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The festival takes place just outside Lyon Airport, hence the name. Every year, it draws more and more die-hard rock and metal fans. Here’s a closer look at our sun-soaked weekend in Montcul!

We pulled into the festival parking lot in the early evening, basically a freshly harvested field. To get into the venue, you first pass through the camping area, which is free and super friendly. Then you walk along a little village lane before reaching the ticket booths. Once we picked up our wristbands, we were in! To the left: merch stands for every band on the lineup that day. Straight ahead: Terminal 2 stage. Off to the right: the bar and food stalls, one line for hot meals, another for cold dishes (way quicker, obviously). The setup was smart! There was even a food truck spot for hot-dog lovers, and plenty of killer veggie options all around, they really thought of everything.

Next came stalls run by indie makers and shops from all across France. At the far end stood the main stage, Terminal 1. To the left of it, a misting system offered some much-needed cooling down. And during the shows, a volunteer walked back and forth in front of the stage with a hose, keeping the crowd refreshed. It was a lifesaver!

This was also the first edition to feature pyrotechnics, kicked off in style by While She Sleeps!

Between the two stages was the VIP area, complete with its own bar and lounge chairs for a more laid-back concert experience. Just behind that, the village’s library, air-conditioned, solid walls, doubled as a quiet space for interviews, away from the noise.

The crowd was already buzzing, and super diverse! Every generation was represented. That’s likely thanks to the eclectic lineup, with something for everyone: local up-and-comers, international headliners, and yes, several badass bands with women in the spotlight. We love to see it!

There were plenty of families with kids, big squads of friends, and my personal favorite, people in full costume! In a single evening, we spotted Jesus, a banana, cowboys, Vikings, and a chicken with “Is Montcul made of chicken?” written across its butt. Classic.

The fest even kicked off a “Best Montcul Joke” contest (only french people can understand) . The winner gets to hop on stage Sunday and walk away with a 2025 poster signed by all the artists!

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Le festival se déroule près de l’aéroport de Lyon, dont s’inspire son nom. Il réunit chaque année de plus en plus d’aficionados du rock et du métal. Zoom sur notre week-end ensoleillé dans Montcul !

Nous arrivons en début de soirée sur le parking du festival : un champ fraîchement moissonné. Pour entrer sur le site, nous passons par le camping, convivial et gratuit. Ensuite nous longeons un hameau pour arriver sur les guichets à l’entrée. Une fois les accréditations récupérées, nous entrons sur le site : à notre gauche, les stands de merchandising de tous les groupes de la journée. En face, la scène terminal 2. Ensuite à droite il y a le bar, le stand nourriture, avec une file plats chauds, et une file plats froids, plus rapide forcément. C’est très bien pensé ! Il y a aussi un stand food-truck pour les amateurs de hot-dog. Et partout, des super options veggies, ils ont pensé à tout ! 

Puis les stands de boutiques et créateurs, venus de toute la France. Sur le fond se dessine la scène principale, terminal 1. A sa gauche un système de brumisateurs permet d’aller se rafraîchir. Un bénévole passe également régulièrement entre la scène et les crash barrières pour arroser la foule au tuyau tout le long des concerts, ça fait du bien !

C’est d’ailleurs la première édition avec effets pyrotechniques, inaugurés par While She Sleeps !

Entre les deux scènes, l’entrée du coin VIP, avec son propre bar, et des fauteuils et chaises longues pour profiter des concerts au calme. Et derrière, un bâtiment en dur, la médiathèque du village. Nous entrons donc dans ce bâtiment réservé au staff et à la presse. Spacieux, climatisé, et surtout très bien insonorisé. Parfait pour dérouler nos interviews au calme.
Nous sommes accueillies par Elodie, qui nous fait visiter le bâtiment. Elle nous donne accès à une loge sécurisée par son badge, pour poser nos affaires et charger les batteries de l’appareil photo. Elle nous emmène ensuite dans la pièce où vont se dérouler les interviews. Une petite salle de spectacle, avec des tables, des chaises et des fauteuils. Certains collègues attendent leur tour dans le couloir, sur des fauteuils confortables et en profitant du calme et de la clim.

La foule est déjà bien présente, et est très éclectique ! Toutes les générations sont présentes. C’est certainement grâce à la programmation variée : il y en a pour tous les goûts ! Aussi bien des petits groupes locaux que des groupes internationaux. Et plusieurs groupes avec des femmes sont à l’affiche, ça fait plaisir ! 

Pas mal de familles présentes avec des enfants, des bandes de potes, et mon péché mignon : des gens déguisés !!! Nous avons pu croiser dans la même soirée Jésus, une banane, des cowboys, des vikings, et une poule qui affiche sur ses fesses “Et Montcul c’est du poulet ?!”

D’ailleurs le festival a lancé un concours de la meilleure blague sur Montcul. Le gagnant sera appelé sur scène dimanche et recevra une affiche de l’édition 2025 signée par les artistes !

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Day 1: Friday

6:30 PM – Vertex

A local band straight outta Lyon! Unfortunately, we were caught up doing back-to-back interviews and couldn’t catch their set, but the word going around was nothing but praise. Folks said the energy was insane!

