24 Hours Without Music: A Descent Into Madness EN / FR

EN
I Went a Whole Day Without Music… And It Was Pure Fucking Torture
I knew this was gonna be tough. But I didn’t think it would be this bad. A full day without music. No riffs, no breakdowns, not a single scream to let the pressure out. Just… silence.
First thing in the morning, it already felt off. Normally, I wake up to something that sets the tone, some brutal Chelsea Grin, an emotional Bring Me The Horizon, or even a bit of Loathe to drift into the day before dealing with reality. But today? Nothing. Just the noise of the world.
And that’s when it hit me: silence is fucking anxiety in disguise.
FR
J’ai testé le silence total pendant une journée… et c’était une putain de torture
Je savais que ça allait être dur. Mais je ne pensais pas que ça serait à ce point. Une journée entière sans musique. Pas un riff, pas un breakdown, pas un seul scream pour évacuer la pression. Juste du silence.
Dès le matin, c’était déjà une galère. D’habitude, je me lève avec un bon son qui me met dans l’ambiance : un Chelsea Grin bien brutal, un Bring Me The Horizon bien chargé en émotions, ou même un petit Loathe pour planer un peu avant d’affronter la journée. Mais là… rien. Juste le bruit du monde.
Et c’est là que je me suis rendu compte d’un truc : le silence, c’est une putain d’angoisse.
EN
The Sound of Nothingness
The first few hours were already weighing on me. Every tiny sound became unbearably loud, the ticking of the clock, the hum of the fridge, the wind outside. Sounds I never even noticed before because music was always there to drown them out.
But this time, the void was undeniable. And the longer the day went on, the heavier it felt. No escape, no way to lose myself in a song, no lyrics to put my feelings into words. I could feel the tension creeping in, something raw and unsettling.
And then… my stomach started screaming.
FR
Le bruit du vide
Les premières heures étaient déjà lourdes. Chaque petit son prenait une importance démesurée : le tic-tac de l’horloge, le vrombissement du frigo, le vent dehors. Des bruits qu’on n’entend jamais parce que la musique est toujours là pour couvrir ce vide.
Mais ce vide, lui, il s’impose. Et plus la journée avançait, plus il pesait. Pas moyen de m’échapper, pas moyen de m’immerger dans un morceau, de m’accrocher à des paroles qui font écho à ce que je ressens. J’ai commencé à sentir une tension monter, un truc viscéral.
Et puis… mon estomac a commencé à parler.

24 Hours Without Music: A Descent Into Madness
EN
When Your Body Says “Fuck This”
I already deal with ulcers, but this? This was war. Stress, anxiety, the absence of that release that music gives me, it all hit at once. My stomach twisted like I’d swallowed broken glass. Hour after hour, my body kept reminding me: yeah, I need music like I need oxygen.
Usually, a crushing breakdown or a deep, guttural growl helps me purge all that pressure. But today, everything stayed bottled up. No blast beats to sync my heart to, no filthy bassline to pull me into a mood. Just me, my overthinking brain, and the suffocating silence.
FR
Le corps qui dit stop
J’ai déjà des problèmes d’ulcères, mais là… c’était la guerre. Le stress, l’angoisse, l’absence de cette soupape qu’est la musique… Mon ventre s’est tordu comme si j’avais bouffé du verre pilé. Chaque heure passait et mon corps me rappelait que, ouais, j’ai besoin de la musique comme d’oxygène.
En temps normal, un bon breakdown ou un growl bien guttural m’aide à expulser la pression. Là, tout restait coincé. Pas de blast beat pour accélérer mon rythme cardiaque, pas de ligne de basse bien grasse pour me poser dans un mood. Juste moi, mon cerveau et le silence.

24 Hours Without Music: A Descent Into Madness
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Back to Reality
By the time night rolled around, I snapped. I cranked up “Hymns in Dissonance” by Whitechapel at full volume and holy fuck, instant relief. That first riff hit like a damn explosion, Phil Bozeman’s growls ripped the silence to shreds, and suddenly, all the tension melted away. A straight shot of adrenaline, like my body had finally realigned itself.
So, can you live without music? Technically, yeah. But for me? Hell no. Not just because I love it, but because it’s an essential part of how I function. Without music, everything feels heavier, darker. Silence isn’t peace, it’s the absence of what keeps me alive.
Never again.
FR
Le retour à la réalité
Le soir, j’ai craqué. J’ai mis “Hymns in Dissonance” de Whitechapel à fond et putain… quelle libération. Ce premier riff a frappé comme une détonation, les growls de Phil Bozeman ont déchiré le silence, et j’ai senti toute la pression redescendre d’un coup. Un pur shot d’adrénaline, comme si mon corps retrouvait un équilibre.
Alors, peut-on vivre sans musique ? Techniquement, oui. Mais pour moi, c’est impossible. Pas juste parce que j’aime ça, mais parce que c’est une partie intégrante de mon fonctionnement. Sans musique, tout devient plus lourd, plus pesant. Le silence, c’est pas du calme. C’est l’absence de ce qui me maintient en vie.
Plus jamais ça.






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