EN
A High-Voltage Show

Some concerts are just another stop on the tour, and then there are those that turn into defining moments. Django’s Paris show was definitely the latter. Initially scheduled for February 6, 2025, at La Gaîté Lyrique, the gig had to be moved last-minute to La Machine du Moulin Rouge on February 10. The reason? A sudden temporary closure of La Gaîté Lyrique due to unforeseen circumstances, making it impossible to host the audience. But if anyone thought this would kill the vibe, they were dead wrong. The venue was packed to the brim, and the energy was off the charts.

From the moment the doors opened, the atmosphere was electric. The crowd came in full force, ready for mayhem, and the pit was already tight, setting the stage for an absolutely wild night. The reschedule only amped up the anticipation, everyone in that room knew they were about to experience something unforgettable.

FR
Un concert sous haute tension

Il y a des concerts qui s’annoncent comme de simples dates dans une tournée, et d’autres qui deviennent des événements marquants. Celui de Django à Paris en fait partie. Initialement prévu le 6 février 2025 à La Gaîté Lyrique, le show a dû être déplacé en urgence à La Machine du Moulin Rouge, le 10 février. En cause ? La fermeture temporaire de la Gaîté Lyrique, prise dans une situation complexe et incertaine, empêchant l’accueil du public. Malgré ce changement de dernière minute, aucun signe de démotivation chez les fans. Bien au contraire : la salle affichait complet, et l’ambiance promettait d’être explosive.

Dès l’ouverture des portes, l’atmosphère était électrique. Le public, venu en masse, était prêt à en découdre, et la fosse déjà compacte laissait présager une soirée bouillante. Le report du concert n’a fait que renforcer l’impatience et l’énergie des spectateurs. On sentait que tout le monde était venu pour vivre un moment unique.

EN
Empty7: A Firestarter Opener

The lights go out. A DJ, dressed in all white, steps behind the decks and starts cranking up the heat. Moments later, Empty7 storms onto the stage, masked up, ready to set Paris on fire. As soon as 4MATIC drops, the bass hits like a freight train, the pit erupts, and the temperature skyrockets.

“Paris, y’all ready or what???” he shouts, and the crowd answers without missing a beat. The energy is raw, the audience fully locked in.

On Woe, Empty7 takes a moment to get personal:

“The last time I performed this track was at La Boule Noire, and I wasn’t even sure I’d ever get back on stage…”

A heavy moment, met with a massive ovation.

Then he jumps into Nike Complet, and the crowd spits every line back at him. For SOS, he pauses to hype up the lighting crew and asks the crowd to make some noise for the tech team. Every track hits hard, and by the time he wraps up his set, reminding everyone that this is Django’s last show on tour, the room is already in a frenzy. Short but lethal, Empty7 set the place ablaze.

FR
Empty7 : une ouverture de feu

Les lumières s’éteignent, un DJ tout en blanc s’installe derrière les platines et commence à chauffer la salle. Quelques instants plus tard, Empty7 débarque sur scène, encagoulé, prêt à retourner Paris. Dès “4MATIC”, les basses cognent fort, la fosse s’embrase, et la température monte instantanément.

“Paris ça va où quoi ???” hurle-t-il, et la foule répond au quart de tour. L’énergie est brutale, le public ultra réceptif. Sur “Woe”, Empty7 lâche une confession touchante :

“La dernière fois que j’ai joué ce son, c’était à la Boule Noire et j’étais pas sûr de remonter sur scène…”

Un moment intense, suivi d’une ovation massive.

Il continue avec “Nike Complet”, le public enchaîne chaque ligne avec lui. Sur “SOS”, il fait une pause pour souligner la beauté du jeu de lumières et demande au public de faire un maximum de bruit pour l’équipe technique. Chaque titre frappe fort, et quand il conclut en rappelant que c’est la dernière date de Django, la salle explose en cris et applaudissements. Un set court mais ultra-efficace, qui a parfaitement préparé le terrain.

EN
Django Takes the Stage: Paris Loses It

Minutes later, the crowd is already chanting his name. Django walks out and kicks off with Genèse. That track is special to me, it’s how I first discovered him (yeah, I was late to the party), and seeing the whole venue lose it was surreal.

“Y’all hyped or what?! This is crazy!” he shouts before launching straight into Rage and Némésis. La Machine is shaking, bodies flying everywhere, and Django feeds off that energy.

“What a fucking city! PARISSSSS!!!” he screams, and the crowd responds tenfold. The energy is insane, every track is a collective explosion, and the stage looks tiny compared to the tidal wave of passion coming from the fans.

For La Haine Prend Deux Chaises, Django takes a seat on a stool, dialing it down for a more intimate moment, but the intensity doesn’t fade. The setlist is perfectly balanced, bouncing between sonic destruction and emotional deep dives. Then, when Pyramide starts, Osirus Jack jumps in for a surprise feature, and the place goes nuclear.

When Olso kicks in, Ando steps up with his acoustic guitar. The lights dim, phones light up, and the whole venue is locked into a moment of pure magic. Django forms a heart with his hands, and the crowd instantly mirrors it. Goosebumps.

Then, it’s right back into the chaos with Un Monde and T’appelles ça vivre.

“Y’all still with me???” Django yells. Paris roars back, and the madness continues.