7:15 PM – Pogo Car Crash Control

I’ve been dying to see them live, and finally, it happened!
Full-on punk vibes: total chaos in the pit! People were jumping like crazy, on stage and in the crowd. The lyrics bounced between English and French.

Lola, the badass bassist, also jumped in on vocals for a few tracks.
Killer guitar solos, and the crowd was absolutely electric.

At one point, the singer confessed he didn’t wanna leave, but they had to rush to Les Eurockéennes to fill in for Ultra Vomit, whose frontman Foetus had gotten injured and had to cancel the tour.

Still, he brought the heat back fast, joking around with the crowd (“What’s wrong with you?!”), throwing out call-and-response “heys!” The pit was wild, bare feet, crowd surfing, classic punk scene madness.

During the final song, the mosh went all out. The frontman tossed his beer into the crowd, climbed the barrier, and stage-surfed over the audience, still singing (kinda) while floating over the chaos.

Before leaving, they dropped the best news: they’re playing again in Lyon on November 19th at Marché Gare. Count me in!

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Jour 1 : Vendredi

18h30 : Vertex

Un groupe local, ils sont lyonnais ! Malheureusement nous avons enchaîné les interviews et je n’ai pas pu y assister, mais j’ai entendu de très bon retour, et qu’il y avait une ambiance de dingue !

19h15 : Pogo Car Crash Control

Depuis le temps que j’espérais les voir en live, c’est chose faite ! 

Ambiance punk, c’est l’anarchie dans le public ! Ça saute dans tous les sens, sur scène comme dans la fosse ! Les paroles mêlent anglais et français.

Une femme, Lola, est à la basse et en renfort chant sur certains morceaux.

Des solos de guitare vraiment sympa, le public est électrique !

Le chanteur annonce qu’il n’a pas envie de partir, mais qu’ils doivent bientôt filer aux eurockéennes remplacer Ultra Vomit (le chanteur, Foetus, s’est blessé et leur tournée de festivals est annulée). 

Mais le chanteur remet le feu en interagissant avec le public (jeu “qu’est-ce qui ne va pas?”, lancer des “heys”). Ca pogotte fort, certains font du crowd surfing pieds nus, rien d’étonnant pour la scène punk ! 

C’est maintenant le dernier morceau, pogos à fond, le chanteur jette sa bière sur la foule. Il monte ensuite sur les crash barrières, et surfe sur la foule tout en continuant (avec difficulté) à chanter.

Avant de partir, ils annoncent qu’ils jouent à la rentrée à Lyon, le 19 novembre au Marché Gare.

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8:00 PM – Loudblast

French legends from Lille, and they brought the noise!
Lots of face-melting guitar solos, a real treat for the ears. The band had solid stage energy from start to finish, heavy as hell and tight as ever. The vibes were massive, even with a smaller crowd (it was dinner time, after all). Still, the energy made up for the numbers: kids on parents’ shoulders, headphones on, fists in the air, loving every second. The pit was wild, and get this, someone was handing out candy to folks crowd surfing back to the front barriers. Iconic. The sun started setting, things cooled down, and the scene turned golden. Then a clapping break kicked off a full-on circle pit.

I discovered Loudblast tonight, and I was super into their opening tracks , though I’ll admit it got a bit samey toward the end. Still, a solid set that packed a punch.

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20h00 : Loudblast

Groupe français, ils sont venus de Lille. Pas mal de solos de guitare, un régal pour les oreilles. Une bonne énergie sur scène, constante tout le long du concert. C’est du lourd ! Grosse ambiance, plein de gamins sont sur les épaules de leurs parents, casques sur les oreilles, bras levés ils s’éclatent ! Ca pogotte à fond, et un gars distribue des bonbons aux gens qui ont crowd surfé et reviennent aux crash barrières ! Malheureusement c’est l’heure du repas donc la foule est peu nombreuse, mais malgré tout l’ambiance est là et compense. Le soleil se couche, la température se rafraîchit.

Un circle pit se lance, après que le groupe ait lancé un clapping.
J’ai découvert ce groupe ce soir, j’ai beaucoup aimé les premiers morceaux mais j’ai trouvé la suite un peu répétitive.

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8:55 PM – Sun

At first, I was just hearing the music, I had gone off to grab some food. But when I got back to the pit… holy hell, what a scene!

There she was: a woman in a puffy pink princess dress, with long red hair flying everywhere thanks to stage fans, it was surreal and totally mesmerizing. The visual clashed gloriously with the sound: brutal pop with a wild mix of screamed and clean vocals.

Huge balloons were bouncing through the crowd. And then came the moment:
Jesus, yes, Jesus, rose up, crowd-surfing, and started a clapping chant. Then, just like Moses parting the Red Sea, he split the pit for a massive wall of death.

The crowd went nuts.
It was theatrical, chaotic, and absolutely unforgettable. I’d never heard of this band before, but I’m hooked now!

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20h55 : Sun

Au départ j’ai seulement le son (je suis allée me chercher à manger), et quand j’arrive dans la fosses, grosse surprise : une femme, en robe de princesse rose a tulle, des longs cheveux roux qui volent dans tous les sens avec les ventilateurs, la scène est étonnante et incroyable ! 

