, and reminded us all that this space was, above all, a safe one. A far cry from their early days back in 2009, when chaos erupted the second they stepped on stage, this time the set kicked off on a surprisingly mellow note, at least by punk standards. It was almost as if every artsy Parisian who thought they were edgy got the memo for their first ever punk show. They opened with “Fix Me,” the first track off their latest album SURVIVING THE DREAM (released this past March), then rolled straight into “Cheap Beer” and “Stoked and Broke.” But the crowd stayed pretty tame… until FIDLAR busted out a Blink-182 cover. That’s when things finally popped off. From there, it felt like a real exchange, energy started flowing between the band and the audience, the connection glowing like the string lights wrapped around the stage. People were yelling lyrics at the top of their lungs. FIDLAR kept the momentum going with their track On Drugs.

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C’est à peine dix minutes avant de monter sur scène que Fidlar font leur balance, moove plutôt punk et à l’arrache. Le groupe en profite pour glisser au public présent dans la salle (pendant que d’autres ne pensent qu’à prendre une bière), qu’ils étaient bien évidemment les bienvenus à monter sur scène et que cette salle est une “safe place” avant tout. Bien loin des concerts du début de leur carrière (2009) où l’ambiance commençait dès leur arrivée sur scène sur les chapeaux de roue, ici c’était un début plutôt timide pour un concert de punk digne de Fidlar. Comme si tous les petits bobos parisiens qui se prennent pour des filous fifous c’étaient passer le mot pour leur premier concert de punk. Même si leur arrivée c’est fait sur “Fix me”, extrait -et premier titre- de leur dernier album “SURVIVING THE DREAM” sorti en mars dernier, qu’ils ont enchaîné avec “Cheap beer” et ” Stoked and Broke”, le public était plutôt soft. L’ambiance décolle vraiment lorsque les américains nous font une reprise des grands Blink 182. Le public devient vraiment bouillant. Le partage commence réellement à ce moment-là. La connexion et le lien se tisse entre le public et le groupe se fait et rappelle les guirlandes lumineuses qui entourent et décorent la scène. Le public chante à tue-tête. Le groupe enchaîne avec leur titre “On Drugs”.

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Frontman (and rhythm guitarist) Zac Carper, rocking socks and slides, of course, didn’t forget to remind the crowd to “stay safe.” By then, the vibe was fully locked in, driven by FIDLAR’s signature no-bullshit punk energy. You could feel it pulsing through the near-sold-out Trabendo. The pit was wild, kids moshing, crowd-surfing, dancing on stage. Every track cranked the energy higher. It felt like a continuation of the punk chaos you’d find at a Scowl or Turnstile show. Bassist Brandon Schwartzel had “don’t fear the weird” duct-taped to his instrument, while Zac rocked a black guitar decked out in spiderwebs, pure emo vibes.

It was hot. The crowd was buzzing. FIDLAR were clearly feeling it too. The connection between band and audience was real. Beers flew across the room. At one point, Zac called for the crowd to clear a space in the pit, for the women only, just like Frank Carter & The Rattlesnakes have done. He even shouted: “If you see a dude, fuck him!” and the place went off. The band tore through Sober, Centipede, and I Just Wanna Die, before closing out the main set with Punks and Cocaine, a chaotic combo that saw someone in the pit proudly waving a vinyl in the air like it was indestructible. Right before the encore, the anti-fascist anthem echoed through the Trabendo like a battle cry.

FIDLAR came back on with Chinese Weed, launching straight into Wake Bake Skate off their 2013 self-titled album. At that point, the crowd completely lost it, people jumping on stage, dancing with the band, screaming every word. The final track turned into a full-blown mess, in the best way possible. The kind of ending only a true punk show can deliver.

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Le chanteur (et guitariste rythmique) Zac Carper, tout en étant en claquettes/chaussettes n’oublie pas de rappeler au public de “stay safe” (prendre soin d’eux). L’ambiance est bel et bien lancée, rythmée par le son bien punk de Fidlar qui fait plaisir. Cela se ressent dans toute la salle du Trabendo quasiment remplie. Une grosse partie de la fosse fait des pogos et s’agite au rythme des guitares et de la batterie. Les gens montent sur scène, sautent faire des slams, dansent sur scène. Chaque son ajoute une nouvelle touche à l’ambiance du concert. L’ambiance punk est dans la continuité et un rappel aux concerts de Scowl ou encore Turnstile. Le bassiste, Brandon Schwartzel, aura écrit au gaffeur sur son instrument “don’t fear the weird” (ne craint pas l’étrange) tandis que Zac (chanteur) aura une guitare noire avec des toiles d’araignées, so emo.

Il fait chaud, le public est heureux, Fidlar également, l’échange entre les deux est remarquable. Les bières volent partout dans la salle. Zac exige que le public fasse de la place dans la fosse afin de faire un moshpit juste pour les femmes (tout comme Frank Carter & The Rattlesnakes ont pu le faire lors de leur concerts). Zac glisse même cette phrase : “If you see a dude, fuck him!” (Si tu veux un mec, emmerde-le !). Les sons s’enchaînent, Sober, Centipede, I just wanna die, pour enfin finir (avant le rappel) sur Punks et Cocaine. Un enchaînement de titres assez cocasses pendant que quelqu’un brandit son vinyle en l’air dans la fosse sans avoir aucune crainte de le casser. C’est entre le dernier morceau (Cocaine) avant le rappel que l’on entendra aussi l’hymne anti fasciste raisonner dans la salle du Trabendo. Fidlar remonteront sur scène avec “Chinese Weed” pour enchaîner avec leur son “Wake Bake Skate”, extrait de leur album éponyme de 2013. Le public déchaîné fini par être encore plus fou. Une partie monte sur scène danser avec le groupe. Le dernier son est un gros bordel avant la fin du concert. Une fin digne d’un concert punk tel qu’on l’entends.

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Both La Flemme and FIDLAR absolutely tore up the Trabendo with a blast of punk, grunge, and garage noise. It was a wild night, soaked in beer, sweat, mosh pits, and stage dives. In short: a damn good show.

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Les groupes La Flemme et Fidlar auront réussi à retourner le Trabendo sous des sons punks, et grunges, garages. Une soirée wild, remplie de bières renversée, de transpiration, de pogos et de slams. Une soirée réussie donc.