FR
Django entre en scène : Paris en transe

Quelques minutes plus tard, le public scande déjà son nom. Django fait son entrée et ouvre son set avec “Genèse”. Pour moi, c’est un morceau particulier, celui qui m’a fait découvrir l’artiste (ouais, j’étais clairement en retard), et voir la salle entière en feu dessus, c’était une dinguerie.

“Ça va vous êtes chauds ? Ça fait plaisir !” balance-t-il, avant d’enchaîner avec “Rage” et “Némésis”. La Machine tremble, ça jump dans tous les sens, et Django le sent.

“Quelle putain de ville !!! PANAMMMM !!!” hurle-t-il, et les cris redoublent d’intensité. L’énergie est indescriptible, chaque titre est repris en chœur, et la scène semble minuscule face à la déferlante de passion du public.

Sur “La Haine Prend Deux Chaises”, Django s’installe sur un tabouret, moment plus posé mais tout aussi fort. La setlist est parfaitement équilibrée entre violence sonore et instants suspendus. “Pyramide” voit Osirus Jack débarquer en featuring, et l’alchimie entre les deux rappeurs met la salle en fusion.

Quand “Olso” démarre, Ando arrive avec sa guitare acoustique. Lumières tamisées, téléphones allumés, une pause émotionnelle qui contraste avec le chaos des morceaux précédents. Django fait un cœur avec les mains, et la salle lui renvoie immédiatement le geste. Un moment de pure magie.

Puis, “Un Monde” et “T’appelles ça vivre” relancent la machine.

“Vous êtes encore là ???” hurle Django. Paris répond OUIIIIIIIIIII et c’est reparti pour un tour.

EN
An Explosive Finale with Empty7

As the show nears its end, Empty7 returns for a feature on Pour Nous. The chemistry between the two is undeniable, and somehow, the energy levels climb even higher.

Django isn’t ready to let him go just yet.
“Hold up, you’re not leaving, I still need you.”

Empty sits at the keyboard, and Django grabs the mic stand for Sur Un Fil, a soul-stirring moment where the emotion is at its peak.

Then, Ce Qu’on A Été, performed with just piano, pulls the entire venue into a trance. But Django wasn’t about to end on a quiet note. The final stretch is absolute carnage: Slasher, Paradis, Film, each track hits like a wrecking ball, and the crowd is giving everything they have left.

And then, just when we thought it was over, Django runs it back, Fury drops again. Complete chaos. Nobody’s feet are touching the ground anymore, the pit is pure survival mode, voices are gone, bodies are flying, it’s absolute mayhem. And Django? He’s fueling the fire, pushing the energy to the breaking point.

For the grand finale, he drops Fichu, and it turns into a full-on party on stage. Empty7 is back, along with a crew of friends, and the crowd refuses to let the night end.

“Paris, y’all are insane! What a fucking city!!”

Before leaving, Django snaps a pic with the crowd, one last memento of a night that defied expectations. As the lights slowly come up, everyone in the room realizes they just witnessed something legendary.

FR
Le final en apothéose avec Empty7

Alors que le concert approche de la fin, Empty7 revient sur scène pour un feat sur “Pour Nous”. La complicité entre les deux artistes est palpable, et l’ambiance grimpe encore d’un cran. Django retient Empty7 :

“Tu pars pas, j’ai encore besoin de toi.”

Empty s’installe alors au clavier et Django prend le pied de micro pour “Sur Un Fil”, un moment suspendu où l’émotion atteint son paroxysme.

Puis, “Ce Qu’on A Été”, joué au piano, plonge la salle dans une bulle d’émotion pure. Mais Django ne pouvait pas partir sans un dernier chaos organisé. La fin du show est une avalanche de bangers : “Slasher”, “Paradis”, “Film”… Chaque morceau déclenche un tsunami dans la fosse, et tout le monde donne les dernières gouttes d’énergie qu’il lui reste.

Et là, surprise : alors qu’on pensait que c’était terminé, Django relance “Fury” une deuxième fois. Le gros zbeul. Plus personne ne touche le sol, la fosse est en mode survie, tout le monde hurle les paroles et se jette dans les pogos. L’ambiance passe de brûlante à incandescente, et Django alimente le feu avec son énergie déchaînée.

Pour clôturer, il balance “Fichu”, et sur scène, c’est la fête. Empty7 est là, plein de beau monde l’accompagne, et la foule ne veut pas que ça s’arrête.

“Paris, vous êtes des malades ! Quelle putain de ville !!”

Avant de quitter la scène, Django immortalise le moment avec une photo du public. Les lumières se rallument doucement, et chacun réalise que ce qu’on vient de vivre était hors-norme.

EN
A Historic Night

What could have been a simple rescheduled concert turned into an all-time great show. Django and Empty7 delivered a masterclass, and the Parisian crowd gave back every ounce of energy. This wasn’t just a gig, it was a celebration, a moment of pure connection between an artist and his audience.

That night, Paris cemented itself in the history books of rap.

FR
Un concert historique

Ce qui aurait pu être un simple report de concert s’est transformé en une soirée légendaire. Django et Empty7 ont livré une performance magistrale, et le public parisien leur a offert une énergie inégalable. Ce n’était pas qu’un concert, c’était une célébration, un moment de communion totale entre un artiste et son public.

Paris, ce soir-là, a écrit une nouvelle page dans l’histoire du rap.