Ce look dénote de la musique, du brutal pop avec un mix chant saturé et chant clair.

Des gros ballons rebondissent dans le public. Et là, une scène absolument incroyable :

Jésus, qui surgit debout, porté par la foule, et lance un clapping ! Et ensuite tel Moïse séparant la mère en deux, il fait s’écarter la foule pour un wall of death !

Grosse ambiance, je découvre ce groupe et j’adore !!!

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9:35 PM – While She Sleeps

The sets are rolling fast, just five minutes between bands — so we’re bouncing back and forth between stages. That’s the beauty of a mid-sized fest like this: you’re always close to the action, great view guaranteed, and you never feel crushed in the crowd.

The band hits the stage, and the frontman walks out with full Oasis swagger: white shirt, white tee, sunglasses, not your usual metal look, and we’re here for it.

The first track, Systematic, kicks off with a bang, literally. Flames shoot up from the stage edges. The crowd’s packed in tight.

Circle pit? Instant. Clapping? Nonstop.

By the time Anti-Social drops as the fourth song, pyro is in full force. Metal horns fly through the air, people are crowdsurfing like crazy, and the bassist kicks off a massive wall of death before leading another clapping round.

The band’s super interactive with the crowd, and we’re all here for it.
It’s sweaty as hell now. During Self Hell, the vocalist hands the mic to the crowd to sing along.

Next thing we know, the bassist is in the pit, in the middle of a dust-blasting circle pit, going wild with the fans.

A heartfelt moment hits during Rainbows. The singer gives a little emotional speech and invites everyone to press up to the front. The crowdsurfing takes off again.

When Four Walls starts, phones and lighters go up. It begins soft and haunting, then builds to a jaw-dropping crescendo. Goosebumps.

Then come the first notes of To the Flowers, the singer opens with a quote from Jiddu Krishnamurti, holding up a bouquet of white flowers before tossing them into the crowd.

At the line “down down down,” he gets everyone to sit down… and BOOM, the whole pit jumps up at once. Pure catharsis.

The whole set is pure fire, back-to-back tracks with no downtime.
They close with Sleep Society, final wall of death, and the singer lines up and free-kicks his water bottle into the crowd like it’s the World Cup. Absolute madness.

We’re drenched, exhausted, and so damn alive.

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21h35 : While She Sleeps

Les concerts s’enchaînent fort, seulement 5 minutes entre chaque groupe donc on passe d’une scène à l’autre. Ce que j’aime avec ce genre de festival qui n’est pas d’une taille monstrueuse, c’est qu’on se sent proche de la scène, on a toujours une belle vue et on étouffe pas au milieu de la foule ! 

Le groupe arrive, le chanteur a un look un peu star à la Oasis, lunettes de soleil, t-shirt blanc chemise blanche, ça dénote des tenues habituelles dans le métal.

Dès le premier morceau, les flammes sont crachées sur le bord de la scène.

La foule est nombreuse.

Le premier morceau démarre fort avec Systematic

Ça lance direct un circle pit puis un clapping sur les morceaux qui suivent.

4eme Anti-Social, gros effets pyrotechniques, signes de metal d’avant en arrière, la foule bouge a fond, crowdsurfing, puis le bassiste lance un wall of death, puis un clapping. 

Ça interagit beaucoup avec le public qui répond présent direct c’est cool

Ça y est ça sent la transpi ! Le chanteur fait chanter le public sur Self Hell.

Le bassiste va dans la fosse, au milieu du circle pit, la poussière vole !

Petit discours émotion sur Rainbows, il demande au public de s’approcher de la crash barrière, et ça crowd surf à fond.

Tout le monde sort les flashs de téléphones et briquets sur Four Walls. Le morceau est très calme au début puis monte crescendo jusqu’à l’explosion. 

Quelle énergie sur scène !!! Sans pauses, ils enchaînent tous les morceaux !

Les premières notes de To the flowers résonnent, s’ouvrant sur des paroles du philosophe et leader spirituel Jiddu Krishnamurti, le chanteur porte un bouquet de fleurs blanches au ciel  puis les jette dans le public.

Il fait s’asseoir tout le monde après avoir jeté la dernière fleur sur “down down down” puis la foule saute en l’air.

Le public est déchaîné ca pue la transpi haha

Le concert termine avec sleep society, avec un dernier wall of death, et le chanteur shoot un coup franc dans sa bouteille d’eau qui atterrit dans la foule !

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10:40 PM – Vestige

The Interview HERE

There was a bit of a tech hiccup at Terminal 2 — a real shame after the insane momentum from WSS. The drummer did his best to stall while the issue got sorted.

The show finally kicked off with a 7-minute delay, and the crowd cheered them on with full support.

They opened with an instrumental intro, then eased into vocals, soft and melodic at first. Smooth high notes, a bit of clean singing… then boom: the drums kicked in hard and it exploded into harsh vocals.

I didn’t know this band before, but damn, what a discovery. Their set took us on a journey, balancing gentle clean parts with heavy, crushing riffs and screams.

The crowd was totally into it, cheering the whole way through. At one point, the frontman, guitar in hand, jammed side by side with the lead guitarist and bassist, earning loud roars from the pit.

