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Easy arrival – Green rooms, good vibes, and getting the lay of the land

We roll up to the venue around 2:30 PM, way before the crowd starts pouring in. Soundchecks echo through the halls, crew’s buzzing but calm, everything running like clockwork.

We’ve got the rare chance to live this one from the inside, green rooms, stage wings, and stolen rooftop moments. No need for a flashy press badge, just one mission: capture the real story behind the scenes, up close with the bands, and share it with you.

The backstage area’s split between shared hangouts on the ground floor and quieter upstairs rooms, one per band.
The vibe’s chill and super welcoming. Folks are settling in, tweaking gear, or just soaking in the calm before the storm.

Throughout the afternoon, we bump into familiar faces, Pierre from Mirabelle, Lucas from Ten56, just cruising from room to room like it’s nothing.

We talk shop: new projects, gear setups, tour stories. The kind of convos you only get at indie fests, real, warm, zero ego.

The guys from Monnekyn are around too, laid-back, low-key, but totally locked in.

We check out the merch, hit up the food trucks, classic move. The sun’s blazing, so we head up to the artists’ rooftop for a breather. It’s the perfect spot to catch some air before the sonic storm kicks off.

FR
Arrivée tranquille – Loges, vibes et repérages

On arrive sur le site vers 14h30, bien avant que le public ne foule les salles. Les balances résonnent, le staff s’active avec calme et efficacité.

On a la chance de vivre cette journée depuis l’intérieur, entre loges, scènes et moments volés sur le rooftop. Pas besoin de badge presse en lettres dorées, juste une mission : capter l’envers du décor, au plus près des groupes, et le partager avec vous.

Les loges sont divisées entre les espaces partagés du rez-de-chaussée et les pièces à l’étage, plus calmes, une par groupe.

L’ambiance y est détendue, bienveillante. Chacun prend ses repères, prépare son matos, ou juste profite d’un moment de calme avant la tempête.

Au fil de l’après-midi, on croise du monde : Pierre de Mirabelle, Lucas de Ten56, des visages connus qui passent de loge en loge, en toute simplicité.

On discute actu, projets, matos… mais toujours dans cette atmosphère unique qu’ont les festivals indépendants : de la chaleur humaine, du vrai, pas de blabla.

On croise aussi quelques gars de Monnekyn, posés, discrets, toujours dans le bon mood.

On passe faire un tour au merch, puis on file aux food trucks, classique mais efficace. Le soleil tape fort, alors on se cale un moment sur le rooftop artistes, à l’écart, en hauteur. Un spot parfait pour respirer un peu avant le chaos sonore.

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4:15 PM – Hurakan: Kicking down the door

First riffs hit in the “Club” room, and Hurakan comes out swinging.
The frontman lights it up from the jump:

“It’s a fuckin’ honor to be playing with such killer bands, make some noise for the whole crew behind this fest!”

The crowd’s all in. It’s raw, it’s tight, it hits hard.

FR
16h15 – Hurakan : La claque d’entrée

Premiers riffs dans la salle “club”, et Hurakan balance tout.

Le chanteur met le feu d’entrée :

“C’est un putain de plaisir de partager l’affiche avec que des groupes qui déchirent, faites du bruit pour toute l’organisation !”

Le public répond au quart de tour. C’est brut, c’est efficace, ça tape là où il faut.

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5:45 PM – Parallyx: Sweat, chaos, and perfect sync

Next up: Parallyx, and it’s a riot from the first note.
Jumps, walls of death, sit-down-jump-up mayhem, the crowd’s locked into every call for chaos.

“Matriochka” totally wrecks the place, but for me, the real punch is “The Remedy”, a slow burn that builds and explodes.

Sound and lights are flawless. The whole set is tight, fierce, and straight from the gut.

FR
17h45 – Parallyx : Sueur et cohésion

Parallyx prend le relais, et c’est immédiatement le feu :

Jumps, wall of death, moment assis/saut debout, le public suit chaque appel au chaos.

“Matriochka” déchaîne la salle, mais mon coup de cœur reste “The Remedy”, une vraie montée.

Son et lights au top : une prestation aussi maîtrisée que viscérale.

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Just outside, we run into Pogo Car Crash Control as they hit the site.

They swing by the rooftop to say hey, grinning, already sunburned, full of jokes.

The vibe’s relaxed, like a pre-show exhale. But not for long, they head to the green room to get in the zone. Showtime’s coming.

8:10 PM – ASHEN: Tough break, but all heart

Mic issues right out of the gate? No big deal.

The crowd jumps in, sings the first lines loud, backing the frontman with everything they’ve got.

He’s frustrated but powers through, yelling, raging, refusing to fold.
By the second track, boom, circle pit explodes.

When “Crystal Tears” drops, you can feel the charge in the air. Full detonation.

FR
À peine sorti du show , on croise les Pogo Car Crash Control qui débarquent sur le site.

Ils montent direct nous saluer sur le rooftop artistes, sourire aux lèvres, déjà bien cramés par le soleil.

Ils rigolent, balancent quelques vannes, l’ambiance est détendue, comme une pause avant le déferlement à venir.

Ils foncent en loge peu après pour se préparer : leur heure approche.