This band is definitely on my radar now. Don’t miss them in Paris on October 25th at Le Trabendo!

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22h40 : Vestige

Retrouve l’interview : ICI

Petit problème technique sur le terminal 2, quel dommage, la pression montée par wss retombe. Le batteur meuble comme il peut le temps de régler le problème.

Le concert démarre avec 7 minutes de retard, le public les encourage.

Une intro instrumentale démarre, puis le chant, c’est plus calme.

Les aigus sont maîtrisés, un petit chant clair tranquille puis la batterie s’emballe et ça part en chant saturé !

Je ne connaissais pas avant, une belle découverte qui emmène dans son monde, de belles nuances entre douceur avec chant clair, et des riffs bien lourds sur du chant saturé.

Le public est chaud et les encourage, le chanteur avec sa guitare vient jouer avec le guitariste puis le bassiste sous les cris de la foule 

Très belle découverte, je vais les suivre de près. N’hésitez pas à aller à Paris le 25/10 au Trabendo.

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11:25 PM – Beyond The Black

The band took the stage, with the lead singer rocking a sheer tulle outfit, eye-catching, for sure. They kicked things off with their signature style: German symphonic metal. To be honest, it’s not really my thing, it kind of blends in with a lot of other similar bands for me.

But the crowd was definitely into it, attentive and engaged. The musicians kicked off some clapping sections, and the audience followed along enthusiastically.

Personally, I had a hard time getting into the set, probably didn’t help that the fatigue was starting to hit. Still, there was a pleasant surprise: Dancing in the Dark, super catchy and energetic. That one definitely stood out and had my foot tapping.

They wrapped up by announcing a Paris show on January 17th. Worth checking out if you’re into the genre!

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23h25 : Beyond The Black

Le groupe arrive sur scène, la chanteuse porte une tenue en tulle transparente. Ils commencent à jouer, c’est du métal symphonique allemand. Ca n’est pas trop ma tasse de thé, je trouve que ça ressemble un peu à tous les groupes similaires

Mais le public est présent et attentif 

Les musiciens lancent des clapings qui sont bien suivis par la foule.

Moi j’ai du mal à me mettre dedans. La fatigue commence à se faire sentir et ne foit pas aider.

Malgré tout une belle surprise, avec Dancing in the Dark, très sympa, le rythme est entraînant !

Ils annoncent qu’ils vont jouer à paris le 17 janvier.

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12:30 AM – Eihwar

(No photos or videos allowed during the show)

Final act of the night, and total vibe switch: time for some neo-viking music.

Despite the late hour, the crowd was still fully amped. Eihwar, a relatively new French band, brought serious energy to the stage.

The frontwoman was absolutely giving it her all, by the end, she was breathless but still going strong. Dressed in fur pelts and holding a drum, with long silver hair flying around, she bounced to the rhythm of their unique blend of shamanic chants and electronic beats. Super original and totally hypnotic.

Behind her: a knight in full armor working the laptop and drum machine, occasionally letting out deep, growling vocals.

Then came a slower track, and the audience joined in, singing softly with the shaman.

“Beautiful”, Montcul is singing!” she exclaimed, clearly moved.

Surprisingly big turnout for a 1 a.m. set, and the crowd was locked in until the very end.

By 1:15 AM, the first night of Plane’R Fest came to a close. Time to head back to Lyon and recharge for round two.

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00h30 – Eihwar

(Photos et videos interdites pendant le show)

Dernier concert de la soirée, et changement d’ambiance avec de la musique néo-viking !

Le public est à fond malgré l’heure tardive. C’est un groupe français et assez récent.

Grosse énergie sur scène, la chanteuse donne tout et finit par être essoufflée.

Tenant un tambour, et habillée en peaux de bêtes, avec ses longs cheveux argentés elle saute en rythme sur la musique mêlant chant chamaniques et électro. C’est très original !

Derrière elle, un chevalier en armure sur l’ordi et la boite à rythme, et parfois une grosse voix rauque.

Ensuite un morceau plus calme, le public chante avec la chamane.

« Magnifique, ça chante dans Montcul !» s’exclame la chanteuse.

Pas mal de monde encore jusqu’à la fin du concert, le public est bien réceptif.

Il est 1h15 quand le festival clos sa première soirée, nous rentrons sur Lyon nous reposer.

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Day 2: Saturday

3:00 PM – Perseide & 3:50 PM – Amon Sethis

Unfortunately, we were caught up in interviews during both sets, but we heard great things about Perseide, a band the festival’s coordinator was especially hyped to see!

4:40 PM – Eight Sin

Hardcore vibes all the way.

The pit turned into a playful brawl, floating pool noodles waving in the air, inflatable toys flying everywhere… It was full-on Montcul Beach Party mode!

During one track, Steven from LocoMuerte jumped on stage for a surprise feature, and the energy exploded. Total mayhem, total fun!

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Jour 2 : Samedi

15h00 : Perseide et 15h50 : Amon Sethis

Malheureusement en interview pendant le passage de ces deux groupes, mais j’ai entendu beaucoup de bien de Perseide, que le coordinateur du festival avait très envie de voir !

16h40 : Eight Sins

Ambiance Hardcore sur scène.

C’est bagarre dans le pit, mais fun avec des frites de piscine qui s’agitent en l’air, des bouées gonflables etc c’est ambiance Montcul Beach !

Pour un morceau, le chanteur de LocoMuerte, Steven, monte sur scène pour un featuring et l’ambiance explose ! C’est vraiment bien fun !

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5:30 PM – Future Palace

A band I’ve been dying to see live for ages, and I finally made it!
The sun was blazing as the group hit the stage to an epic intro track.

They opened with Malphas, and the vocalist immediately owned the stage, confident and commanding.
She called for a circle pit, and the set took off from there!

During Uncontrolled, the drummer kicked off a clapping rhythm with his kick drum, headbanging like crazy. He was a bit tucked away on stage, but made up for it with sheer energy. The vocalist ended the song lying flat on the ground, pure emotion.

Throughout the show, the guitarist had the biggest smile on his face, you could tell they were having a blast up there.

When Defeating Gravity started, the crowd erupted, jumping, crowd surfing (yes, even teens and kids!), and giant beach balls flying overhead. Fists in the air at the end, full-on festival joy.

A volunteer came around with a hose to cool us down, and it was such a fun, refreshing touch.

As Dreamstate began, the singer sat on the edge of the stage, facing the crowd, an intimate moment.

Before The Echoes of Disparity, she gave a short feminist speech, then got all the women in the crowd to scream “f* you**” in protest of men who don’t respect women. The energy was electric.

During Flames, the drummer, who didn’t even have a mic — was shouting the lyrics and making wild faces, tongue out, eyes rolling back like he was in a trance. The guitarist was equally into it. Total commitment.

Then came Decarabia, the singer shared that she writes all her lyrics herself. This song touches on depression and what it’s like when two people struggling mentally fall in love. She said she wanted to turn the pain into something danceable. Mission accomplished.

They closed with Paradise, and the crowd launched the biggest wall of death of the whole festival. What a way to end a set.

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17h30 : Future Palace

Un groupe que je rêvais de voir depuis longtemps mais dont j’avais toujours raté les concerts, je suis ravie !

Le soleil tape fort, pendant que le groupe rentre sur scène sur une musique d’intro.

Premier morceau Malphas, la chanteuse prend bien la place sur scène et est à l’aise.

Elle demande un circle pit, les morceaux s’enchaînent !

Le batteur lance un clapping sur Uncontrolled avec sa grosse caisse et fait un gros headbang ! Il est en retrait sur la scène, un peu dommage mais il compense par sa présence. La chanteuse finit le morceau allongée au sol.

Tout le long du concert, le guitariste arbore un immense sourire, on voit qu’ils prennent plaisir à jouer ! 

Defeating gravity démarre, la chanteuse fait sauter la foule et ça crowd surf, même des ados et enfants ! Des ballons de plage géant volent dans la foule tout le long ! Poing levés dans la foule en fin de chanson.

Un bénévole arrose la foule avec un tuyau pour nous rafraîchir, c’est fun et agréable. 

la chanteuse s’assoit sur la rampe face a la foule lorsque Dreamstate démarre

Petit discours féministe au début de The Echoes of Disparity, important, puis elle fait chanter “fuck you” aux femmes de la foule pour protester contre les hommes qui ne respectent pas les femmes.

Le batteur chante les paroles (il n’a pas de micro mais lui et le guitariste sont à fond) sur le morceau Flames, et tire la langue, les yeux blancs exorbités, comme en transe !

La chanteuse prend la parole sur le début de Decarabia : elle écrit ses chansons seules. Cette chanson parle de dépression et de santé mentale, et de la situation dans laquelle deux dépressifs tombent amoureux, une situation douce-amère. Et qu’elle a essayé d’en tirer le positif et d’en faire une version dansante 

Sur le dernier morceau, Paradise, la foule lance le plus gros wall of death du festival !

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6:40 PM – Planet of Zeus

Straight outta Athens, Greece, Planet of Zeus brought the heavy stoner vibes with them, and they did not disappoint.
(Check out our interview HERE)

The frontman had a killer raspy voice, with just the right amount of grit. He paired it perfectly with some thick, juicy guitar solos.

They hyped up the crowd with the classic “We can’t hear you!” move, and the fans were into it, despite the blazing sun.

The whole band was bursting with energy, totally infectious, and the crowd responded well. There was plenty of back-and-forth:

“Bonjour, we are Planet of Zeus, on a mission to give you your best show of the year! Are you alive? Are you ready to have fun?!”

“When I say dance, you dance!”

The crowd wasn’t huge (probably off grabbing food or drinks), but those who stuck around up front were into it. The rest stayed pretty chill, maybe worn out from the heat, but still clapped loud and proud.

When Loyal to the Pack dropped, it was explosive, these guys didn’t slow down for the weather. During the chorus, the guitarist and frontman yelled “We are the wolf pack!” with wide eyes and tongues out. Wild!

A line of fans in the pit started dancing arm-in-arm, slowly growing in size. Right next to them, two dudes busted out some rock ‘n’ roll dance moves, even pulling off a lift!