20h10 – ASHEN, coup dur, mais cœur chaud

Un souci micro dès l’entrée ? Pas grave. Le public chante les premières lignes pour soutenir le chanteur.

Frustré, il hurle sa rage, mais ne lâche rien. Et là, boom ! Dès la deuxième chanson, un circle pit s’ouvre dans la fosse.

Quand “Crystal Tears” est annoncé, on sent l’électricité. C’est la déflagration.

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9:00 PM – Solitaris: A mystical gut-punch

Solitaris turns the stage into a ritual.

Heavy, haunting riffs. Hypnotic vibes. The pit is a furnace.
The room’s shaking, and the crowd’s somewhere else entirely, transported.

We catch the band later on the rooftop, still buzzing with post-set energy.

We talk it out, eyes lit, drained but stoked.
They gave it everything. It shows.

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21h00 – Solitaris : Frappe mystique

Solitaris, c’est une messe violente.

Ambiance incantatoire, riffs lourds et possédés. La fosse est en fusion, les murs vibrent.

Le public est dans un autre monde, emporté.

On retrouve les gars un peu plus tard sur le rooftop, encore pleins de l’énergie du set.

On papote, on débriefe, tout le monde a les yeux brillants, fatigués, mais heureux. Ils ont tout donné. Et ça se voit.

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9:50 PM – Pogo Car Crash Control: The grand finale goes nuclear

Pogo hits the stage with that signature fire everyone knows and loves.
They’re here to throw down for their new album, and you can feel it. They’re all in, grinning ear to ear, clearly stoked to be up there.

The crowd? Hooked from the very first second.

The stage setup is tight: shadowy silhouettes behind white sheets, lights syncing with every breakdown, drums hitting just as hard visually as they do sonically. The impact is instant.

They kick off with “CERVEAU MORT”, a straight-up gut punch to start.
From there, it’s one heavy hitter after another: “Comme toi”, “Qu’est-ce qui ne va pas”, and “You came to me”, all delivered with relentless energy.

The crowd’s screaming, crowd-surfing, moshing nonstop—security’s scrambling, but the vibe stays wild and friendly.

For the encore, they launch into “Est ce que ca vous parle”, one last blast of rage and joy.

It’s a full-on, explosive finale to an already loaded day, and a real moment of connection between the band and the crowd.

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21h50 – Pogo Car Crash Control : Climax en furie

Les Pogo montent sur scène avec l’énergie qu’on leur connaît. Ils viennent défendre leur nouvel album, et ça se sent : ils sont à bloc, le sourire jusqu’aux oreilles, visiblement heureux d’être là.

Le public ? Conquis dès la première minute.

La mise en scène est ultra efficace : silhouettes projetées derrière des draps blancs, jeux de lumière qui rythment chaque break, batterie qui pulse visuellement autant que musicalement. L’impact est immédiat.

Ils ouvrent avec “CERVEAU MORT”, grosse claque d’entrée de jeu.

Au fil du set, ils enchaînent des titres puissants comme “Comme toi”, “Qu’est-ce qui ne va pas”, ou encore “You came to me“, le tout avec une intensité qui ne faiblit jamais.

Le public chante, slamme, pogote non-stop, au point où la sécu ne sait plus où donner de la tête, mais l’ambiance reste bon enfant.

En rappel, ils balancent “Est ce que ca vous parle”, une dernière cartouche envoyée avec rage et sourire.

Un final explosif pour une journée déjà bien chargée, et un vrai moment de communion entre le groupe et la salle.

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Post-chaos – Final hangs, final smiles

Once Pogo wraps, the venue starts to wind down.

Back on the rooftop, a few artists linger, Solitaris among them, still glowing.

We share a last chat, replay the night, talk music, tour life, exhaustion too.

It’s real, it’s human, it’s golden.

More than a fest – A day lived from the inside

We didn’t catch every set. And that’s alright.

Because we experienced it differently, from the hallways, the green rooms, the quiet in-between moments and the unspoken exchanges offstage.

We saw the before, during, and after.

We saw nerves, focus, joy, destruction, burnout, and above all: passion. Everywhere.

WE Metal Fest isn’t just a lineup of sets, it’s a living, breathing day.

We leave with sound still ringing in our bones, sunburn on our cheeks… and memories that’ll stick for life.

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Après le chaos – Derniers échanges, derniers sourires

Une fois les Pogo redescendus, le site commence doucement à se calmer.

Sur le rooftop, on retrouve encore quelques artistes, dont les gars de Solitaris, toujours là, toujours souriants.

On partage un dernier moment, on refait le match, on parle musique, vie de groupe, fatigue aussi.

C’est simple, humain, précieux.

Plus qu’un fest – Une journée vécue de l’intérieur

On n’a pas pu tout voir. Et c’est OK.

Parce qu’on a vécu ce fest autrement : depuis ses couloirs, ses loges, ses moments suspendus, ses regards échangés hors scène.

On a vu l’avant, le pendant, l’après.

On a vu la fragilité, la concentration, l’euphorie, l’explosion, la fatigue, et surtout : la passion, partout.

Le WE Metal Fest, c’est pas juste un enchaînement de sets : c’est une journée pleine, vivante, vraie.

Et on repart avec du son dans les os, des coups de soleil sur les joues… et des souvenirs plein le cœur.