The crowd joined in a massive clapping session, and the singer couldn’t help but grin.
Babis, the frontman, had everyone singing along. This time, the whole crowd answered back loud and clear. He applauded the audience while the guitarist shredded a solo.

To close it off, both guitarists jammed together in unison before Babis shouted:

“Thank you very very very very very very very VERY much!”

Looks like the Greek rockers had a blast with the French crowd, and the feeling was mutual.

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18h40 : Planet of Zeus

Ils sont venus d’Athènes, en Grèce, pour nous apporter un stoner bien lourd !

(Retrouvez l’interview ICI)

Le chanteur a une belle voix rauque, avec un grain un peu cassé. Il allie sa voix à de gros solos de guitare. 

Ils excitant le la foule en faisant le signe “on vous entend pas”.

Le public est chaud, tout comme l’atmosphère avec un soleil qui tape fort.

Les musiciens débordent d’énergie, c’est contagieux ! Et pas mal d’interactions avec le public : 

“Bonjour nous somme Planet of Zeus, en mission pour vous donner votre meilleur concert de l’année ! Etes-vous vivants, voulez-vous vous amuser ?!”

“Quand je vous dis Dance, vous dansez !”

C’est dommage la foule n’était pas très dense, les gens sont partis manger ou boire un peu. 

Ça bouge plutôt bien devant mais sinon les spectateurs sont calmes, sûrement la fatigue de la chaleur mais ils applaudissent fort !

Démarre Loyal to the pack, explosive, le groupe ne manque pas d’énergie malgré la température aride.

Guitariste en chœur avec le chanteur hurle “we are the wolf pack”, yeux exorbités et langue sortie, c’est assez impressionnant !

Une partie de la foule danse bras dessus bras dessous en formant une ligne de plus en plus grande dans le pit.

A côté d’eux, deux hommes dansent le rock, et font même un porté !

Grand clapping de la foule, le chanteur ne peut retenir un sourire !

Babis, le chanteur, fait chanter la foule, qui cette fois répond présent, puis applaudit le public et lance un clapping pendant que le guitariste fait un solo.

Les deux guitaristes jouent ensemble 

“Thank you very very very very very very very very much”

Il semblerait qu’une fois de plus, le groupe Grec ait apprécié le public français.

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7:35 PM – Feuerschwanz

(Due to the pyrotechnics, there was no access to the crash barrier, so no photos this time!)

The show kicked off with two barely dressed women waving flags and smiling ear to ear, setting the tone for what was about to come. Then the two lead singers appeared, decked out in full fantasy gear, one in gladiator armor, the other in a knight’s chainmail suit. A massive dragon image loomed in the background.

There was a woman on violin, and as expected from a band called Feuerschwanz, the lyrics were all in German.

The crowd slowly warmed up as more spectacle unfolded: “warrior women” flanked both sides of the stage, holding shields and axes, dressed in furs. The mic stand? Decorated with a sword.

And the pyro? Absolutely massive. You could feel the heat from the front row, we were basically roasting (in a good way). The show was a full-blown theatrical performance, complete with choreography. Felt like a metal version of a theme park show, think “medieval musical meets metal fest.”

Not exactly my scene, to be honest, but the crowd was all-in.

One of the singers had everyone sit down and then jump up at once, dust flying everywhere. Even the kids were crowdsurfing!

They kept the fun going by putting on goofy sunglasses and starting a crowd shout-off: left side yelled “ouh,” right side “ha.”
Meanwhile, the warrior women were dancing at the stage edges with flaming staffs.

The water hose guy came back just in time to save us from the heat of the pyros.

And then… Dragostea Din Tei, yes, the viral O-Zone hit (“Ma-ia-hii, ma-ia-huu…”), turned into a full-on metal singalong. The crowd was cracking up and screaming the lyrics together.

They followed up with a few more classics, including Valhalla Calling, before diving into a metal version of Gangnam Style. No joke.

To wrap it up, they announced a new album dropping on August 22. Buckle up.

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19h35 : Feuerschwanz

(Du fait de la pyrotechnie pas d’acces crash barrière donc pas de photos)

Deux femmes légèrement vêtues agitent des drapeaux avec un grand sourire, puis les deux chanteurs arrivent, en tenue heroic fantasy : Une armure type gladiateur pour l’un, et une armure de chevalier avec cotte de maille pour l’autre. Sur le fond de la scène, une image de dragon.

Une femme est au violon, et sans surprise vu leur nom, ils chantent en allemand 

Le public chauffe progressivement 

Des “guerrières” sont positionnées sur les côtés de la scène, avec bouclier et hache et portant des peaux de bêtes. Le pied de micro est décoré d’une épée 

Grosse pyrotechnie, on crame a l’avant  de la foule aha ! Il y a un gros travail de mise en scène et de chorégraphies, c’est un vrai spectacle. Ambiance Puy du Fou.

Pas mon délire cette ambiance comédie musicale, mais le public a l’air d’adhérer à fond !

Un des chanteurs fait s’asseoir toute la foule puis bondir, la poussière vole !

Même les enfants font du crowdsurfing !

Les chanteurs enfilent des lunettes rigolotes puis lancent un concours de cri entre la gauche “ouh” et la droite “ha”.

Les guerrières dansent avec des bâtons de feu sur les bords de la scène 

Retour de l’arroseur de foule, qui vient nous soulager des effets pyrotechniques.

Ils font chanter Dragostea Din Tei, la célèbre chanson d’ozone (Ma-ia-hii, ma-ia-huu..) en version metal, tout le monde éclate de rire et chante en chœurs.

Ensuite s’enchaînent quelques chansons classiques, dont valhalla calling, avant d’enchainer avec un gangnam style version metal.

Ils annoncent la sortie d’un nouvel album le 22 août

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8:45 PM – LocoMuerte

The band hit the stage to a mariachi intro, and from the very first notes, the hardcore vibes were on full blast. The crowd was fired up instantly. All the band members were dressed chicano-style: basketball jerseys, bandanas on their heads, the look matched the energy.

They kicked off a massive jump session, and yep, there was a little person on stage holding up a pink “Barrio” sign. Absolute party mode.

Pool noodles were flying, inflatables were bouncing everywhere, it was wild, chaotic, and 100% fun.

Mid-set, they left the stage for a 20-minute encore break, only to come back with a surprise guest: the singer from Eight Sins jumped in for a guest feature, and the crowd lost it. Circle pit mayhem immediately erupted.

What’s crazy is how the band managed to stay so energetic the entire time without missing a beat, pure stamina. Then came the real madness.

They invited like 40 fans on stage with them, total chaos. The security team was sweating bullets, trying to manage the situation, while the band started crowdsurfing people on giant inflatable crocodiles. Unreal.

Then the pit around the sound booth turned into a spontaneous circle pit, the sound techs looked overwhelmed, but honestly, everyone was just cracking up. It was absolute carnage, the best kind.

FR
20h45 : Locomuerte

Les membres du groupe entrent en scène sur une musique de mariachi, puis commencent à jouer. On sent tout de suite l’ambiance Hardcore, énergique avec un public à fond dès les premières notes. Les musiciens ont tous des tenues de chicanos, coiffés de bandanas sur la tête et portant des maillots de basket.

Ils lancent un jump, et un nain sur scène tient des pancarte rose “Barrio”

C’est ambiance festive, plein de frites de piscine volent dans tous les sens, des bouées gonflables, c’est la fête !

Ils sortent de scène 20 minutes avant la fin pour un rappel, puis le chanteur de Eight Sins vient faire un feat à son tour. La foule démarre un circle pit.

C’est impressionnant comme les musiciens arrivent à rester super dynamiques tout le long sans fatiguer.

Ils font chanter le public, puis tout d’un coup c’est le gros bordel : ils font monter une quarantaine de personnes du public sur scène avec eux, les agents de sécurité en sueur,  puis les font slammer sur la foule avec des gros crocodiles gonflables !

Un circle pit spontané se lance autour de la régie qui n’en mène pas large, mais tout le monde se marre !

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9:40 PM – Gloryhammer

Night had finally fallen, and the evening chill started to set in, a welcome break after the heat.The set kicked off with an epic intro: the theme from 2001: A Space Odyssey. Yep, we were in for something big.

Another band with a full-blown stage production, this time in the realm of power metal. Everyone was dressed in full-on heroic fantasy gear. And true to their name, the singer strutted onstage wielding a massive hammer in his right hand. Once again, the pyro was firing on all cylinders, flames, blasts, the whole shebang. Musically, it was very classic power metal, and to be honest, it all started to sound a bit samey to me, especially with the fatigue creeping in. But the crowd didn’t care. They were all in, singing, dancing, screaming. Dust was flying everywhere.

A fun (and weird) twist: the singer used a vocal modulator during his stage banter, giving him a deep, monstrous voice. It was both creepy and hilarious.

FR
21h40 : Gloryhammer

La nuit tombe, et la fraîcheur arrive enfin.

Une musique d’intro retenti : le générique de 2001 l’odyssée de l’espace.
Encore un groupe avec une grosse mise en scène, cette fois du power metal. Ils sont tous déguisés en heroic fantasy, et le chanteur porte, comme le nom du groupe l’indique, un énorme marteau dans sa main droite.Encore de gros effets de pyrotechnie ce soir.
Musicalement je trouve que ça ressemble un peu à tous les groupes de power metal, et la fatigue ne m’aide pas à accrocher. Mais la foule est à fond et c’est ce qui compte ! Ils chantent, danse et crient tous ensemble, la poussière vole.

Un modificateur de voix donne au chanteur une voix de monstre pendant ses discours, c’est très perturbant et drôle à la fois .

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11:10 PM – Angelus Apatrida

Time for some good ol’ thrash metal to shake us awake!

All the band members were headbanging like mad, their hair flying around like wild manes, honestly, it looked badass. Even though they were playing on the smaller Terminal 2 stage, the crowd was thick and fully into it.

At one point, the band paused, total silence.

Then the frontman taunted the audience:

“You guys want more, or are you heading to bed?!”

Instantly, the crowd roared back in protest — and the band kicked things up again, even heavier than before. A total power move.

FR
23h10 : Angelus Apatrida

Cette fois on enchaine avec un groupe de Trash metal.

Tous les musiciens sur scène font des headbang à fond, avec leurs chevelures qui ressemblent plus à des crinières denses, c’est du plus bel effet !

Ils jouent sur la petite scène Terminal 2 mais la foule est dense et à fond.

Pour provoquer les spectateurs, ils font une pause en silence.

Le chanteur lance “Vous en voulez encore les gars ? Ou bien vous voulez aller dormir ?”

Immédiatement le public crie et râle, jusqu’à ce que le concert reprenne de plus belle !

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12:05 AM – Perturbator

Big mood shift for the festival’s grand finale, enter the dark, electronic world of darksynth meets metal.

James Kent, aka Perturbator, took the stage to wild applause, a lot of fans had clearly shown up just for him.

The stage setup was one of the most unique of the fest:
On one side, a giant transparent drum kit. On the other, a console, a guitar, and a mic, all on a glowing blue platform at center stage.

Behind it all: a huge LED screen, thick fog, and a storm of lasers and lighting. Hypnotic.

The whole thing had serious Carpenter Brut vibes. The first track kicked off with a slow build. James headbanged over his console as the beat dropped. The drum kit was so massive, with so many toms, that even though it was see-through, you couldn’t really see the drummer behind it. The elevated platform made the stage look massive.

The crowd that stayed late? Still on fire.

For the next track, Perturbator grabbed his guitar and triggered some vocal samples, keeping the set dynamic and intense.

The lasers had me looking skyward, and there it was: the Big Dipper shining right above the stage. Pure magic.

An alarm sound rang out through the speakers, and he returned to the console, motioning to the crowd to jump and get closer.

No words were spoken, the whole performance was gesture-based, keeping this mysterious, ritual-like vibe. Faces hidden behind long hair, no talking, just raw energy.

The crowd surfing fired up in the pit. With the thick fog, the flashing lights, and all the lasers, the stage looked massive and otherworldly.

A stunning way to end the night, though, let’s be honest, the strobe lights and lasers were retina-melting at times.

FR

00h05 : Perturbator

Changement d’ambiance pour la clôture, avec un mélange de Darksynth et metal électro.

James Kent, alias Perturbator, entre sous les encouragements du public. Ils sont nombreux à être venus spécialement pour lui ! 

La disposition sur scène est originale : d’un côté une énorme batterie transparente,  et de l’autre une console, une guitare et un micro, le tout sur une grosse plateforme posée au centre de la scène qui s’éclaire en bleu.

Un grand panneau LED sur le fond de la scène, une grosse dose de fumée et de nombreux effets lasers et lumières, c’est hypnotisant !

Le style me fait penser à Carpenter Brut.

Le premier morceau commence, intro et Perturbator headbang sur la console.

La batterie est si grosse, avec beaucoup de toms que même en étant transparente on ne voit pas le batteur comme la plateforme les surélève encore plus que la scène.

Le public qui est resté est très chaud

Morceau suivant il prend la guitare , et lance des samples de voix.

Les lasers me font lever les yeux au ciel, et j’aperçois la constellation de la grande ourse qui brille au dessus de la scène. C’est poétique.

Un bruit d’alarme retentit, puis il retourne sur sa console, en faisant signe au public de sauter et se rapprocher.

La mise en scène a un côté très mystérieux : les visages sont cachés derrière une cascade de cheveux, pas un mot n’est prononcé, il communique avec le public seulement par gestes.

Les crowd surf commencent dans le pit.

La scène semble immense dans cette configuration, remplie de fumée, avec tous ces d’effets de lumière, stroboscopiques et lasers (c’est impressionnant mais ça défonce les yeux).

EN
The last set wrapped up at 1:25 AM, officially marking the end of Plane’R Fest 2025.

I’m completely won over by the festival’s vibe and human scale. The food was great, the bathrooms were clean, and every single volunteer was friendly and welcoming!

Huge thanks to the Plane’R Fest team, especially Élodie, for the warm welcome, the well-organized interviews, and for setting us up with a secure backstage space for our gear and chargers, it’s the little things like that that really make a difference.

One thing’s for sure: the Milkshake crew can’t wait to see what the 2026 lineup has in store!

FR
Le concert fini à 1h25, et sonne la fin de l’édition 2025 du Plane’R Fest !

Je suis conquise par l’ambiance du festival, et sa taille humaine. La nourriture était bonne, les toilettes propres, et les bénévoles étaient tous souriants et accueillants ! 

J’ai hâte de découvrir ce que la programmation 2026 nous réserve !

Je suis conquise par l’ambiance du festival, et sa taille humaine. La nourriture était bonne, les toilettes propres, et les bénévoles étaient tous souriants et accueillants ! 

Nous remercions l’équipe du Plane’R Fest, et plus particulièrement Elodie, pour l’accueil chaleureux qui nous a été réservé, et pour l’organisation des interviews ainsi que la mise à disposition d’une loge sécurisée pour nos affaires et les chargeurs. Ce sont ce genre de petit détail qui nous changent la vie.

Je peux vous dire que l’équipe Milkshake à hâte de découvrir ce que la programmation 2026 nous réserve !